Lazarus, Tome 7 : Risen

De loin le meilleur de la série pour l’instant, s’il se résumait uniquement aux deux premiers chapitres je l’aurais presque mis à part et mieux noté.

Jonah est sans doute le personnage que je détestais le plus au début de la série, mais c’était par conséquent le seul pour lequel j’éprouvais quelconque émotion. Par conséquent, avec l’évolution de son arc a évolué ce que je ressentais pour lui, c’est maintenant mon personnage préféré du livre. Dans ce tome il est méconnaissable. Et il a la classe.

Mais on ne le voit pas dans la suite qui est à nouveau une lutte entre dictateurs et si Forever prend un peu de profondeur, je n’arrive toujours pas à voir un gentil dans l’histoire tant que toutes les familles n’auront pas été déchues. Le dessin reste pareil à lui-même, un pseudo-réalisme moche, et l’amour du scénariste (ou du lettreur peut-être) pour les gras intempestifs m’insupporte toujours autant. Malheureusement je suis d’une curiosité insupportable et vais donc continuer cette série médiocre jusqu’à la fin si elle ne m’insupporte pas définitivement avant. Tout ça juste pour voir jusqu’où ça va...