Le Chemin de Baphomet

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[SERVICE PRESSE]

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Le chemin de Baphomet de Arnaud Niklaus

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Je remercie mon partenaire ECHO Editions pour ce nouveau service presse.

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Mon résumé :

📍Discothèque : une sortie de couple qui tourne au drame

📍Golgotha : l’exécution d’un homme

📍 Le réveil de l’olympe : un jeune homme éconduit décide de sacrifier ses amis

📍Patience, patience : une femme battue souhaite se séparer de son compagnon

📍Festival : un jeune homme se rend à un festival de musique

📍Féerie : une fée vient en aide à une fillette maltraitée

📍Symptôme S : une jeune femme est enlevée et retenue captive

📍Danse avec l’horreur : un chauffeur de bus ne supporte plus les gamins qu’il transporte

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Mon ressenti final :

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J’ai été un peu perturbée par la façon d’écrire de l’auteur, qui utilise souvent deux temps différents dans une même phrase. Mais très vite, je m’y suis habituée et j’ai dévoré ce petit recueil de nouvelles.

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8 nouvelles basées sur sur le genre fantasy, adapté à des situations du monde actuel.

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J’ai bien aimé ce recueil, qui dépeint des situations vécues à l’heure actuelle (violences conjugales, violences domestiques, carences affectives, kidnapping…). Elles sont assez représentatives d’un monde qui va mal et dont les habitants ont perdu les codes en matière de savoir-vivre. A chaque situation, son sauveur ou agresseur imaginaire.

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Le lecteur va côtoyer un jeune homme éconduit au service du dieu des Enfers, une petite fille négligée par sa mère va être épaulée par une fée, une jeune femme victime de viols à répétition va s’amourache de son bourreau…

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La seule nouvelle qui m’a échappée, c’est la deuxième. Extrêmement courte, je n’ai pas su saisir sa logique et sa morale.

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L’écriture de l’auteur est simple et abordable. Moi qui ne suis pas particulièrement fan de fantasy, je n’ai eu aucun mal à m’imaginer chaque scène.

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Si vous souhaitez vous plonger dans ce recueil fascinant, c’est ici : https://amzn.to/40rzRO3

Écrire une nouvelle est souvent un exercice plus compliqué qu’on ne le pense. En un format plus court que le roman, il faut une histoire qui tienne la route, et surtout, une chute qui ne tombe pas à plat, tout en propulsant le lecteur, dans un univers, le temps d’un instant.

Le chemin de Baphomet propose huit nouvelles différentes, toutes sur le thème un peu horrifique, quelque peu fantastique, avec quelques références a des “vols d’âme” et “vies éternelles”. Maintenant que j’ai fini le livre, je peux dire qu’il y a un point commun assez subtil entre toutes, mais bien présent, sur ce thème-là entre autre.

Comme souvent dans les anthologies, toutes les nouvelles ne se valent pas et sont plutôt différentes. Par chance, il y a une ligne commune entre chacune.

La première, c’est que la façon dont s’est fait reste à chaque fois assez original en terme d’horreur, tout en reliant au thème des âmes. On commence assez fréquemment par un personnage désagréable, ou qu’on prend en pitié, et sa vie n’a rien de sympathique (ou si), et ça se termine violemment et brutalement.

Néanmoins, j’ai trouvé que la chute fonctionnait généralement assez peu. Par exemple, pour l’histoire de la violence conjugale (qui du reste est bien dépeinte et assez horrible à lire), la fin est presque au milieu d’une phrase et je me suis demandé quelle était la chute réelle. A contrario, dans l’histoire avec Magali ou celle avec la fée, ça passait un peu mieux. Bien que ce fut assez prévisible, mais bon, ça reste une bonne chute.

Chaque nouvelle propose un environnement différent, mais ce que je reprocherais peut-être, c’est éventuellement l’ordre de celles-ci. En effet, quand on ne connaît pas l’auteur, son thème, ses messages, commencer par une nouvelle avec un personnage affreux et sexiste, qui, certes, fini puni, je ne suis pas sûr que c’était une bonne nouvelle de la mettre en premier. En effet, je me suis demandé quel message voulait vraiment faire passer l’auteur. Je ne dis pas qu’il est facile de faire passer des convictions dans l’écriture, mais ici, l’humour des parenthèses, les commentaires affreux, le fait que la femme soit dépeinte comme une idiote (et c’est aussi le cas dans la nouvelle numéro 3 me semble-t-il), m’a fait douter de ce que pensait l’auteur des personnages féminins. Par chance, je me suis vite rendu compte à la suite de ma lecture, qu’en fait, ça allait, et qu’on était bien sur “un jugement des sombres personnages masculins” que “les femmes, elles sont idiotes, mais bon le mec se fait punir à la fin”. Je pense que c’est juste une maladresse, et en vrai, je ne tiens pas trop rigueur de ça, mais je préférais en parler.

