Commentaires de livres faits par String92
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Il s’arrêta alors de parler et se recula juste assez afin de pouvoir la regarder dans les yeux. « Je peux t’enlever ça ? »
Un frisson parcourut son corps à cette pensée. Elle se sentit pleine d’audace et quelque peu téméraire. « Seulement si tu promets de m’enlever ma robe également.
— Putain, Sophia, grogna-t-il en appuyant son front sur ses épaules comme pour se maintenir. Je veux tout t’enlever. »
Everly me sourit et fait claquer son torchon sur mes fesses.
— La ferme ! Il va t’entendre.
Flûte, je rougis déjà.
Luke.
Tous les mardis matin, sa venue illumine mon service au « Sers-moi fort » le café où je travaille quand je ne suis pas en cours à l’université de Pennsylvanie. Dans cet établissement de la chaîne, situé à l’entrée du campus, nous servons surtout les étudiants et les salariés qui habitent en dehors de l’université.
Luke fait partie de la seconde catégorie. Je ne sais pas exactement ce qu’il fait dans la vie, mais il porte toujours des costumes très onéreux avec cravate. Rien à voir avec les étudiants en jogging et tee-shirt qui traînent ici. Il doit avoir dix ou quinze ans de plus que moi, mais ça ne me dérange pas. Il est beau et j’ai un faible pour lui, ce qui est mal parce que j’ai un petit ami. De mon âge. Luke… Il me fait mouiller rien qu’en commandant son café. Grand – plus d’un mètre quatre-vingts à vue de nez –, brun, les yeux marron, et des cils à tomber par terre. Aujourd’hui, il porte un costume gris foncé et une cravate prune. Canon.
Je suis un peu obsédée par ses mains. Il a de longs doigts avec des ongles courts impeccables. Je pense qu’il est très doué de ses mains, je parie qu’il pourrait me faire jouir en quelques minutes ; j’imagine sans mal ses doigts exquis trouver l’angle parfait en moi, pendant que son pouce caresse mon clitoris. Il pourrait certainement me faire atteindre l’orgasme d’une main en passant un coup de fil de l’autre.
"Mark!" répondis-je.
Mark sortit de derrière la fumée. Il avait les yeux hagards et une expression confuse. Et lorsqu’il me vit, il parut presque animal.
"Nous avons gagné!" dit-il en donnant l’impression qu’il aurait pu mordre dans du fer. "Nous avons gagné!
J'ouvris la bouche pour parler lorsque, venu de nulle part, Mark saisit mon menton et m'embrassa. Poussant sa langue dans ma bouche, il attrapa ma nuque et m'embrassa jusqu'à ce que je ne puisse plus respirer. Je me sentais faible, comme sur le point de m’évanouir. Je remuai et me débattis contre lui jusqu'à ce qu’il lâche son emprise et que je tombe dans ses bras musclés.
Je n'avais jamais été portée si facilement. Comme un sac, il me jeta sur son épaule et me transporta. Les choses virevoltaient autour de mes yeux. Ce fut d'abord le pont, puis les escaliers puis le couloir. Bientôt, nous nous retrouvâmes juste devant notre porte de cabine, puis sur le lit.
Ce n'était pas la fin de l’aventure, loin de là. Il me déshabilla comme un homme possédé. Retrouvant mes esprits, je luttai.
Je martelais sur sa poitrine et me débattais, mais rien ne l'arrêta. Agrippant mon haut, il l’arracha d’un seul coup. S’attaquant ensuite à mon pantalon, le bouton céda sous sa force. Suivirent le son de la braguette qui s’ouvre puis celui de mon jean volant à travers la pièce.
Mon instinct me dit de sortir, alors je me remis à le taper, cette fois avec plus de force. Mais, comme si je n'étais pas là, il attrapa mes poignets en les plaçant dans l’une de ses larges mains. Et avant que je puisse bouger, avant que je puisse essayer de m’extirper, il se retrouva à l'intérieur de moi.
Je suis là, debout devant ce mec que je ne connais pas. Il est arrivé pile à l’heure. Il m’a scrutée et, bordel, ce qu’il est beau. J’aurais dû préciser un pas trop beau. Parce que là, ça me met encore plus mal à l’aise. Je l’ai regardé marcher jusqu’à la chaise, j’ai observé le mouvement de ses muscles lorsqu’il a retiré son blouson de cuir.
Soudain, il s’est approché et m’a attirée contre lui. Avec force et puissance mais sans violence, encore une nouveauté pour moi. Il a posé ses lèvres sur ma peau et je crois que pendant une seconde, juste une, je me suis sentie… presque bien, presque normale. Ni dévastée, ni détruite.
Puis il m’a serrée encore plus contre lui et là, j’ai paniqué. Je l’ai repoussé. Je sens qu’il m’observe et moi, comme une conne, je baisse la tête, prête à recevoir les coups. E déteste que je lui dise non. Il faut que je me ressaisisse. C’est pour oublier E que je fais tout ça, pour voir s’il reste au moins un millimètre de moi qui ne soit pas totalement démoli.
– Aleyna ?
Encore mon prénom et cette douceur.
– Est-ce que tu préfères que je m’en aille ? Pardon, je ne voulais pas vous tutoyer.
– Non, non. Ne partez pas. Et vous pouvez me tutoyer, bien sûr. Cessez de vous excuser, vous n’avez rien fait de mal. Rien du tout. C’est juste que…
– Oui ? Dis-moi.
Il s’est discrètement approché de moi et me soulève délicatement le menton pour que je le regarde. Je sais qu’il ne fait que son job mais, bon sang, ce que j’ai honte. Il doit tout faire pour me satisfaire, peu importe ce que je lui demande.
– S’il vous plaît, Alec, ne m’emprisonnez plus dans vos bras.
– Bien sûr.
“Je peux me débrouiller par moi-même,” le taquina-elle, cognant son épaule contre la sienne gentiment.
“Tu n’es pas obligée.”
Elizabeth leva les yeux, remarquant soudainement à quel point son visage était près du sien tandis qu’ils se tournèrent l’un vers l’autre. Au-dessus de l’odeur des pins et de la fumée de bois, elle pouvait à présent sentir le parfum riche et musqué qui émanait de Rob, terreux et salé, et elle se retrouva en train de pencher en avant presque inconsciemment, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Lorsqu’elle s’en rendit compte, cependant, elle ne fit rien pour l’arrêter. Ses lèvres s’entrouvrirent et sa langue vint les mouiller, anticipant. Ses yeux clignotèrent pour mieux voir et dans la lumière de la lune elle aperçut ses yeux brillants se dilater tandis qu’il baissait son visage vers le sien pour capturer ses lèvres dans ce qui fut leur premier baiser.
Avec un haussement de sourcils malicieux, Fabian m’indique son entrejambe.
– Prête à recommencer ?
Dans mon esprit résonne la même phrase, prononcée par une autre voix. La tienne. Après notre première étreinte. Tes yeux qui me fixaient, me transperçaient, me connaissaient déjà alors que nous nous découvrions à peine. Le manque de toi se glisse, sournois, et s’empare de moi. Ne plus entrelacer mes doigts aux tiens, ne plus toucher ta peau, ne plus humer ton odeur…
— Bonjour, ma petite. Tu es prête?
Je tremblais alors que je sentais son souffle chaud sur l'arrière de mon cou. Sa main puissante serpentait ma taille pour me tirer plus près de lui. C’était une phrase très simple, mais empli de tant de promesses. Il n'avait pas besoin de me dire ce que c’était. Je savais déjà. Il n'était pas prêt de partir. Etais-je prête pour lui? Oui, je l’étais. Cela faisait des jours que j’étais prête. J’allais enfin l‘avoir tout entier pour moi-même.
Mon esprit parti à la dérive en pensant à lui en train de glisser sa main discrètement dans mon pantalon pour me doigter là où nous nous trouvions. Je n’ai jamais fait l’amour avant, mais j’en avais tellement envie. Josh a dit qu’aujourd’hui serait le grand jour. Le tram s’arrêta à un arrêt et les passagers l’envahirent. On était serrés comme des sardines.
Le souffle de Josh était chaud sur mon visage; nous étions serré, très serré. Il me regarda en souriant avec une étincelle diabolique à peine visible. Je lui rendis la pareille. La barbe naissante qui faisait grisonner ses joues commença à m’exciter. Passant ma main sur son torse jusqu’à son visage rugueux m’excita encore plus.
Lorsque enfin le mâle plonge sa main sous la petite lingerie de Marie, Dana soupir de soulagement. Ses propres doigts suivent le mouvements et elle se rend compte qu'elle est déjà trempée au-delà de toute rédemption. Elle a pris l'habitude de ne se toucher que lorsque Thomas caresse son amante, et seulement là où il la caresse. C'est une délicieuse torture qui lui permet de profiter un peu de lui d'une manière dérobée…
OK, il est sexy, mais il ne m’aura pas avec son sourire, ses tablettes, son…
STOP ! »
Le garçon m'interpella par la fenêtre ouverte. Son visage ne me disait rien. Il cherchait un bar dont le nom m’était inconnu. Quand il me proposa de faire le tour du quartier et de me ramener à mon appartement si l’on ne trouvait pas le bar, j’acceptai son offre sans réfléchir. J’étais persuadé de geler sur place si je ne reprenais pas immédiatement la marche.
