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Il m'attira à lui puis se pencha vers moi. Son souffle chaud effleura mes lèvres. Mon coeur battait si fort que j'arrivais à peine à respirer. J'étais sûre qu'il allait encore se rétracter et j'attendis cette hésitation, tendue, le ventre nouée. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, mais je craignais encore qu'il recule. Il pressa ses lèvres contre les miennes et les entrouvit. Et il m'embrassa. Il m'embrassa vraiment.
Afficher en entier- Tu as toujours mon message? m’interrompit Simon.
Je hochai la tête.
- Donne-le-lui, ajouta-t-il.
Je sortis le morceau de papier de ma poche et le tendis a Derek. Pendant que ce dernier étudiait le croquis, Simon l’observa, et son sourire s’effaça.
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)Derek et moi sortîmes nous promener après le repas. Seuls.
Il y avait un champ derrière le motel. Nous prîmes cette direction. Quand nous fûmes enfin assez loin du bâtiment, Derek m’emmena dans un petit bois. Une fois parmi les arbres, il hésita, incertain. Il s’était jusque-là contenté de me tenir la main. Je fis un pas vers lui et sentis son autre main se poser sur ma hanche.
— Bon, dis-je. On dirait que tu te retrouves coincé avec moi pour un moment.
Il me fit un sourire. Un vrai sourire qui illumina son visage tout entier.
— Tant mieux.
Il m’attira à lui puis se pencha vers moi. Son souffle chaud effleura mes lèvres. Mon cœur battait si fort que j’arrivais à peine à respirer. J’étais sûre qu’il allait encore se rétracter et j’attendis cette hésitation, tendue, le ventre noué. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, mais je craignais encore qu’il recule.
Il pressa ses lèvres contre les miennes et les entrouvrit. Et il m’embrassa. Il m’embrassa vraiment ; il me serra dans ses bras et je sentis sa bouche qui s’animait contre la mienne, fermement, comme s’il avait décidé que c’était ce qu’il voulait et qu’il ne reviendrait pas sur sa position.
Je passai les bras autour de son cou. Il me serra encore plus fort contre lui et me souleva en m’embrassant comme s’il ne s’arrêterait plus jamais. Je ne touchais plus terre, et chaud effleura mes lèvres. Mon cœur battait si fort que j’arrivais à peine à respirer. J’étais sûre qu’il allait encore se rétracter et j’attendis cette hésitation, tendue, le ventre noué. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, mais je craignais encore qu’il recule.
Il pressa ses lèvres contre les miennes et les entrouvrit. Et il m’embrassa. Il m’embrassa vraiment ; il me serra dans ses bras et je sentis sa bouche qui s’animait contre la mienne, fermement, comme s’il avait décidé que c’était ce qu’il voulait et qu’il ne reviendrait pas sur sa position.
Je passai les bras autour de son cou. Il me serra encore plus fort contre lui et me souleva en m’embrassant comme s’il ne s’arrêterait plus jamais. Je ne touchais plus terre, et je l’embrassai en retour avec la même ardeur, comme si je voulais qu’il ne s’arrête jamais.
C’était un moment parfait, durant lequel rien d’autre n’avait d’importance. Je ne sentais plus que lui. Je ne goûtais plus qu’à son baiser. Je n’entendais rien d’autre que les battements de son cœur. Et je ne pouvais penser à rien d’autre qu’à lui, à combien j’avais voulu cela, à ma chance inouïe de l’obtenir et à la force avec laquelle j’allais m’y accrocher.
C’était ce que je désirais. Ce garçon. Cette vie. Cette Chloé-là. Je ne retrouverais plus jamais ma vie d’avant, et peu m’importait. J’étais heureuse, en sécurité. J’étais exactement là où je voulais être.
Afficher en entierAprès quatre nuits de cavale, je me sentais enfin en sécurité, au chaud dans un lit à profiter d’un profond sommeil sans rêver de morts… jusqu’à ce que ces derniers décident finalement qu’ils préféraient me réveiller. Un rire vint d’abord s’insinuer dans ma torpeur et finit par m’en tirer. Je me redressai sur les coudes en clignant des yeux et m’efforçai de me rappeler où je me trouvais. Un chuchotement incompréhensible tourbillonna autour de moi.
Je me frottai les yeux et laissai échapper un bâillement. Une faible lumière grise filtrait à travers les rideaux, dans la chambre calme et silencieuse. Pas de fantôme, Dieu merci ! J’en avais assez vu ces dernières semaines pour le restant de ma vie.
Afficher en entier« Tori, qui d’habitude ne voulait rien avoir à faire avec nous, resta collée à moi à tel point que je crus qu’elle essayait de me voler mon donut. »
Afficher en entierC’est tragique d’être née dépourvue d’imagination. Est-ce qu’il existe des Téléthons pour ça ?
Afficher en entierJe me rapprochai de lui, sentis ses bras autour de moi qui me serraient contre son torse. nos lèvres se touchèrent...
- Derek? appela son père. Chloé?
Derek grogna. Je me mis à rire et reculai.
- Ca nous arrive un peu trop souvent, hein? constatai-je.
- Beaucoup trop. Après le dîner, on va faire un tour. Un très long tour. Loin de toutes les interruptions possibles.
Je luis fis un grand sourire.
- Bonne idée.
Afficher en entier- Il respire, chuchota Simon. Mais il ne veut pas se réveiller.
Tori s'approcha du lit. Du coin de l’œil, je la vis jauger Derek du regard.
- Tu sais, dit-elle, vu d'ici, il n'est pas si mal.
Afficher en entierJe n'avais qu'à jeter un coup d’œil aux murs du cimetière pour voir le visage désapprobateur de Derek et l'entendre m'aboyer: " Ne pense même pas à t’entraîner ici, Chloé."
Afficher en entier"Nous avions une arme, un loup-garou, un poltergeist, une jeteuse de sorts superpuissante, un jeteur de sorts un peu moins puissant, et une nécromancienne complètement inutile."
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