Commentaires de livres faits par misspixiie99
Extraits de livres par misspixiie99
Commentaires de livres appréciés par misspixiie99
Extraits de livres appréciés par misspixiie99
- Ah ouais ?
- Absolument.
" - Quoi ? dis-je en fronçant les sourcils. De quoi tu parles ?
- Je parle de TOI.
Il me désigne de son index.
-...qui m'a cloué MOI.
Il se montre du doigt.
-...au MUR.
Et il indique le mur."
Nous sommes synonymes, mais différents."
Elle vous envahit, tout doucement sans faire de bruit, s'assoit à vos côtés dans le noir, vous caresse les cheveux pendant votre sommeil. Elle s'enroule autour de vous, vous serre si fort que vous pouvez à peine respirer, que vous n'entendez presque plus la pulsation du sang dans vos veines, tandis qu'elle file sur votre peau et effleure de ses lèvres le fin duvet de votre nuque. Elle s'installe dans votre coeur, s'allonge près de vous la nuit, dévore comme une sangsue la lumière dans le moindre recoin. C'est une compagne de chaque instant, qui vous serre la main pour mieux vous tirer vers les bas quand vous luttez pour vous redresser.
Vous vous réveillez le matin et vous vous demandez qui vous êtes. Vous n'arrivez pas à vous endormir le soir et tremblez comme une feuille. Vous doutez vous doutez vous doutez.
je dois
je ne dois pas
je devrais
pourquoi je ne devrais pas."
Alistair Locke has good reasons for staying a solitary wolf. With his enemy on the hunt, anyone close to him is in mortal danger. Yet no woman has ever stirred the beast within the way Brie does, and they can't resist the erotic pull drawing them together when they get snowed in together.
But giving in to one night with the woman he desires may provide the perfect opening for his mortal enemy to destroy the exiled alpha wolf for good.
- Je ne suis pas Stefan, ma belle (Damon)"
[...]
J’ai tué des gens.
Beaucoup de gens.
Beaucoup…
J’ai tué…
- Eh, mon cœur, je suis là. Tout va bien.
Aaron prit mon visage en coupe dans ses mains tièdes et rassurantes. J’étais à genoux sur la grève, secouée de sanglots silencieux, un feu ravageant me consumant de l’intérieur. [...]
J’aurais fait n’importe quoi pour qu’il ne me vît pas dans cet état.
Je n’avais rien remarqué du tout.
Aaron s’agenouilla devant moi et me serra fort contre lui. J’aurais aimé le serrer à mon tour, lui crier combien je l’aime, combien j’étais désolée pour tout ce que j’avais fait, comme si ce simple aveu pouvait effacer mes actes impardonnables.
Mais je restai muette et immobile, les joues baignées de larmes. Les senteurs boisées d’Aaron m’apaisèrent comme à leur habitude, mais la tempête qui faisait rage en moi était bien trop puissante pour être arrêtée par la présence de mon loup-garou.
- Tout va bien, répéta Aaron."