Du reste, j’ai bien aimé comment c’était écrit à quelques endroits. Par exemple, les parenthèses qui accentuaient certaines choses, se moquaient parfois du personnage. La façon dont c’était structuré, donc toutes les choses s’accumulaient. Comme c’est un sujet qui me touche, j’ai trouvé que la nouvelle des violences conjugales étaient assez juste. Ca pourrait paraître absurdement gratuit, mais je sais que c’est possible. Ou bien celle de la fée qui est…commune je dirais dans sa chute (je m’y attendais à 200%) mais que j’ai aimé par l’originalité de qui est la mère, du cadeau que fait finalement la fée, et tout ce qui est sous entendu. J’ai apprécié la seconde nouvelle, qui bien qu’assez “onirique”, m’a beaucoup intrigué.

Mais je pense que le rythme du récit peut avoir quelques petits soucis. Par exemple, les dialogues sonnent parfois plus “exagéré” que “réel” (c’est une impression que j’ai souvent du mal à expliquer). Ou qu’à des endroits, le récit n’allait pas assez en profondeur. Par exemple pour la nouvelle avec Magali, on a toute la partie où les deux se rencontrent, vont au festival, et puis hop la chute à la fin après une mauvaise représentation d’un groupe sataniste. Alors que je pense qu’on aurait pu accentuer sur l’horreur de la fin, faire “languir” le lectorat sur les véritables intentions de Magali, et finir comme ça se termine. Après, je ne suis pas sans ignorer qu’une nouvelle doit être “courte”, mais je pense qu’à certains endroits, le récit n’approfondissais pas sur les bons endroits. (même chose pour la première nouvelle, approfondir sur l’ambiance des vigiles de la boite de nuit, qui s’accentuerait au fur et à mesure jusqu’à la fin. Plus que sur le couple au début, qui finalement n’a d’intérêt que prouver que Pierre est un sombre idiot et est dans un couple malsain).

Je rajouterais juste un détail qui m’a fait tiquer durant ma lecture (et je ne sais pas où le placer dans ma chronique donc je le mets là : « Bien sûr, il avait une idée derrière la tête : essayé de conquérir Émilie, qui résistait farouchement jusqu’à là à toutes ses avances. »

On a un enchaînement de deux fautes assez visibles à corriger, et c’est un peu dommage (il y a d’autres fautes de conjugaison d’infinitif durant la lecture). Après, je sais que le travail de correction n’est pas facile, et je ne prétends jamais savoir le faire à la perfection (ce n’est pas mon métier), mais je me permets éventuellement de le noter.

Finalement, j’ai apprécié ma lecture. Je l’ai trouvé agréable, bien écrit, avec de l’idée. Des idées originales, des structures parfois originales aussi, et des références auquel on ne pense pas (je pense notamment à la fée). Un peu de mystère, beaucoup de fantastique. Quelque chose de plaisant à lire, dans un ensemble avec un minimum d’harmonie. On a une bonne anthologie d’horreur. Mais aux détails qui occasionnellement pêchent à la lecture, et qu’on se dit “ah c’est dommage”, et qu’on a besoin de le souligner.

Ou alors c’est juste moi qui deviens exigeant en termes de “nouvelles”, parce que j’en lis régulièrement.

Mais en vrai, si vous cherchez une anthologie avec des bonnes nouvelles d’horreur, un peu violentes, et qui punissent légèrement ses personnages, je vous conseille d’y jeter un œil.