Marc s’approcha du lit et la regarda. Les draps repoussés à la taille à cause de la chaleur, elle ne bougeait pas et s’appliquait à respirer régulièrement. Comme elle gardait les yeux fermés, elle ne pouvait voir la façon dont son oncle contemplait sa poitrine qui s’était singulièrement développée depuis l’année dernière, et que la légère chemise de nuit ne cachait guère. Tout de même, elle trouva qu’il restait bien longtemps. Elle s’imagina qu’il s’inquiétait pour sa santé et fut tentée de faire semblant de se réveiller. Un obscur instinct l’en dissuada. Après tout, il ne faisait rien de mal. Et puis, ce n’était pas si désagréable de se laisser regarder. Elle se contenta de respirer plus fort, juste pour faire comprendre à son oncle qu’elle allait bien, sans avoir conscience qu’ainsi ses seins remuaient.
Marc partit aussi silencieusement qu’il était venu. Claire se leva et s’étira. Une étrange lourdeur pesait sur son corps. Pourtant, elle avait les nerfs à fleur de peau. Elle ôta sa chemise de nuit, en regrettant qu’il n’y ait pas de glace dans la chambre. Elle aurait aimé s’examiner. Elle s’approcha de la haute fenêtre et appuya son corps nu au vitrage à petits carreaux. Elle ne savait pas pourquoi elle faisait ça, et se doutait que c’était mal, mais le lourd rideau de dentelle au crochet la dissimulait. De toute manière, la ferme était isolée.
Claire resta un long moment à contempler le jardin derrière la maison et, au-delà, les prairies grasses et les haies touffues de la campagne normande. Bien qu’il fût à peine dix heures le soleil cognait fort. La jeune fille sentait la chaleur imprégner le voilage de coton. Cette tiédeur gagnait son corps, surtout son ventre. Ses bouts de seins durcissaient, phénomène qu’elle avait rarement connu jusque-là. Elle les frottait contre la dentelle épaisse et rugueuse des rideaux, attentive aux sensations bizarres qui naissaient en elle.
A un moment, elle crut entendre du bruit du côté de la porte. Elle tourna vivement la tête, mais personne n’entra. Rassurée, elle reprit son manège. Une sensation de gêne s’installait entre ses cuisses. Un poids comprimait son bas-ventre, comme une envie de faire pipi, mais qui n’était pas désagréable.
Claire mit les mains aux hanches. Une impulsion inexplicable la poussait à porter ses doigts à son sexe. Ce n’était pas la première fois qu’elle en avait envie, mais elle n’avait jamais osé passer à l’acte. Ses parents ne lui avaient-ils pas répété que c’était sale de se toucher là ? Cette fois, la tentation fut trop forte. Elle effleura les bords de sa fente, surprise de les sentir mouillés. Pourtant, elle n’avait pas l’impression de s’être oubliée.
Elle aurait sans doute poussé son exploration plus loin si, à cet instant, sa tante n’avait frappé à la porte.
— Claire ? Tu dors encore ? Tu ne vas pas rester au lit par une si belle journée !
— J’arrive, tatie Sophie. J’allais justement m’habiller.
A regret, Claire s’écarta de la fenêtre et rejoignit la chaise où étaient posés ses vêtements.
Rien à redire, en ce qui me concernait. Ça payait les factures et c’était ainsi que mon père avait passé les trente dernières années de sa vie et bâti son empire.
En tant qu’héritier de White Lace Productions, j’étais chargé de trouver les femmes les plus sexy et les plus motivées de la ville. C’était mon métier, et j’étais sacrément bon.
«Oui, Monsieur,» furent les seules paroles que son esprit embrumé pensa à prononcer.
Il se pencha encore plus pour l’embrasser encore. Cette fois, elle s’adoucit nettement, et le baiser fut plus passionné. Elle lui rendit son baiser. Les mains de Peter quittèrent son visage. Une atterrit sur sa nuque tandis que l’autre trouvait domicile dans le creux de ses reins. Il l’attira contre lui, et sa langue dessina le contour de ses lèvres, la goûtant. Elle sentit sa bite se dresser dans son pantalon tandis que sa langue se forçait un passage dans sa bouche.
Sa queue qui enflait se pressait contre la partie basse de son abdomen, et elle se retrouva elle-même dans un état de sensible excitation. Elle acheva de se détendre entièrement et se mit à lui rendre ses baisers avec passion. Son entre-jambe la démangeait et ses tétons se durcissaient. Quand Peter attrapa ses cheveux et tira sa tête en arrière pour embrasser son menton et son nez, un sourd gémissement lui échappa. Elle gémit de plus belle et ferma ses yeux, la respiration coupé quand il mordit son cou. Elle se sentait légèrement étourdit. Sa tête tournait et elle avait des bouffées de chaleur.
Putain qu'il est beau !
_ Tu as un sérieux problème Isa ! Tu sais depuis quand date ma dernière partie de jambe en l'air !
