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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-05T20:26:05+01:00

Maxon m'attrape par les poignets, me bloque les mains dans le dos, tandis que la fureur enflamme son regard. Et c'est tant mieux : je veux qu'il me provoque, je veux avoir un prétexte pour lui faire mal. Je me sens capable de le mettre en pièces."

13

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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-05T20:18:50+01:00

- C'est comment d'être amoureuse ? lui demande ma petite soeur.

- La chose la plus merveilleuse et la plus terrible qui puisse vous arriver, soupire Lucy en réponse. Un bonheur qui menace à tout instant de vous filer entre les doigts, en quelque sorte.

Lucy a parfaitement résumé la situation. L'amour, c'est une peur qui vous donne des ailes. »

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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-05T19:06:25+01:00

Pour qui se prend-il, ce bonhomme ? Ce n’est pas parce qu’il est roi – dictateur, pour être plus précise – et qu’il opprime tout un peuple qu’il a le droit de régir mon existence. Je ne me laisserai pas faire.

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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-05T19:05:12+01:00

- En réalité, nous nous disputons assez souvent.

- Quoi ?!

- Oh, et je lui ai donné un coup de genou dans les parties sensibles un jour.

Un ange passe, puis May s'étrangle de rire. Elle plaque une main sur sa bouche et papa pince les lèvres, contenant à grande-peine son hilarité. Maman change de couleur.

- America, c'est une plaisanterie ? Dis-moi que tu n'as pas agressé le prince.

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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-05T19:04:29+01:00

Tout jeu comporte des règles, et les règles sont faites pour être transgressées.

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Extrait ajouté par magaliB 2020-02-01T19:59:05+01:00

Il plane sur Angeles un calme inhabituel. Étendue dans l’herbe, j’écoute la respiration apaisée de Maxon et je savoure pleinement cet instant d’intimité. Il a l’air heureux lorsque nous sommes ensemble, et cela me rend heureuse en retour. Depuis que la Sélection s’est réduite à six concurrentes, je sens que l’anxiété le ronge. Par ma faute, j’en ai bien conscience.

Le prince Maxon Schreave, héritier du trône d’Illeá, m’a avoué ses sentiments il y a moins d’une semaine. Et si je lui rends la pareille, si je lui ouvre mon cœur à mon tour, il m’a promis de clôturer la compétition. Je me demande parfois, un peu par jeu, quel effet cela ferait d’être la bien-aimée de Maxon. Le problème, c’est qu’il ne m’appartient pas. Il y a ici cinq autres filles – des filles qu’il voit en tête à tête, à qui il chuchote des mots doux. Cinq rivales. Un autre problème se présente : si je me lie à Maxon, alors je dois me lier à la couronne, et j’ignore encore ce que cela implique en réalité.

Et, troisième problème, il y a Aspen.

Aspen n’est plus mon petit ami au sens strict du terme – on a rompu juste avant que ma candidature ne soit retenue dans le cadre de la Sélection – mais le jour où il est apparu au palais dans son uniforme de garde royal, tous les souvenirs que je tentais d’effacer de ma mémoire m’ont rattrapée. Je mets quiconque au défi de réussir à tirer un trait sur son premier amour…

Maxon n’est pas au courant de ce qui me tourmente : il sait simplement que j’essaie de me remettre d’un chagrin d’amour et me laisse tout le temps nécessaire pour tourner la page. Il se réserve aussi la possibilité de trouver l’âme sœur parmi les autres Sélectionnées, au cas où mes sentiments ne feraient pas écho aux siens.

Allongé à mes côtés sur la couverture, il se tourne vers moi. Je me blottis dans ses bras.

— Savez-vous quand j’ai contemplé les étoiles pour la dernière fois ? me demande-t-il.

— Aucune idée.

— Mon précepteur m’a dispensé quelques leçons d’astronomie. En observant les étoiles d’un œil attentif, on constate qu’elles se parent de couleurs différentes.

— Si je comprends bien, la dernière fois que vous avez contemplé les étoiles, c’était pour les étudier ? Pas pour le plaisir ?

— Le plaisir ? Où voulez-vous que je trouve du plaisir, entre les commissions budgétaires et le comité des infrastructures ? Sans oublier mes piètres résultats dans le domaine stratégique. Je dois me rendre à l’évidence : jamais je ne saurai planifier une guerre.

— Il y a forcément d’autres domaines dans lesquels vous n’avez aucune aptitude.

Je pose une main sur son torse. Encouragé par ce contact, il me masse l’épaule.