Petite lecture bien sumpas ses n'est pas un coup de cœur mais il es agréable à lire

La plume de l'auteur se li facilement

Dans se livre nous retrouvon 8 nouvelle avec un peu de fantastique

Ses 8 nouvelle traite différént sujet qui parfois peu être très dur comme la violacé faite au femme, le harcèlement scolaire... On s'attend pas du tout à des fin comme sa

Ce fut une première pour moi de lire des nouvelles j'ai plutôt apprécier je vous conseille de les lires

Petite lecture bien sumpas ses n'est pas un coup de cœur mais il es agréable à lire

La plume de l'auteur se li facilement

Dans se livre nous retrouvon 8 nouvelle avec un peu de fantastique

Ses 8 nouvelle traite différént sujet qui parfois peu être très dur comme la violacé faite au femme, le harcèlement scolaire... On s'attend pas du tout à des fin comme sa

Ce fut une première pour moi de lire des nouvelles j'ai plutôt apprécier je vous conseille de les lires

https://derivedelivres.home.blog/2020/03/15/le-chemin-de-baphomet-arnaud-niklaus/

J'ai beaucoup aimé les thèmes abordés, qui sont presque philosophique à certains moment et prêtent à la réflexion. Cependant, le manque de contextualisation dans les nouvelles et les soucis de mise en page témoignent de l'inaboutissement de ce roman, pourtant intéressant et riche en pistes de réflexion. Dommage !

Je ressors de cette lecture un peu partagée, une partie m’a plue, l’autre pas vraiment.

Pour faire simple, il y a certaines nouvelles dont je n’ai pas vraiment compris l’intérêt (ou alors j’en ai juste pas compris le sens et je suis complètement passée à côté). Parmi ces nouvelles, les deux premières: « Discothèque » et « Golgotha ».

La première commençait pourtant bien, le dénouement était sympa, mais je n’ai pas vraiment compris le sens de la fin. En ce qui concerne « Golgotha », alors là j’ai juste absolument rien compris.

Après ça, j’ai plutôt bien apprécié ma lecture.

La troisième nouvelle, « Le réveil de l’Olympe » m’a par contre plue. Déjà on y parle de mythologie grecque, et c’est peut-être aussi le fait qu’elle soit un peu plus longue qui a fait que je l’ai également plus appréciée, l’histoire était sympa.

« Patience, patience » raconte l’histoire d’une femme battue et je pense que paradoxalement, ça a été ma préférée parce que je ne trouve rien à redire sur le dénouement.

« Festival » m’a étonnée et la fin m’a complètement écœurée (et c’est ça qui est cool, le fait de pouvoir ressentir des émotions au travers une lecture!).

Même si on s’attend un peu à ce genre de fin, c’était pas ce scénario auquel je pensais.

J’ai également apprécié « Féerie », c’est peut-être dû au fait qu’on mélange enfance et horreur.

« Syndrome S » a eu un début vraiment intéressant. On y parle de harcèlement, je m’étais fait un scénario dans la tête et au final j’ai été très surprise parce que rien ne s’est passé comme je l’imaginais (et ça a bien été la seule nouvelle qui m’à surprise).

Et enfin, « Danse avec l’horreur », était pas mal mais pas ouf non plus, on se doute d’un peu de la fin...

En gros, ce qui m’a un peu déçue c’est le fait qu’on s’attend un peu au dénouement à chaque fois... comme la fin de « danse avec l’horreur » qui était au final a peu près la même qu’une des autres nouvelles.

C’était donc une lecture sympa mais pas folle non plus...

En analysant ce petit recueil je me suis rendue compte que les nouvelles n'avaient aucun lien entre elles et donc pouvais être lues une à une sans enchaîner c'est un avantage si l'on a besoin de seulement un temps défini de lecture !

Merci à l'auteur pour ce travail !

#Aley

Lien : https://www.facebook.com/Avislivresquesduphoenix/photos/a.114887043338427/133657688128029/?type=3&theater

Après « la guerre des clowns » et « terminus pour l’humanité » qui m’avaient permis de découvrir le style si particulier et addictif d’Arnaud Niklaus, j’avais hâte de découvrir ce nouveau recueil de nouvelles.

Je l’ai dévoré d’une traite.

Huit histoires, huit tranches de vie des plus banales … qui tournent au cauchemar.

Comment une simple sortie en discothèque, une randonnée entre amis, un festival, peuvent-ils faire frissonner ? C’est là tout le secret de l’auteur.

Quand on en commence une, on sait que ça va mal tourner, alors on appréhende chaque mot, on reste sur le qui-vive à l’arrivée imminente du dénouement, mais on n’est jamais prêt ! Il sait toujours surprendre avec des épilogues complètement fous, sombres et dérangeants.

Encore une réussite, vivement le prochain.