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Les extraits ajoutés par maneva

Le 7 juin 1983 un avion se pose sur l'aréoport de balice près de cracovie. Il en descend des passagers en provenance des Etat-Unis. Cyla Zacharowitz regarde autour d'elle à la recherche de quelqu'un, et son regard tombe sur un homme maigre. Il à trente neuf roses rouges dans la main, une pour chaque année passée depuis Auschwitz. "Tant d'années", se dit Cyla Zacharowitz. Ils se regardent. "Comme tu es devenu sérieux" dit-elle. Et Jerzy bielecki répond : "Mais toi tu n'as pas changé."

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Le soleil était depuis longtemps passé sous la ligne d'horizon, cédant la place à une myriade d'étoiles étincelant autour de la pleine lune. Les clients qui s'étaient fait de plus en plus nombreux au fil de la soirée s'étaient dispersés sur la plage et un groupe de musiciens se mit à jouer, donnant le signal de départ des festivités nocturnes de Waikiki. Outre le clair de lune, des guirlandes de lanternes colorées accrochées aux arbres et aux poteaux tenaient lieux d'éclairage. Les gens lançaient des cris de joies et s'assemblaient sur le sable pour danser avec des éclats de rire, un verre dans une main, celle de leur partenaire dans l'autre. Une vrai publicité d'agence de voyages. Une ambiance géniale.

Jax entrelaça leurs doigts.

- Viens !

Vanessa le suivit avec joie et se joignit avec lui à la foule des danseurs. Elle avait toujours aimé se retrouver au centre de la fête et se souvenait pas de s'être abstenue une seule fois de fouler le dance-floor à une soirée. La musique s'immisça dans son corps, l'incitant à onduler et à se déhancher en rythme. Elle aimait se mêler à la foule, se fondre dans une nuée de corps moites se frottant lascivement les uns contre les autres.

Dés qu'elle eut trouvé l'endroit qui lui convenait, elle se mit à bouger, aussitôt imitée par Jackson. Les hommes qui ont le sens du rythme ne sont pas légion, mais Jackson était du nombre. Il plaça une jambes entre les siennes pour remuer le bassin en même temps qu'elle, leurs hanches ondulant au rythme de la musique.

Vanessa noua ses doigts autour de sa nuque et renversa la tête en arrière pour croiser son regard.

- Non mais regardez-moi ça... Patrick Swayze en chair e en os !

- Danser, c'est comme faire l'amour. Il s'agit seulement de bouger en rythme avec son partenaire. De trouver un rythme à deux. C'est un peu comme faire l'amour debout, ajouta-t-il avant d'approcher ses lèvres de son oreille. Je pense avoir prouvé ma compétence dans ce domaine aujourd'hui, mais si tu veux que je te rafraîchisse les idées, je serai ravi de le faire.

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Petit à petit, un bruit de chute d'eau parvint à ses oreilles et elle aperçut la lumière au bout du tunnel de végétation dans lequel ils se trouvaient. Un frisson de curiosité mêlée d'impatience la traversa. Elle commençait peut-être à prendre goût aux surprises, finalement.

- Et voilà, annonça-t-il en la prenant par la main pour la faire franchir la fin du tunnel. Je te présente les chutes de Maris.

- Oh, Jackson !

Devant ses yeux éblouis, elle venait de découvrir un bassin d'eau claire cerné de hautes falaises drapées de végétation foisonnante, une chute d'eau majestueuse franchissant le sommet de l'une d'elles pour retomber en une gerbe d'écume spectaculaire et parsemée d'arcs-en-ciel issus de la réfraction de la lumière du soleil.

- Ton endroit préféré de l'île, dit-elle en tournant les yeux vers lui.

- Oui. C'est ici que je viens pour réfléchir et me détendre. Enfin les trucs habituels, quoi.

Elle rit et contempla la scène qui s'offrait à ses yeux.

- Je n'ai rien vu d'aussi époustouflant.

- Moi, si.

Le son de sa voix lui fit tourner les yeux vers lui et quand elle découvrit le regard ardent qu'il posait sur elle, la signification de sa réponse devint évidente. En temps ordinaire, elle aurait lancé une espièglerie du genre "Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute", mais elle découvrit que sa gorge était complétement sèche et que son sens de la répartie semblait l'avoir abandonnée.

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- Reid, je...

Elle n'acheva pas sa phrase et il redouta soudain le pire.

- Qu'Est-ce que tu en penses ? C'est bon, tu sais, je suis prêt à entendre la vérité.

Elle tourna vers lui un regard embué de larmes.

- C'est magnifique. Tu as un talent incroyable, fit-elle en reportant son attention sur le dessin. Tu m'a rendu... belle.

Les pas de Reid résonnèrent dans le silence de la pièce quand il se rapprocha d'elle pour la prendre dans ses bras. Il porta une main à son visage et, de son pouce, effaça la larme qui coulait sur sa joue.

- C'est là où tu te trompes, Lucie. Il m'a fallu recommencer plusieurs fois pour réussir à capturer ta beauté.

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Leurs regards se croisèrent et ils s'immobilisèrent.

- Lucie ?

- Reid ?

Cela faisait au moins six ou sept ans qu'il n'avait pas revu la petite sœur de son meilleur ami. Avec son visage bouffi par les larmes et ses yeux rougis, il n'aurait pas été certain de la reconnaître. Mais la tache de rousseur en forme de cœur qui ornait le coin de son œil gauche l'avait trahie. On l'apercevait à peine derrière les grosses montures de ses lunettes rectangulaires.

