Commentaires de livres faits par Monna
Extraits de livres par Monna
Commentaires de livres appréciés par Monna
Extraits de livres appréciés par Monna
Un très bon Luc DidierJean, dans la veine des anthologies du maitre en la matière, Richard Matheson.
Bref, un voyage livresque à ne pas rater !
Le style s’apparente aux grands voyages de Jack Vance, là où magie et aventure sont rois. Là où la quête du héros pousse nos personnages dans de nombreuses péripéties. L’humour est omniprésent et les références multiples (Warcraft, Howard…).
À la croisée des chemins d’Harry Potter et Terremer, lecteurs de tout âge, ce roman saura vous combler et vous suivrez Félix, Simon et Mélissa avec délice.
PS : Pour celles et ceux qui trouvent l’introduction à l’univers longue, rappelez-vous l’introduction éléphantesque du seigneur des anneaux…
Son prélude pourrait vous faire penser le contraire, mais cette histoire est emplie de bonheur et de gaité. Le mystère de la maison de France vous laissera un sourire aux lèvres et des réflexions plein la tête alors que vous tournerez la dernière page.
La plume est alerte, faisant voltiger le récit entre la troisième et la première personne afin de coller au plus près du ressenti de ses personnages.
L’enquête, entre généalogies, découverte de soi et de ce qui nous construit, vous tiendra en haleine tout le long de roman… sans vous laisser sur votre faim.
De la littérature populaire, mais bâtie sur des thèmes profonds.
En un mot : éblouissant.
Ce roman ne vous lâchera plus jusqu’à la page finale. Vous suivrez Charleen dans une enquête qui vous fera voir du pays… ou plutôt des pays comme la Suède, les États-Unis, l’Angleterre, la Belgique, la réunion ou bien la forêt amazonienne. Vous plongerez dans les arcanes du Darknet à la poursuite d’un réseau de hackers. Le style est dans la veine des thrillers danois, sec et concis. Le rythme sans être effréné se ressent comme une machination qui vous pousse toujours à tourner la page suivante. Les personnages, bien campés, bénéficient d’un traitement psychologique poussé ; un peu comme si vous regardiez une série mais pouviez lire les pensées des personnages. Pour ma part, j’ai eu une préférence pour Julia.
NB : même si cela n’est pas nécessaire, il est préférable de commencer par « Le projet Arthémis » qui est la première aventure des personnages que vous trouvez dans « l’ombre de Comenius »
Un parcours semé d’embuche, de joie et de peine pour Josef, enfant des pays de l’Autriche – Hongrie qui va voyager à travers toute l’Europe et deux guerres, dans la quête la plus grande et la plus simple qui soit : réussir sa vie.
C’est un livre pudique qui se concentre sur les émotions suscitées par une telle situation. On y assiste aux effets dévastateurs du qu’en-dira-t-on ou de cette impossibilité qu’on les prêtres catholiques de pouvoir connaitre un amour autre que celui de leur Dieu.
Un livre qui fait réfléchir et sourire, même si l’ensemble est baigné d’une ambiance mélancolique. Le style, comme toujours chez Jef Pissard, est maitrisé. Le ton est juste, donnant au récit une véracité presque surnaturelle.
Pour celles et ceux qui recherchent une romance sensuelle sans être vulgaire, ce roman sera parfait. Petit plus à mon goût, le livre ne tombe jamais dans la mièvrerie et les séquences d’action font que l’on ne s’ennuie jamais. Cette recette permet finalement aux réfractaires au genre romance (comme moi) d’apprécier le livre et même plus : acheter les tomes suivants pour connaitre le destin de Wade et Marina.
C’est un court roman biographique qui a réveillé en moi les souvenirs d’une jeunesse analogue à l’héroïne. J’ai éprouvé des sentiments et des sensations comme rarement dans un roman de ce type. Le style est concis, tel le fil de pensées qui ressurgirait dans notre mémoire, lorsque l’on jette un œil derrière soi en direction de son passé. Le souvenir de Giselle S. restera gravé dans ma mémoire de lecteur. Merci à l’auteur pour cet ouragan d’émotions !
On y découvre un auteur qui soigne son texte aussi bien que ses personnages ce qui rend son récit incroyablement addictif. Vous ne dévorerez pas ce livre, vous le savourerez, comme vous pouvez prendre plaisir à lire avec délicatesse un auteur talentueux. Et Géraud Pomel en fait clairement partie !
Les nouvelles abordent des thèmes d’actualités aussi bien que du fantastique dans un chaos réjouissant. Je veux dire qu’à chaque lecture, nouveaux lieux, personnages et surprises en tout genre.
Un auteur à découvrir et à suivre dans de plus amples récits.
C’est le premier tome d’une saga. On ressent bien la mise en place d’un vaste monde qui ne demande qu’à être découvert.
Un auteur à découvrir et à suivre pour ceux qui ont aimé le seigneur des anneaux ou l’assassin royal.
C’est le premier tome d’une saga. On ressent bien la mise en place d’un vaste monde qui ne demande qu’à être découvert.
Un auteur à découvrir et à suivre pour ceux qui ont aimé le seigneur des anneaux ou l’assassin royal.
Voici la suite des aventures de la doctoresse au caractère bien trempé du « sceptre et la lancette ».
La plume est habile, maniant les sentiments ambivalents du dieu roi ou d’Aldanor. Les intrigues et manigances de cours vous rappelleront les meilleurs moments de la saga de l’Assassin royal de Robin Hobb agrémentée de bataille épique. L’humour parvient à contrebalancer la violence de ce récit de Dark Fantasy.
On pourrait également y voir une métaphore sur nos classes dirigeantes, mais cela ne tient peut-être qu’à moi…
Dans tous les cas, laissez-vous tenter et succombez avec plaisir aux chroniques de Guensorde…