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- Elena, tu m'as rendu fou. Tu m'as causé des ennuis considérables et j'ai déjà envisagé à deux reprises de te tuer.

Le souffle de Valek dans mon oreille envoya un frisson le long de mon dos.

- Mais je t'ai dans la peau, dans le sang... Tu as envahi mon coeur.

- On dirait que vous parlez d'un poison.

La confession de Valek m'avait à la fois choquée et transportée.

- Exactement, dit-il. Tu m'as empoisonné.

Il me fit rouler vers lui pour me regarder dans les yeux. Avant que j'aie pu dire un mot, il m'embrassa

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P 355

- Où étais-tu, Elena ? - Avec Janco, dis-je, méfiante.

D’habitude, tant que j’étais à l’heure, Valek ne me posait jamais de questions sur mon emploi du temps. – Que faisiez-vous, tous les deux ?

Il se leva et mit les mains sur les hanches. On aurait dit un mari jaloux, pensai-je en réprimant un sourire.

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Pp 529

Quand Irys et Ari partirent pour organiser notre « évasion », Valek m’attira à lui. Nous échangeâmes un baiser plein de passion et de désespoir. Lorsque nous nous séparâmes enfin pour reprendre notre souffle, je lui dis : -Viens avec moi. Ce n’était ni une supplication ni un ordre, mais une invitation. Les yeux bleus de Valek se fermèrent de douleur. –Je ne peux pas. Je me détournai avec l’impression de m’être changée en pierre, mais Valek me ramena vers lui. –Elena, tu as besoin d’apprendre. De retrouver ta famille. D’ouvrir tes ailes et de voir jusqu’où tu peux voler. Mais tu n’as pas besoin de moi. Pas pour l’instant. C’est le Commandant qui a besoin de moi. Je me cramponnai à lui de toutes mes forces. Il avait raison, je n’avais pas besoin de lui. Mais je voulais qu’il soit avec moi pour toujours.

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Pp 357, 358

Le soir venu, j’attendis dans le salon que Valek fût prêt à partir. Lorsqu’il descendit enfin de l’escalier, il était en tenue de cérémonie. Des galons rouges ornaient les épaules de son uniforme, des rangées de médailles couvraient la partie gauche de son buste. Il incarnait la dignité et le prestige ; j’aurais été impressionnée, s’il n’avait eu cet air empesé et grincheux. On aurait dit un enfant engoncé dans ses habits du dimanche. Je mis la main sur la bouche, puis, n’y tenant plus, éclatai de rire. –Assez. Je suis forcé de porter cet accoutrement une fois par an, et c’est une fois de trop. Il tira sur son col. –Tu es prête ? Nous nous rejoignîmes devant la porte. Soudain, remarquant que ce costume mettait en valeur le corps athlétique de Valek, je me surpris à penser qu’il serait encore plus beau s’il l’enlevait. –Cela vous va à merveille, dis-je sans réfléchir. Mortifiée, je rougis, tandis qu’une vague de chaleur s’étendait à travers mon corps. J’avais dû avaler plus d’eau-de-vie que je ne l’avais pensé. –Vraiment ? Valek baissa les yeux vers son uniforme, puis redressa les épaules et cessa de tirer sur son col. Son expression irritée laissa place à un sourire pensif. –Absolument, oui.

