Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 792
Membres
1 013 864

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

— Alors, ce que propose cette lettre n’est pas sans danger.

— C’est fort possible, oui.

Il remit le parchemin à sa place et me dévisagea fixement.

— Tout dépend de toi, Claire. Ma vie t’appartient. A toi de décider où aller : en France, en Italie, ou même en Ecosse. Mon cœur t’appartient depuis que j’ai posé les yeux sur toi et que tu as tenu mon âme et mon corps entre tes mains. Nous irons où tu voudras.

Afficher en entier

Je le croyais endormi quand sa voix me fit sursauter.

— Claire ?

— Oui ?

— Je t’aime.

— Oh !

J’étais surprise, mais indubitablement ravie.

— Je t’aime aussi.

Il soupira et entrouvrit les yeux.

— Randall... commença-t-il. A la fin, c’est ce qu’il voulait que je lui dise.

Afficher en entier

— Finalement, c’est aussi bien comme ça, me murmura-t-il à l’oreille.

— Quoi donc ?

— Que tu sois stérile.

Il ne pouvait voir mon visage, mais il me sentit sûrement me raidir.

— Oui, reprit-il, je le sais depuis belle lurette. C’est Geillis Duncan qui me l’a dit peu après notre mariage. Au début, je l’ai regretté, mais après je me suis dit que cela valait mieux ainsi. Avec la vie qu’on mène, que ferions-nous si tu attendais un enfant ! Et à présent, j’en suis même heureux. Je ne voudrais pas que tu souffres comme Jenny.

— Ça ne m’ennuierait pas, dis-je en repensant à la petite tête ronde et aux doigts minuscules.

— Moi si. J’ai vu la tête que faisait Ian. C’était comme si on lui arrachait sa propre chair chaque fois que Jenny criait. Je peux endurer ma douleur, mais pas la tienne. Je ne le supporterais pas.

Afficher en entier

— Vous êtes très fort, dis-je impressionnée. Qui vous a appris à vous battre ? Votre maître était sans doute gaucher, lui aussi, pour vous enseigner une telle technique ?

— Oui, il l’était. Le meilleur guerrier que j’aie jamais vu.

Il esquissa un souire amer.

— Dougal MacKenzie.

Je lui enlevai quelques feuilles de cerisier restées accrochées à ses épaules. Sa chemise avait été recousue. C’était du travail propre, à défaut d’être du grand art. Il avait même reprisé un accroc dans le tissu.

— Il recommencera ? ne pus-je m’empêcher de demander.

Il ne répondit pas tout de suite.

— Oh oui, dit-il enfin, si ça l’aide à obtenir ce qu’il veut.

— Et vous allez le laisser faire ? Le laisser vous exploiter de cette façon ?

Il regarda par-dessus mon épaule, vers la taverne au pied de la colline où une petite lumière brillait encore à travers le feuillage. Son visage était fermé.

— Pour le moment.

Afficher en entier

[Jamie à Claire]

Je crois qu'on à tous en nous un petit espace qui n'appartient qu'à nous, comme une forteresse, notre refuge le plus intime. C'est peut-être notre âme, cette qui fait qu'on est soit-même et personne d'autre. C'est un endroit qu'on ne montre à personne, sauf parfois à quelqu'un qu'on aime beaucoup.

(Chapitre 36: MacRannoch, p.785)

Afficher en entier

"- Je crois qu'on a tous en nous un petit espace qui n'appartient qu'à nous, comme une forteresse, notre refuge le plus intime. C'est peut-être notre âme, cette chose qui fait qu'on est soi-même et personne d'autre. C'est un endroit qu'on ne montre à personne, sauf parfois à quelqu'un qu'on aime beaucoup.

Sa main lâcha la mienne et il ferma les yeux.

- A présent... c'est comme si ma forteresse avait volé en éclats sous des coups de canon. Il ne reste rien que des cendres et une charpente calcinée. Et la petite créature qui y vivait se retrouve nue, tremblante de peur, essayant de se cacher sous un brin d'herbe, une feuille, mais... elle n'y parvient pas. "

Afficher en entier

" Vous savez, c'est facile d'être courageux assis dans une taverne devant une chope de bière. Ça l'est déjà moins quand on se retrouve en plein hiver dans un champ avec des balles de mousquet qui sifflent au-dessus de votre tête et des ronces qui vous piquent le cul. Mais tout ça n'est rien à côté du fait de se trouver nez à nez avec son ennemi quand votre propre sang vous dégouline sur le kilt. "

Afficher en entier

- C'est pour ça que tu m'as épousée ? le taquinai-je. Pour éviter de pécher ?

- Oui. C'est à ça que sert le mariage, non ? Ca rend sacrés des actes qu'autrement je serais obligé de confesser.

Afficher en entier

- Ca va aller ? demanda-t-il.

- Non, je me suis cogné la tête.

Me frottant le front, je regardai autour de moi ce que j'avais bien pu heurter dans ce couloir totalement vide.

- Sur quoi j'ai atterri ? demandai-je, encore hagarde.

- Sur ma tête ! répondit-il sur un ton légèrement agacé.

Afficher en entier

Il déboutonna sa chemise, découvrant son torse, et sortit sa dague de sous sa ceinture. Il me la lança et elle tomba lourdement à mes pieds.

Puis il remit un bras sur ses yeux, pencha la tête en arrière me présentant sa pomme d'Adam.

- Un coup net, juste là, sous la gorge. Il faut frapper rapidement et profondément, ça demande un peu de force. Si tu préfères, tu peux me trancher la gorge, mais tu risques de salir les draps.

Je me penchai pour ramasser l'arme.

- Tu aurais l'air malin si je le faisais, pauvre cloche ! lâchai-je.

Je vis qu'il souriait sous son bras.

- Sassenach ?

- Quoi ?

- Je mourrais heureux.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode