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Commentaires de livres faits par Mandariniere

Extraits de livres par Mandariniere

Commentaires de livres appréciés par Mandariniere

Extraits de livres appréciés par Mandariniere

Manuel Torres, grand artiste du peuple andalou, disait à un homme qui chantait "Toi, tu as de la voix, tu connais les styles, mais jamais tu ne connaîtras le triomphe parce que toi, tu n'as pas de duende."
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date : 07-03-2017
"Tu crois que tu es capable de tout, parce que de toute façon, tu n'essaieras jamais [...]."
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PANTHÈRE :
Tu peux ête tranquille, j'suis pas pédophile. Mais fais attention, c'est exactement ce que les pédophiles disent.
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JUDY GARLAND :
Tu as peur. C'est clair que t'as peur, putain. Tu es dans l'inconnu. Tu es dans l'inconnu, tu as peur. Putain. Bordel de merde. Et c'est quoi le problème ? On court, putain. On court et on ne sait pas vers où. Non ? Si tu ne sais pas où tu es et que tu te mets à courir, tu ne peux pas savoir vers où tu cours. Qu'est-ce que tu fais ? Tu t'orientes avec le putain de soleil, non ? Tu cours et c'est tout ? Enculé, putain. Avant nous, ils se sont tous mis à courir. Le Petit Chaperon Rouge. Hansel et Gretel. Alice. Lorsqu'ils se sont perdus, ils ont couru. Ils savaient vers où ? Non, bordel. Et ça intéresse quelqu'un ? Qui sait où ils allaient ? Tous les gens qu'on croise pendant qu'on court ? Tu crois qu'ils savent où ils vont ? Si tu leur demandes, ils vont te répondre oui. Ils vont au travail, ils vont à la maison. Mais après ? Après ils vont à la maison et au travail, putain. Et après ça ? À la maison et au travail. Et ça s'appelle savoir où on va ? Non, putain de merde. Ça s'appelle tourner en rond, enculé de bordel de merde. Même si tu sais où tu es, tu ne sais jamais où tu vas. On peut tous mourir d'un moment à l'autre. Tombe une météorite et on s'en va tous comme des enculés. Qui sait où il va ? Personne putain. Si on te dit oui, c'est un mensonge bordel. Nous sommes tous perdus. Tous échoués, putain. T'as peur ? Et après ? Moi aussi j'ai peur putain. Et c'est pas trop bon bordel ? La peur qui fait bouillir le sang, qui fait transpirer, qui fait mal aux muscles. Putain c'est bon! Cours, bordel. Cours car on est perdus. Putain j'ai jamais été perdu gamine. Toujours enfermé à la maison, toujours devant la télévision, à attendre que tu rentres de l'école, toujours à jouer dans la chambre et dans la salle de bains. Toujours à tourner en rond, à savoir où je suis. Je pensais que j'allais mourir sans jamais m'être perdu une seule fois. Et maintenant, on court, putain. Et tout ça grâce à toi. Bordel. Merci gamine. C'est beau. Nous sommes perdus. Vraiment perdus. Réellement perdus. Nous ne savons plus où nous sommes ni où nous allons. C'est beau, putain. Je suis un ours, je suis en peluche, et je suis perdu.
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date : 18-01-2017
Les paysans se ressemblent tpus, ils sont incultes, sales ; quant à nos intellectuels, pas moyen de m'entendre avec eux. Ils me lassent. Tous nos braves amis ont des pensées et des sentiments mesquins, ils ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Bref, ils sont tout simplement bêtes. Et ceux qui sont un peu plus intelligents, qui ont plus d'envergure, sont rongés par l'analyse et l'introspection ... Ils ne cessent de geindre, de détester, d'inventer de folles calomnies ; ils abordent chacun de biais, le regardent de travers et proclament : "Oh ! c'est un psychopathe !" ou encore : "Quel phraseur !" Et s'ils ne savent pas quelle étiquette coller à mon front ils disent : "C'est un homme étrange, fort étrange !" J'aime la forêt : voilà qui est bizarre, je ne mange pas de viande : autre bizarrerie. Il n'y a plus rien de spontané, de pur, de libre dans leurs relations,ni dans leur amour de la nature. Non, il n'y a plus rien.
(Acte II)
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date : 18-01-2017
Au fond de moi, je sais très bien que ce n'est pas un sentiment pur, tel que l'amour de la peinture, qui me guide.
Ce n'est pas du tout ça qui me fait aller de l'avant.
À chaque moment décisif de ma vie, le seul sentiment qui m'anime, c'est la rage.
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date : 18-01-2017
"Femme" ... "Femme", "Femme" ... Vous me soûlez avec ça.. Si ça vous dérange tant que ça ... Je suis prête ... À renoncer à ma qualité de femme !
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Sur le chemin fulgurant
monté en ailes trempées
le puis serpentant
escarpé en grotte