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Pp 490, 491, 492

Pour passer le temps, je demandai à Valek comment il s’était engagé au côté du Commandant. Cela me sembla une question banale, mais elle plongea Valek dans un silence si interminable que je regrettai de l’avoir posée. –Ma famille, dit-il enfin, est originaire de la province d’Icefaren, aujourd’hui le DM-1. Mon père travaillait le cuir. Un jour, après un hiver particulièrement rigoureux, le toit de son atelier s’est effondré, et tout son outillage a été détruit. Il devait le remplacer pour continuer à travailler, mais les soldats chargés de collecter les impôts n’ont rien voulu savoir. Valek resserra son bras autour de moi. Pendant un long moment, il ne dit plus rien. –A l’époque, reprit-il, je n’étais qu’un petit gringalet, mais j’avais trois frères plus âgés. Ils étaient aussi grands qu’Ari, et presque aussi forts. Mon père a expliqué aux soldats que s’il versait tout l’argent qu’on lui réclamait, il ne lui resterait plus de quoi nourrir sa famille. Il fit une petite pause. –Les soldats ont tué mes trois frères. En riant, ils nous ont dit : « Le problème est résolu. Trois bouches de moins à nourrir. » Valek avait serré le poing si fort que tout son bras en tremblait. –Evidemment, j’ai voulu me venger, mais pas des soldats. Ce n’étaient que des émissaires. Il fallait que je me venge de l’homme qui avait permis à ses soldats de tuer mes frères. Le roi d’Ixia. J’ai appris à me défendre, puis j’ai étudié l’art de l’assassinat jusqu'à devenir imbattable. Pendant un certain temps, j’ai sillonné le pays, gagnant ma vie grâce à mon savoir-faire. Les nobles étaient si corrompus qu’ils m’embauchaient pour s’entretuer les uns les autres. « Un jour, on m’a demandé de tuer un jeune homme appelé Ambroise, dont les activités révolutionnaires inquiétaient la noblesse. Il attirait des foules de plus en plus grandes, et ses partisans résistaient à l’ordre établi. En outre, depuis quelque temps, Ambroise avait disparu, et son mouvement était devenu clandestin. Son armée secrète, de plus en plus vaste, menait des opérations de guérilla contre la monarchie. « On m’avait promis une somme énorme si je réussissais à tuer Ambroise. Je l’ai traqué, et je lui ai tendu une embuscade. Je m’attendais à lui passer ma lame en travers du corps avant qu’il ait eu le temps d’ouvrir la bouche. Mais il a paré mon coup. J’ai dû me battre contre lui, et j’ai perdu. « Au lieu de me tuer, Ambroise a gravé un C majuscule sur ma poitrine avec la pointe de mon propre couteau. Le même couteau, soit dit en passant, avec lequel j’ai tué le roi, plus tard. Ambroise s’est proclamé mon Commandant, et m’a annoncé que, désormais, j’étais à son service. J’ai accepté, et je lui ai promis que s’il me permettait d’approcher le roi d’assez près pour le tuer, je lui serais fidèle jusqu’à ma mort. « Au fil des années, j’ai vu le Commandant atteindre les buts qu’il s’était fixés avec une farouche détermination, sans jamais recourir à une violence excessive. Il n’a été corrompu ni par le pouvoir ni par la cupidité. Il est constant et loyal envers son peuple. Personne n’a jamais compté davantage pour moi. Du moins jusqu’à maintenant. » Je retins ma respiration. J’avais posé une question simple ; je ne m’étais pas attendue à une réponse aussi intime. –Elena, tu m’as rendu fou. Tu m’as causé des ennuis considérables et j’ai envisagé à deux reprises de te tuer. Le souffle de Valek dans mon oreille envoya un frisson le long de mon dos. –Mais je t’ai dans la peau, dans le sang… Tu as envahi mon cœur. –On dirait que vous parlez d’un poison. La confession de Valek m’avait à la fois choquée et transportée. –Exactement, dit-il. Tu m’as empoisonné. Il me fit rouler vers lui pour me regarder dans les yeux. Avant que j’aie pu dire un mot, il m’embrassa. Enflammée par un désir longtemps refoulé, je mis mes bras autour de son cou et lui rendis son baiser avec une ardeur égale à la sienne.

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P 259

-Je peux continuer ?dis-je, incrédule. Valek ne lâcha pas ma main, et je ne parvenais pas à trouver la volonté de la repousser. La chaleur de sa peau s’étendit à mon corps tout entier ; l’espace d’un instant, ma douleur et ma fatigue disparurent. Le souvenir de son étonnante démonstration de force encore gravé en moi, j’étudiai son visage aux traits si particulier. Ses yeux bleus étincelants et dangereux avaient toujours attiré mon attention, et j’avais appris, dans mon propre intérêt, à interpréter ses expressions. Mais je n’avais jamais pris le temps de le regarder vraiment. C’était une contradiction vivante. Cet homme qui passait des heures à sculpter des figurines délicates était également capable de désarmer sept adversaires sans qu’une goutte de sueur n’apparaisse sur son visage. Mes relations avec lui ressemblaient à un numéro d’équilibriste. J’étais confiante, sûre de moi, et puis, d’un instant à l’autre, déséquilibrée, sur le point de tomber. –Je trouve que c’est une excellente idée, dit-il. Comment as-tu persuadé les Invincibles de t’entraîner ? -Pourquoi les appelez-vous ainsi ? -Parce que la force d’Ari et la rapidité de Janco réunies me semblent imbattables. Pour l’instant, je n’ai pas eu l’occasion de vérifier cette théorie, parce qu’ils n’ont pas eu l’idée de me combattre à deux. Personne n’a dit que je ne pouvais avoir qu’un seul adjoint… Mais tu ne vas pas trahir mon petit secret, n’est-ce pas ? -Non. Valek serra ma main dans la sienne pour me remercier, puis la relâcha. –Bien. Ce sont sans doute les meilleurs instructeurs que l’on puisse trouver. Comment les as-tu rencontrés ? -Ils m’ont retrouvée dans la forêt. Le Commandant les a promus, et j’ai profité de leur gratitude. –Opportuniste et sournoise, dit Valek en riant. Tu me plais, Elena.

