Commentaires de livres faits par String92
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Rien à redire, en ce qui me concernait. Ça payait les factures et c’était ainsi que mon père avait passé les trente dernières années de sa vie et bâti son empire.
En tant qu’héritier de White Lace Productions, j’étais chargé de trouver les femmes les plus sexy et les plus motivées de la ville. C’était mon métier, et j’étais sacrément bon.
- Ne joue pas à ce jeu avec moi, tu sais très bien de quoi je parle.
- À vrai dire, non. Je crois que tu es tout simplement ennuyée parce que tu ne supportes pas l’idée d’avoir des sentiments pour moi, parce que tu ne supportes pas l’idée que j’aie peut-être raison, qu’il puisse y avoir autre chose entre nous.
- Je te rappelle que nous avons rendez-vous avec Natalie ce soir, et si je ne me trompe pas, c’est moi qui l’ai invitée.
Ce que je regrette amèrement, mais ce n’est pas demain la veille que tu le sauras.
- Oui, parce que tu voulais te prouver que tu n’étais pas jalouse, le seul problème, c’est que tu l’es.
- Tu es…, je cherche mes mots, …impossible.
- Quoi ? Quelle électricité ? rétorqué-je, agacée. Je n’ai rien ressenti du tout.
Est-ce qu’il se fiche de moi ?
- Dommage, j’espérais que c’était le cas. Je sais que pour donner une véritable chance à un homme, tu as besoin de ressentir des étincelles. Tu as beau le nier, tu es la fille la plus romantique qui existe.
- Non, je ne le suis pas.
- Dois-je te rappeler ce que tu m’as dit sur Kylie et Adam ?
- Leur histoire est unique.
- Chaque histoire d’amour est différente et unique, et je te promets que la nôtre le sera aussi, fait-il avec un clin d’œil.
- D’accord, petit malin. Je vois que je ne peux pas me débarrasser de toi facilement, alors il faudra que je ruse. Tu veux jouer avec moi, jouons. Je te promets que je réussirai à t’éliminer du jeu tôt ou tard.
Le bonheur, c’est savoir ce que l’on veut et le vouloir passionnément." Félicien Marceau.
– Des conneries, oui !
Je remonte ma culotte et mon jean en lançant un regard noir au tableau que j’ai acheté la semaine dernière chez Ikéa. Je tire la chasse et sort des toilettes.
– Tu me parlais mon amour ?
– Ta gueule !!!
– Quoi ! Tu as vu comment tu me parles, Lilou ? Je trouve que ton vocabulaire s’appauvrit depuis quelques temps !
– J’men fous ! Tu me fais chier !
– Pourquoi ?
– Pourquoi ? Cela fait des mois que je me réjouis de faire un WEAL en amoureux, et toi tu trouves le moyen d’en profiter pour te faire inviter dans cet obscur salon international du roman policier !
Je suis là, debout devant ce mec que je ne connais pas. Il est arrivé pile à l’heure. Il m’a scrutée et, bordel, ce qu’il est beau. J’aurais dû préciser un pas trop beau. Parce que là, ça me met encore plus mal à l’aise. Je l’ai regardé marcher jusqu’à la chaise, j’ai observé le mouvement de ses muscles lorsqu’il a retiré son blouson de cuir.
Soudain, il s’est approché et m’a attirée contre lui. Avec force et puissance mais sans violence, encore une nouveauté pour moi. Il a posé ses lèvres sur ma peau et je crois que pendant une seconde, juste une, je me suis sentie… presque bien, presque normale. Ni dévastée, ni détruite.
Puis il m’a serrée encore plus contre lui et là, j’ai paniqué. Je l’ai repoussé. Je sens qu’il m’observe et moi, comme une conne, je baisse la tête, prête à recevoir les coups. E déteste que je lui dise non. Il faut que je me ressaisisse. C’est pour oublier E que je fais tout ça, pour voir s’il reste au moins un millimètre de moi qui ne soit pas totalement démoli.
