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La Bourgeoise abusée, Tome 2 : La Main de Fair



Description ajoutée par Yshisa 2022-12-21T19:04:47+01:00

Résumé

Depuis son initiation, Lucie Fair est accro aux plaisirs de la soumission. Elle ne peut plus s’en passer. Henri, son mari, décide d’endosser le rôle de mâle dominant pour lui faire vivre ses fantasmes les plus fous. Il veut la combler pour ne pas la perdre. Sera-t-il à la hauteur ? Parviendra-t-il à la satisfaire ? Peut-on transformer un agneau en loup ? Et la peur du loup n’est-elle pas essentielle au plaisir ?

Lucie et Henri nous font découvrir une autre conception du bonheur conjugal, voyageant entre amour inconditionnel et perversité. Mais jusqu’où sont-ils prêts à aller pour dépasser les conventions, pour s’aimer au-delà des interdits, pour laisser place à une sexualité débridée dans de leur vie de couple ? Tout ça au risque de se perdre… ou de revivre.

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Classement en biblio - 4 lecteurs

extrait

Solange avait écouté cette avalanche d’accusations et de condamnations et encaissa la sentence qui allait faire basculer sa vie avec une colère qu’elle eut du mal à contenir. Le fait d’être soumise au mari de sa belle-sœur la révoltait. Mais il avait des preuves, ce qui la mettait définitivement à sa merci. Elle exigea de les voir. Les photos étaient explicites et ne laissaient aucun doute sur le caractère vicieux et libidineux de cette relation. Henri était parvenu à immortaliser Solange en levrette écartant ses fesses au maximum pour que l’individu la sodomise. Il la tenait. Elle ne pouvait pas un instant imaginer perdre son statut social. Sa gorge s’était nouée. Elle ne savait pas quoi répondre.

- « Qu’attendez-vous de moi ? » balbutia-t-elle

- « Je vous donne trente secondes pour accepter ma proposition. Au-delà, je sortirai et posterai immédiatement le courrier que j’ai préparé pour Laurent. »

Elle parcourut à nouveau les photos compromettantes. Elles étaient sans équivoque.

- « Je vous laisse imaginer la suite… »

- « Et si j’accepte ? »

- « Je protègerai votre secret et vous conserverez votre statut. »

Solange baissa les yeux en signe de résignation.

- « J’en déduis que vous acceptez notre marché. »

- « Vous ne me laissez pas le choix… »

- « En effet ! »

Henri savourait sa victoire et constatait déjà que ce jeu de domination pouvait avoir de bons côtés.

- « Votre soumission commence immédiatement. Ôtez votre slip et posez-le sur la table ! »

Cette suggestion du gynécologue lui avait paru extraordinairement osée, mais il jouait parfaitement le jeu et contrôlait bien ses émotions.

- « S’il s’agit bien d’une garce, vous verrez qu’elle ne résistera pas. La suite n’en sera que plus facile ! » lui avait-il affirmé.

Solange hésita un moment. Bien que la terrasse soit relativement protégée, elle craignait naturellement d’être vue. Elle dut se contorsionner pour remonter sa jupe serrée, attraper la culotte en soie et la faire glisser jusqu’à mi-cuisse. Après avoir jeté un coup d’œil furtif autour d’elle, elle la poussa au-delà des genoux et la laissa tomber sur ses chaussures au moment où le serveur apportait les cafés. Elle attendit qu’il reparte dans cette position compromettante. Henri ne s’intéressait même pas à elle. Le serveur s’éloigna . Elle se baissa pour finir d’ôter le sous-vêtement et l’enferma dans son poing qu’elle tendit à Henri. Il saisit le slip et l’observa un moment. Une trace d’humidité trahissait l’état de Solange. Elle était à sa main.

- « Vous êtes déjà excitée… » fit-il en lui lançant un regard condescendant. « Vous allez me suivre à mon cabinet immédiatement pour y devenir mon esclave. Il n’y aura aucun retour arrière possible. »

Elle fulmina un moment et hésita, mais, devant l’impassibilité de son beau-frère, elle baissa la tête en signe d’acceptation.