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"J'admirais sont habileté et j'étais soulagée qu'il fût de mon côté, plutôt qu contre moi. Mais les rats ne peuvent aimer les chats. Ce genre d'histoire finit toujours de la même manière. Par la mort du rat."

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In fact, he's never taken an interest in a woman before. I was beginning to to suspect he might prefer one of his male sneaks, but now..." She paused dramatically. "Now, we have the lovely, intelligent Yelena to get Valek's cold heart pumping."

"You really should get out of your sewing room more. You need fresh air and a dose of reality," I said knowing better than to believe a word Dilana said, but unable to control the silly little grin on my face.

Her sweet, melodious laughter followed me into the hallway.

"You know I'm right, " she called.”

Traduction:

"En fait, il n'a jamais eu intérêt pour une femme. Je commençais à croire qu'il préférait un de ses mouchards de mâles, mais maintenant ..." Elle fit une pause dramatiquement "Maintenant, nous avons une belle, intelligente Elena pour faire pomper le cœur froid de Valek."

"Tu devrais peut être sortir de ta pièce de couture plus souvent. Tu as besoin d'un peu d'air frais et une dose de réalité" Ai-je dit, sachant mieux que de croire un seul mot qui est sorti de la bouche à Diana, mais incapable de contrôler le petit sourire idiot sur mes lèvres.

Son rire mielleux, mélodieux , m'a suivi jusqu'au corridor.

"Tu sais que j'ai raison," elle à dit.

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Il ouvrit la main. Sur sa paume se trouvait le merveilleux papillon que j'avais vu dans son atelier. Les taches argentées de ses ailes luisaient au soleil; une chaine d'argent traversait un petit trou percé dans son abdomen.

Valek me mit le collier autour du cou.

-Quand j'ai sculpté cette figurine, je pensais à toi. Fragile en apparence, mais pourvue d'une force insoupconnable.

Son regard rencontra le mien. Mon coeur se serra. Valek se comportait comme s'il sattendait à ne plus me revoir;il paraissait sincèrement inquiet. Mais était-ce moi qu'il craignait de perdre, ou son précieux gouteur?

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Pp 328, 329

Elle fit une petite pause dramatique. –Voilà que la belle et brillante Elena réussit enfin à faire palpiter son cœur de glace ! -Tu devrais sortir de ton atelier, de temps en temps. Tu as besoin d’air frais et d’une bonne dose de réalité. Je n’étais pas assez sotte pour croire un mot de ce qu’elle racontait-et pourtant, je ne pus réprimer un petit sourire idiot. Le rire mélodieux de Dilana m’accompagna jusque dans le couloir. –Tu sais que j’ai raison, lança-t-elle de loin. Si Valek s’intéressait à moi, pensai-je en traversant le château, c’était uniquement parce que je représentais une énigme. Une fois résolus les mystères de la magicienne du Sud et de Brazell, il me renverrait dans ma chambre de bonne pour toujours. L’engouement innocent que j’éprouvais pour lui était une chose. Cela n’aurait aucune influence sur mes projets futurs… absolument aucune ! En revanche, il serait désastreux de me mettre en tête que cette affection était réciproque. J’essayai de me convaincre que Dilana, bien qu’adorable, était victime de son imagination et de son goût pour les ragots. Qu’elle se trompait. Je fis réellement de mon mieux pour m’en persuader. Lorsque j’arrivai aux cuisines et que je vis Rand boitiller entre ses fourneaux, je me rappelai que Valek était un assassin impitoyable. Il avait tué des dizaines de personnes. Le sang de l’ancien roi perlait encore sur son grand couteau. Valek était dangereux, caractériel et exaspérant. Et pourtant, j’avais beau essayer, je ne parvenais pas à effacer de mon visage ce sourire stupide.

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