– Aleyna ?
Encore mon prénom et cette douceur.
– Est-ce que tu préfères que je m’en aille ? Pardon, je ne voulais pas vous tutoyer.
– Non, non. Ne partez pas. Et vous pouvez me tutoyer, bien sûr. Cessez de vous excuser, vous n’avez rien fait de mal. Rien du tout. C’est juste que…
– Oui ? Dis-moi.
Il s’est discrètement approché de moi et me soulève délicatement le menton pour que je le regarde. Je sais qu’il ne fait que son job mais, bon sang, ce que j’ai honte. Il doit tout faire pour me satisfaire, peu importe ce que je lui demande.
– S’il vous plaît, Alec, ne m’emprisonnez plus dans vos bras.
– Bien sûr.
Aleyna a besoin de savoir si elle peut encore désirer. Ressentir du plaisir. S’abandonner. Alors elle fait appel à une agence d’escort boys. Et rencontre Alec.
Alec est étudiant en médecine mais fait l’escort pour survivre. Il enchaîne les clientes et y perd peu à peu son âme. Jusqu’à Aleyna.
Au premier regard, tout bascule. Au premier baiser, c’est une évidence.
Mais les démons d’Aleyna sont encore présents, dans sa chair comme dans son cœur, et Alec se retrouve face à un ennemi plus terrible qu’il ne l’imaginait.
Il veut l’aimer. Il veut l’aider. Mais elle n’est pas libre. Elle appartient au mystérieux monstre qui lui fait des chantages odieux.
Et les ténèbres se referment sur eux en un coup de fil…
Avec toi – Fight with darkness, volume 2 sur 2, Lucie F. June
La vue de l’envie impérieuse d’Isabel a surpris Luca, tout comme la fulgurance de son érection.
Isabel n’a même pas remarqué que Luca se branlait. Elle était perdue dans ses souvenirs, image par image, des rapports sexuels qu’elle avait eus avec Jack, dans son bureau.
Alors qu’Isabel se penchait davantage sur le lavabo pour profiter au maximum des vibrations, elle a senti deux mains lui agripper fermement les hanches. Luca venait à sa rescousse ; elle ne l’avait même pas entendu entrer dans la cabine de bain. Elle était complètement barrée dans ses fantasmes sexuels. Isabel a poussé un cri quand Luca l’a pénétrée par-derrière. Bien vu, elle a pensé, c’est exactement ce qu’il me fallait.
Sa main errait mollement vers son pénis en érection tendu contre son jeans et avait atterri sur sa cuisse. Il posa sa main sur la sienne et il s'est déplacé sur sa bosse. Isabel laissa échapper un soupir accidentel quand elle sentit l'énormité de son érection. Jack lécha la poitrine ferme d'Isabel puis l’aspira et la mordit. Il pinça l'autre légèrement, puis plus fermement jusqu'à ce qu’Isabel gémisse ouvertement. Il déboutonna son chemisier et son soutien-gorge laissa pousser ses seins exposés.
“Lève-toi ", Ordonna-t-il.
Isabel s'exécuta . Le ton était agréablement familier. Ferme. Direct. Elle n'avait pas d'autre choix que d'obéir.
Jack se mit à genoux sur le sol délibérément, inspirant et expirant à travers le coton mince de sa jupe. La chaleur de son souffle sur sa chatte, regarder Jack respirer dans sa jeunesse puis l'odeur de ses excrétions antérieures ont envoyé des ondes d'excitation à travers Isabel.
Elle attendait le prochain ordre pendant qu’elle appréciait la sensation de gonflement de sa vulve .Sa grande main forte mit de côté sa petite culotte et la massa fermement de l'intérieur.
"Mark!" répondis-je.
Mark sortit de derrière la fumée. Il avait les yeux hagards et une expression confuse. Et lorsqu’il me vit, il parut presque animal.