_ Yep, ça date du rouquin, d'ailleurs, ça devait pas être jouissif.
_ Bah non, loin de là ! Alors tu peux pas me faire jouir avec ta bouche sans me prendre !
_ Bah si je le peux, la preuve.
Un large sourire aux lèvres, il lève le verre qui tient à la main.
Je vais le démonter !
_ Tu as pas mal aux couilles à force ?!
_ Humm... Un peu j'avoue.
_ On peut y remédier Isa.
_ Je ne céderai pas Aly !
Kevin se mordit la lèvre, il n’aimait pas qu’on lui résiste, cela le rendait fou, et sa captive le voyait bien.
- Qu’est-ce que tu as à m’offrir en échange de cette promesse ?
Nadia savait que pour lui, elle ne serait pas assez. Et il fallait faire vite, elle craignait que le jeune homme se désintéresse d’elle et de son caprice…
Une idée lui vint alors, la plus osée de toutes. C’était bien la première fois qu’elle songeait à faire une telle chose, mais le jeu en valait la chandelle, la récompense méritait bien de menus sacrifices.
Les mains toujours posées entre ses jambes, Nadia resserra légèrement ses cuisses et se redressa vers son assaillant. Elle déposa un baiser passionné sur ses lèvres (elle ne pouvait se passer de ce privilège) et lui chuchota au creux de l’oreille :
- Tu peux nous avoir toutes les deux.
Devant ma timidité, Tom m’invite à venir près de la table où trônent des amuse-bouches et autres coupes de champagne. Il commence déjà à me caresser les fesses, aux yeux de tous.
-Détend-toi, me chuchote-t-il à l’oreille, me sentant légèrement crispée face à cette surprise à laquelle je ne m’attendais pas.
Je regarde tout autour de moi. Certains hommes discutent, et d’autres s’amusent avec ces filles. A les voir, on devine très vite que ces femmes ne sont pas leur compagne, mais très probablement des filles payées pour l’occasion.
Impossible de reconnaitre ces hommes avec les masques qu’ils portent. Mais vu les fréquentations de Tom, je ne serai pas étonnée qu’il y ait ici, ce soir, des banquiers, des politiciens et certainement mêmes des sénateurs.
Dans un coin, je vois un homme passer sa main dans le string d’une fille et lui lécher ses seins. L’ambiance est vraiment très chaude. Me voyant regarder ce spectacle, Tom met sa main autour de ma taille et se dirige vers ce couple en ma compagnie.
— Pardonnez-moi, j’ai seulement chaud un tantinet…
— Ça va, Tom.
Quand le jeune homme revint entre ses bras, Sophia fit glisser ses mains sur la peau nue de ses bras et elle aima en sentir la douceur et la fermeté. Elle se réfugia contre sa poitrine et huma son odeur, l’apprivoisa lentement. Elle y était si concentrée qu’elle ne se rendit qu’à peine compte qu’il cherchait à ouvrir sa robe et quand elle réalisa qu’elle était déjà à moitié dévêtue, Sophia ne s’affola pas. Les gestes de Tom lui apparurent si naturels, si empreints d’innocence, qu’elle ne ressentit pas le besoin de se protéger de lui. Leurs vêtements disparurent au rythme de la musique, à mesure qu’ils tournoyaient lentement au milieu de la lumière des bougies. Tom ouvrit ses pantalons et les laissa simplement glisser à ses pieds, les repoussant d’un mouvement discret quand il en eut l’occasion. Sophia perçut son érection naissante au moment où il colla son corps à elle. Tom s’en excusa presque en murmurant à son oreille :
— Vous faites grande impression sur moi…
Sa main errait mollement vers son pénis en érection tendu contre son jeans et avait atterri sur sa cuisse. Il posa sa main sur la sienne et il s'est déplacé sur sa bosse. Isabel laissa échapper un soupir accidentel quand elle sentit l'énormité de son érection. Jack lécha la poitrine ferme d'Isabel puis l’aspira et la mordit. Il pinça l'autre légèrement, puis plus fermement jusqu'à ce qu’Isabel gémisse ouvertement. Il déboutonna son chemisier et son soutien-gorge laissa pousser ses seins exposés.
“Lève-toi ", Ordonna-t-il.
Isabel s'exécuta . Le ton était agréablement familier. Ferme. Direct. Elle n'avait pas d'autre choix que d'obéir.
Jack se mit à genoux sur le sol délibérément, inspirant et expirant à travers le coton mince de sa jupe. La chaleur de son souffle sur sa chatte, regarder Jack respirer dans sa jeunesse puis l'odeur de ses excrétions antérieures ont envoyé des ondes d'excitation à travers Isabel.
Elle attendait le prochain ordre pendant qu’elle appréciait la sensation de gonflement de sa vulve .Sa grande main forte mit de côté sa petite culotte et la massa fermement de l'intérieur.