- Oh, mon dieu, lâcha-t-elle en le prenant par la taille.

Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas croisé un natif de Sun Valley et, en dehors du frère de Lucie, cette dernière était bien la seule qu'il avait envie de revoir. Il la serra dans ses bras et le parfum aux notes fleuries et printanières de sa chevelure, si différentes des essences lourdes et entêtantes qu'il avait l'habitude de sentir sur les femmes, effleura agréablement ses narines.

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Il ouvre la grande baie donnant sur la terrasse. Il fait encore très doux ce soir. Tandis qu'il se charge de verser le vin, j'aperçois les flashs par centaines qui illuminent la tour Eiffel, il est 23 heures juste. Je souris bêtement.

- Qu'est-ce qui t'amuse à ce point ? remarque-t-il.

- Quand j'étais jeunes, j'ai souvent rêvé que mon prince charmant m'emmenait tout là-haut, dis-je en désignant le sommet de la tour. Il mettait un genou à terre, me clamait son amour. Et à ce moment-là, la tour se mettait à étinceler.

- Et ? m'encourage-t-il, sérieux.

Je me retourne vers lui et j'accepte le verre qu'il me tend.

- C'est tout !

- Comment ça, c'est tout ? Pas d'applaudissements des touristes ? Pas de cheval blanc, de lit à baldaquin et de nuit d'amour ?

- Non, rien de tout ça. Dans mes rêves, il n'y a jamais personne d'autre. Je crois que je me moque tellement de ce que pensent les gens, leur avis, leur jugement m'est indifférent... alors pourquoi voudriez-vous que j'attende des applaudissements pour quelque chose qui ne regarde que moi ?

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- Dan? tu veux un verre? lance-t-elle vers la porte entrouverte.

Mon coeur fait un bond et je me fige une seconde... une seconde de trop.

La porte de la chambre s'ouvre, et le parfum dont les effluves si familiers auraient dû m'alerter dès que je suis entrée me heurte de plein fouet. Daniel s'arrête net sur le seuil et me dévisage, incrédule.

- Cali? souffle-t-il.

Mon prénom dans sa bouche m'affole. Je sens l'urgence de la fuite. Sans prendre le temps de m'excuser, je fais demi-tour et fonce vers la sortie. Il est cependant plus rapide que moi et se met en travers de mon chemin. Je voudrais récupérer mon bras, qu'il a empoigné si fortement qu'il me fait mal. Je lutte déjà contre les larmes et, heureusement pour moi, c'est la colère que je ressens qui est la plus forte, la colère de m'être stupidement fait avoir. Je réclame qu'il me lâche, mais il ne l'entend pas de cette oreille.

- Tu ne te sauveras pas deux fois de la même façon, me prévient-il.

La voix fluette de la blonde s'élève derrière nous.

- Dan? Il y a un problème? Tu connais cette fille?

Il ne relève pas et continue de me fixer intensément.

- Je vous en prie, monsieur Sitrange, j'ai...d'autres choses à faire.

- Ca, je m'en moque bien, rugit-il.

- Vous oubliez que je ne suis plus à votre service exclusif, j'aboie.

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Soudain, Martino se tait. Eh bien, il en tire, une tête! Qu'est-ce qu'il peut bien vouloir me dire?

- Mais euh... Avant, il y a quelqu'un qui aimerait te voir.

- Quelqu'un?

- Oui, juste là, dehors.

- C'est qui?

- Attends...

- Je ne risque pas de m'envoler, tu sais...

Je le regarde s'approcher de la porte et s'engager dans le couloir.

Quelques secondes plus tard, la silhouette d'un homme apparaît dans l'embrasure de la porte, une silhouette que je pourrais dessiner les yeux fermés. Cette ligne d'épaules, ce torse large...

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Nous restons allongés là, agrippés l'un à l'autre. Nous ne sommes plus deux. Telle une boule d'énergie vibrante, nos corps et nos âmes sont désormais soudés, et se mélangent à tout ce qui nous entoure. Nos deux cœurs battent à l'unisson avec le coeur de la terre.

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Une vague de chaleur déferla dans mes veines et mon corps se raidit impatiemment. Mes paupières se fermèrent et ses lèvres caressèrent les miennes une fois, puis une seconde, comme si elles devaient refaire connaissance. Ce contact léger, presque inexistant, était éprouvant au possible.

Cam bascula son poids sur son bras gauche et, de l'autre main, s'attarda sur ma joue. Il m'embrassa à la commissure des lèvres, puis de l'autre côté, avant de glisser sa paume dans le creux de ma nuque. Sa bouche traça un sillon le long de ma mâchoire, jusqu'à mon oreille. Un nouveau frisson me fit tressaillir, ce qui occasionna chez lui un ricanement grave et rauque. Il baisa de nouveau ce point sensible juste sous mon lobe, et un gémissement me naquit dans la gorge.

- Bonne nuit, Avery.

Puis il m'embrassa, il m'embrassa exactement comme il l'avait fait avant de rentrer chez lui le soir de notre premier rencard. Il m'embrassa tel un homme en manque d'oxygène qui n'aurait pu trouver son salut que dans ma bouche. La main derrière mon cou me maintint en place, et je restai dressé sur mes coudes pour l'encourager à me dévorer. C'était le seul terme approprié à notre baiser.

Cam me dévorait littéralement.

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