Commentaires de livres faits par Salvalaio
Extraits de livres par Salvalaio
Commentaires de livres appréciés par Salvalaio
Extraits de livres appréciés par Salvalaio
[…]
- Ou bien nous serons morts. Encore que je suppose que c’est un genre de liberté.
- Quand il s’arrêtera de battre, je pense.
[…] c’est comme si on vivait tous dans un sac en plastique. Comme si on était tous emballés dans de la cellophane.
Pour arrêter le silence ?
Il lui arrive, par moment, de ne plus rien savoir.
Il ne sait plus où il est, qui il est.
Comme lorsque l'on se réveille d'un cauchemar.
Il faut quelques secondes avant de réintégrer le réel.
Albert demeure de longues heures dans cette zone.
Celle où la conscience erre.
On sent la volonté de ne pas offrir en plus du reste sa douleur.
C'est la seule chose que l'on peut conserver.
Quand on a plus rien.
L'envie de se tenir droit.
Nagg. - Je ne pouvais pas savoir.
Hamm. - Quoi ? Qu’est-ce que tu ne pouvais pas savoir ?
Nagg. - Que ce serait toi.
Hamm. - La mienne l’a toujours été.
Acte III, scène VI
Acte III, scène VI
Acte III, scène VI
Acte III, scène V
Raison de perdre la raison.