— Cela vous intéresse vraiment ?

— Oui, parce que je vous connais encore très mal. Et vous semblez n’avoir aucun défaut. J’aimerais avoir une preuve que vous n’êtes pas si parfait que ça.

— Je suis loin d’être irréprochable, vous le savez.

— Pas si loin que ça.

Nos deux corps sont comme chargés d’électricité. Maxon proteste d’un mouvement de tête, un petit sourire au coin des lèvres.

— Très bien, voyons voir… Je suis un cancre en ce qui concerne la stratégie militaire. Pour cela, oui, je suis un âne bâté ! Et je pense que je ne sais pas cuisiner. Je n’ai d’ailleurs jamais essayé, alors…

— Jamais ?

— Je n’ai pas besoin d’essayer : une armée de maîtres queux répond à mes moindres désirs.

— C’est tout ? Vous n’avez pas d’autres défauts ?

— J’ai découvert il y a peu quelque chose d’étrange…

— Dites-moi.

— Il s’avère que je suis totalement incapable de me passer de vous, America. C’est un problème très sérieux et de tout premier ordre.

— Un problème que vous vous efforcez de régler, j’espère ?

Il fait mine de réfléchir à la question.

— Non. Et je vous avertis, je n’en ai pas la moindre intention.

Nous rions sans bruit, collés l’un à l’autre. Dans ces moments-là, je m’imagine très bien vivre le restant de mes jours aux côtés de Maxon.

Un froufrou de feuilles mortes annonce l’arrivée d’un intrus. Je me mets debout à toute vitesse et Maxon m’imite. Un garde surgit de derrière une haie et s’approche de nous.

— Majesté, pardonnez mon intrusion, mais il n’est pas judicieux de rester dehors si longtemps, à une heure aussi tardive. Les Renégats…

— J’ai compris, soupire Maxon. Nous rentrons tout de suite.

Le garde reparti, le prince se tourne vers moi.

— Les Renégats abusent de ma patience. Leurs agissements m’exaspèrent. Vous pouvez considérer cela comme un défaut.

J’accepte la main qu’il me tend par galanterie, attentive à la frustration qui s’affiche sur son visage. Les Renégats ont lancé deux attaques contre le palais depuis le début de la Sélection et je comprends que cela l’épuise.

Maxon secoue la couverture, qu’il replie, avant d’enrouler un bras autour de ma taille, le front soucieux. Je tente de lui redonner le sourire :

— Ne vous inquiétez pas pour cette interruption. J’ai passé un excellent moment en votre compagnie… je vous assure. Vous devriez me donner plus souvent des leçons d’astronomie. Afin de combler mes lacunes.

Maxon esquisse un pâle sourire.

— Si seulement la situation était plus facile. Normale.

— Navrée de vous décevoir, cher prince, mais la normalité ne fait pas partie de votre quotidien.

— Vous m’aimeriez davantage si j’étais normal, America.

— Vous ne me croirez pas, mais je vous aime comme vous êtes. Il me faut juste…

— Du temps, je le sais. Et je vous en accorde volontiers. Je regrette seulement de ne pas savoir d’avance quelle décision vous allez prendre.

Je détourne le regard. Là, Maxon m’en demande trop. Je passe mes journées à comparer Aspen et Maxon dans le secret de mon cœur, mais aucun ne pèse plus lourd que l’autre. Pourtant, en cet instant précis, la tentation est grande de lui jurer un amour éternel.

Comme ma réponse tarde à venir, les traits de Maxon se décomposent.

— Maxon, je ne peux rien vous promettre. Ce que vous devez savoir, en revanche, c’est que je veux participer à la Sélection jusqu’au bout. Je veux découvrir si je me sens capable… enfin, si vous pouvez…

Je me mets à bégayer, je cherche mes mots.

— Si nous ? suggère Maxon.

— Oui. Si nous pouvons être ensemble.

— Les probabilités sont fortes.

— Oui, je suis du même avis. Mais… laissez-moi le temps, d’accord ?

Maxon hoche la tête, rasséréné. C’est sur cette note que je voulais conclure notre soirée, une note d’espoir. Je me mords la lèvre et je me presse contre lui, une requête dans le regard. Sans la moindre hésitation, il s’incline vers moi et dépose un baiser sur mes lèvres. Un baiser doux et tendre qui me remplit de bonheur. Je pourrais rester entre ses bras des heures durant mais Maxon s’écarte. Trop vite à mon goût.