Son coach serait fier de lui. Il avait parfaitement joué le jeu et semblait finalement mieux taillé pour ce rôle qu’il ne l’imaginait. Le dégoût qu’il éprouvait pour cette femme était finalement plus efficace qu’une réelle indifférence. Cela le libérait totalement et lui permettait d’afficher une attitude froide et sévère propice à la domination. Il attendait la suite avec impatience.

L’assistante d’Henri quittait le bureau à 17h00. Il y arriva avec la jeune femme un quart d’heure plus tard. La peur mêlée de rage déformait le visage de sa victime qui, ne craignant plus de se donner en spectacle dans un lieu public, voulut exprimer sa colère. Il ne lui en laissa pas le temps.

- « Levez votre jupe », ordonna-t-il sur un ton autoritaire.

Solange reçut l’ordre comme un coup de fouet et eut du mal à obtempérer.

Henri ouvrit le tiroir de son bureau et en sortit un paddle en cuir qu’il posa sur la table.

- « Votre difficulté à obéir vous en vaudra 10 coups. »

Elle sursauta.

- « Vous avez promis de ne pas me blesser ! »

- « En effet. Cet instrument ne laissera que des traces éphémères. En revanche, les coups seront douloureux. Souhaitez-vous que nous ajoutions dix coups supplémentaires ou allez-vous vous exécuter ? »

Solange avait perdu toute arrogance. Elle leva sa jupe jusqu’aux hanches.

- « Plus haut ! » exigea Henri

Elle venait de se promener les fesses et le sexe libres ce à quoi elle n’était pas habituée, et elle avait ressenti les caresses du vent. L’humidité de son sexe glabre trahissait son excitation.

- « Ôtez vos chaussures. »

Solange était bien faite. Henri devait le reconnaitre. Les jambes parfaitement galbées, ronde sans être forte, les fesses rebondies comme il fallait pour supporter le traitement qu’il leur réservait. Elle ôta ses chaussures. Henri lui ordonna de rester sur la pointe des pieds et de relever sa jupe au-dessus de la ceinture. Il sortit la culotte de sa poche et la jeta dans la cheminée qui crépitait au fond de son bureau. Le message était clair. Elle rentrerait les fesses et le sexe à l’air. La chaleur que le traitement qu’il lui réservait ne manquerait pas de provoquer l’aiderait à supporter le froid.

Après l’avoir observée ainsi pendant un long moment et pris quelques clichés avec son téléphone portable, il s’installa sur le canapé et lui ordonna de s’allonger sur ses genoux. Elle hésita un moment.

- « Dix coups de paddle supplémentaires ! »

La sanction avait été immédiate. Elle abandonna toute idée de résistance et s’installa, en maugréant, sur les genoux de celui qui était en train de devenir son maître. Sa jupe était retombée. Elle dut patienter un instant avant qu’il ne la relève d’un geste brusque. Les jolies fesses blanches étaient à sa disposition et la cambrure que lui imposait cette position la contraignait à révéler son petit abricot lisse sur lequel suintaient quelques petites perles de plaisir. Henri fut satisfait de voir que la situation avait sur elle un effet secondaire et qu’elle ne pouvait pas le contrôler. Il le lui fit remarquer en des termes crus.

- « Je vois que la soumission vous excite et vous fait mouiller. »

Elle serra les jambes, rouge de colère et de honte. Elle ne pouvait tolérer qu’en plus de l’avoir soumise physiquement, il triomphât également de ses sens en lui imposant quelque plaisir sexuel que ce soit. Mais, sans prévenir, Henri lui asséna une gifle monumentale qui lui arracha un cri de surprise et de douleur et lui marqua la fesse droite. Son coach lui avait conseillé de ne pas hésiter à gifler fort dès le premier coup.

- « Vous éteindrez ainsi toute velléité de résistance », avait-il précisé.

- « En ma présence, sauf ordre contraire, vous garderez les cuisses ouvertes et les bras écartés. Je ne vous déshabille pas pour que vous puissiez dissimuler votre intimité. Je vous expose pour pouvoir abuser de vous. Et je veux que vous ressentiez pleinement la contrainte. Est-ce clair ? »

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