Les mages blanc rougé
d'inversion Polymée
par des eaux irradiés

myrrhe planant Borée
concentré quadrillant
du feuillu entouré

lézard blanc koptus
tréfond sang
buis meule
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date : 14-08-2016
On n'écrit pas de tragédie avec de l'eau bénite ou stérilisée. Il est banal de dire qu'on les écrit avec des larmes, avec du sang.
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Vivre et mourir sont deux notions opposées ... mais elles sont indissociables l'une de l'autre. Quel est le bon chemin, entre la vie et la mort ? On ne peut pas savoir tanta qu'on ne les a pas empruntés. J'ai déjà pas mal vécu. Il ne me reste plus qu'à essayer l'autre voie !
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Puisqu'un boisseau de grains de milley rend un son pendant qu'on le vide, chaque grain et chaque parcelle de grain, fût-elle la dix millième, devrait rendre un son.
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"Comment ? T'es dingue ou quoi ?
-Voilà une question que je n'ai pas encore réglée, observa tranquillement Zaphod. Je ne connais de moi-même que ce que mon esprit est capable de discerner dans son état habituel. Et son état habituel n'est pas franchement excellent."
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date : 15-07-2016
Come, you spirits that tend on mortal thoughts.
Unsex me here,
And fill me from the crown to the toe-top full
Of direst cruelty. Make thick my blood
Stop up access and passage to remorse
That no compunctious visitings of nature
Shake my fell purpose nor keep peace between
The effect and it ! Come to my woman's breasts
And take my milk for gall, you murd'ring ministers
Wherever in you sightless substances
You wait on nature's mischief. Come, thick night,
And pall thee in the dunnest smoke of hell
That my keen knife see not the wound it makes
Nor heaven peep though the blanket of the dark
To cry "Hold ! Hold!"
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date : 15-07-2016
"Tant que manquera sur cette île la chose fondamentale qui ne s'y est jamais trouvée, les habitants demeureront vides."
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date : 15-07-2016
"Je suis de la police.
-Toi, tu piétines quelque chose."
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date : 15-07-2016
"C'est pas une raison"
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date : 15-07-2016
"Les gens se croient très malins parce qu'ils ont des commerces ouverts jour et nuit à leur disposition, mais ils se trompent complètement. Ils vont finir par se dire qu'ils n'ont même plus besoin du soleil"
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date : 15-07-2016
Une garce est une garce, quel que soit le sexe.
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date : 15-07-2016
"Tu m'abandonnerais, si je devenais fou ?
-Plutôt deux fois qu'une. Je suis à la limite de ce que je peux supporter.
-Ah oui ?
-Mm-mm"
Le Rat se mit à rire. Pas un ricanement, ou un rictus amer, mais un vrai rire, frais, joyeux.
"Je ne t'abandonnerai pas, Aster. En fait, je t'égorgerai sans l'ombre d'une hésitation."
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date : 15-07-2016
"Aster. Ne sois pas trop optimiste avec là mort. Sans quoi, tu risques de t'en mordre les doigts. Tu aurais, par le plus grand des hasards, un poison à effet immédiat ? Comment vas-tu te suicider alors que tu n'as ni couteau pour te percer la gorge, ni corde pour te pendre ? N'espère pas mourir en t'étouffant avev ta langue ou n te jetant en bas.
-Mais un couteau ... tu en as un.
-J'ai compris. [...] Aster, dit le Rat d'une voix vacillante. Tu veux que je te tues ?" (p.135)
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date : 15-07-2016
Je ne peux plus avancer. C'est le maximum que je puisse faire. Je ne peux pas faire un pas de plus. Si le Rat ne m'avait pas rattrapé tout à l'heure, j'aurais glissé et je serais tombé la tête la première. Je suis incapable de faire quelque chose par moi-même (p.134)
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Spoiler(cliquez pour révéler)
Vous pouvez inonder le village ... noyez tout ça ...qu'on ne voie plus rien ... tous les endroits que j'aimais ... ces paysages inoubliables ... absolument tout ... faites comme si ... il n'y avait jamais rien eu ici !
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Il y a très longtemps, des soldats en fuite s'étaient réfugiés dans cette vallée ... Un jour, l'un d'eux rencontra une très jolie fille près de la cascade, ils tombèrent amoureux, ils se marièrent et ils eurent un enfant ... mais ... le bébé avait des écailles sur le corps !
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En Tchétchénie tout est comme ça : en suspens. Les gens n'existent pas : nous sommes des corps sans rien dedans. Nous ne sommes personne.
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Tout le monde pense qu'à Grozny le problème c'est la peur. La peur de la mort. Sauter en l'air, se faire tuer. Se retrouver avec une balle dans la tête. En réalité ce n'est pas le pire. Tu t'habitues à l'idée de mourir. Après un moment ... tu finis par ne plus y penser. Le problème - le vrai - durant mes mois passés à Grozny est autre. Le problème c'est que tout est problème.
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Désormais le mauvais infini du désir humain - le toujours autre, le toujours plus - qui anime le mouvement des civilisations, l'appétit de plaisir, de possession, de pouvoir, de connaissance -semble constituer la réalité humaine. Cette inquiétude qui nous fait mécontent du présent paraît être notre vraie nature ou plutôt l'absence de nature qui nous fait libre.
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