— Ne restons pas là, suggère-t-il d’une voix enjouée. Il vaut mieux rentrer avant que la cavalerie ne vienne nous chercher, sabre au clair !

Maxon me quitte au pied de l’escalier. Le temps de regagner ma chambre au premier étage, ma fatigue s’est envolée.

— America ! s’exclame Aspen, qui monte la garde ce soir. Dire que je te croyais dans ta chambre. J’aurais dû vérifier.

Si Aspen me sert de garde du corps, c’est que j’ai refusé qu’une femme de chambre passe ses nuits à mes côtés, prête à satisfaire à mes moindres exigences. C’est pourtant mon droit, puisque je fais désormais partie de l’Élite. Comme ce système n’avait pour moi que des inconvénients, Maxon a tenu à poster un soldat près de ma porte, en cas d’urgence. Et qui a été chargé de ma surveillance ? Aspen, comme par hasard. De le savoir, chaque nuit ou presque, à quelques mètres de moi, je suis partagée entre euphorie et angoisse.

Soudain, Aspen comprend que si je n’étais pas pelotonnée sous ma couette, c’est que j’étais dans les bras de Maxon. Il s’éclaircit la voix, mal à l’aise.

— Alors, vous vous êtes bien amusés ?

— Aspen, ne réagis pas comme ça. Je fais partie de la Sélection, j’ai certaines obligations.

— Tu crois que je pourrais rivaliser avec un prince, America ? Je n’ai aucune chance, d’autant que tu m’adresses à peine la parole.

— Ne te fâche pas contre moi. J’essaie de trouver une solution.

— Je ne me fâche pas, America. Tu me manques, voilà tout.

Il n’ose pas le dire à voix haute, mais je le lis sur ses lèvres. Je t’aime. Et je me liquéfie sur place, oubliant l’espace d’un instant tout ce que nous risquons si on nous surprend ensemble.

— Je sais, Aspen. Mais ça ne change rien à ta situation, ni à la mienne. Il me faut du temps.

— Le temps, je peux t’en donner. Mais tâche de m’en accorder un peu.

Comment faire comprendre à Aspen que la situation est trop compliquée ? Je lui offre un sourire furtif avant de m’éloigner.

— Je ne dois pas m’attarder.

Il me suit du regard tandis que j’entre dans ma chambre, que je referme doucement la porte derrière moi.

Du temps. C’est tout ce que je demande. Pour mettre enfin de l’ordre dans mes idées.

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Extrait ajouté par Xelenia 2020-01-27T11:01:40+01:00

— C’est comment, d’être amoureuse ? lui demande ma petite sœur.

— La chose la plus merveilleuse et la plus terrible qui puisse vous arriver, soupire Lucy en réponse. Un bonheur qui menace à tout instant de vous filer entre les doigts, en quelque sorte.

Lucy a parfaitement résumé la situation. L’amour, c’est une peur qui vous donne des ailes.

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Extrait ajouté par Madmoizel_b 2020-01-11T19:00:25+01:00

Tout début : Il plane sur Angeles un calme inhabituel. Étendue dans l'herbe, j'écoute la respiration apaisée de Maxon et je savoure pleinement cet instant d'intimité.

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Extrait ajouté par Bookgym 2019-11-14T21:36:31+01:00

- America Singer revenez ici tut de suite !

Il me rattrape et me saisit par la taille.

6dites-moi, chuchote-t-il.

Je refuse de prononcer le moindre mot; il entre dan mon jeu.

-Fort bien. Je vais devoir recourir à un notre moyen de communication.

Et sans prévoir il m'embrasse. Je me sens basculer vers l'arrière, je noue mes mains sur sa nuque et … un tableau inattendue s'impose à mon esprit..

D'ordinaire quand nous sommes ensemble j'oublie tout le reste.Cette fois-ci, pourtant, je me dis qu'une autre fille peut prendre ma place à tout instant. Il me suffit d'imaginer, la scène pour que mon cœur se brise. Et c'est plus fort que moi, je fonds en larmes.

-Ma chère qu'avez-vous?

Ma chère ?Ce témoignage d'affection me console un instant et l'envie de lutter contre mes sentiments se volatilise.

Maxon & America

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Extrait ajouté par Bookgym 2019-11-14T21:25:00+01:00

- America Singer, revenez ici tout de suite !

Il me rattrape et me saisit par la taille.

-Dites,chuchote t-il

Je refuse de prononce un seul mot. Il rentre dans mon jeu.Il va falloir que je trouve un autre moyen de communication.

Maxon & America

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