"Nous avons gagné!" dit-il en donnant l’impression qu’il aurait pu mordre dans du fer. "Nous avons gagné!
J'ouvris la bouche pour parler lorsque, venu de nulle part, Mark saisit mon menton et m'embrassa. Poussant sa langue dans ma bouche, il attrapa ma nuque et m'embrassa jusqu'à ce que je ne puisse plus respirer. Je me sentais faible, comme sur le point de m’évanouir. Je remuai et me débattis contre lui jusqu'à ce qu’il lâche son emprise et que je tombe dans ses bras musclés.
Je n'avais jamais été portée si facilement. Comme un sac, il me jeta sur son épaule et me transporta. Les choses virevoltaient autour de mes yeux. Ce fut d'abord le pont, puis les escaliers puis le couloir. Bientôt, nous nous retrouvâmes juste devant notre porte de cabine, puis sur le lit.
Ce n'était pas la fin de l’aventure, loin de là. Il me déshabilla comme un homme possédé. Retrouvant mes esprits, je luttai.
Je martelais sur sa poitrine et me débattais, mais rien ne l'arrêta. Agrippant mon haut, il l’arracha d’un seul coup. S’attaquant ensuite à mon pantalon, le bouton céda sous sa force. Suivirent le son de la braguette qui s’ouvre puis celui de mon jean volant à travers la pièce.
Mon instinct me dit de sortir, alors je me remis à le taper, cette fois avec plus de force. Mais, comme si je n'étais pas là, il attrapa mes poignets en les plaçant dans l’une de ses larges mains. Et avant que je puisse bouger, avant que je puisse essayer de m’extirper, il se retrouva à l'intérieur de moi.
« Et voilà, » il avait décapsulé la bouteille et ils trinquèrent, lui ajoutant, « Félicitations, vous êtes le vétérinaire du ranch Riedel à présent, Mademoiselle Grayson. »
« Appelle-moi Callie, » leurs jambes se touchaient presque et elle ne pouvait détourner son regard de lui.
« Callie, » il y réfléchit l’espace d’un espace, « J’aime bien, ça te va bien. C’est mieux que de t’appeler juste jolie fille, je suppose. »
“Je peux me débrouiller par moi-même,” le taquina-elle, cognant son épaule contre la sienne gentiment.
“Tu n’es pas obligée.”
Elizabeth leva les yeux, remarquant soudainement à quel point son visage était près du sien tandis qu’ils se tournèrent l’un vers l’autre. Au-dessus de l’odeur des pins et de la fumée de bois, elle pouvait à présent sentir le parfum riche et musqué qui émanait de Rob, terreux et salé, et elle se retrouva en train de pencher en avant presque inconsciemment, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Lorsqu’elle s’en rendit compte, cependant, elle ne fit rien pour l’arrêter. Ses lèvres s’entrouvrirent et sa langue vint les mouiller, anticipant. Ses yeux clignotèrent pour mieux voir et dans la lumière de la lune elle aperçut ses yeux brillants se dilater tandis qu’il baissait son visage vers le sien pour capturer ses lèvres dans ce qui fut leur premier baiser.
Cette nuit-là elle fit pleins de rêves, bercée par une nuit de pleine lune. Son esprit dessina un parc plein de verdure, où passait un petit pont. Juste à côté du pont, un grand arbre recouvert de mousse. Alors qu'une grenouille sautait du pont elle entendit une voix de femme qui chantait un peu plus loin.
Le chant devenait de plus en plus fort, et la grenouille de plus en plus grosse... et quand elle atteignit cinq fois sa taille, elle disparu à travers l'herbe humide du parc. Sentant son coeur s'accélerer au rythme du chant qui augmentait derrière elle, la surface de l'eau se mit à vaciller. Au début cela semblait être la trace d'un caillou lancé dans l'eau depuis le pont. Mais après quelques secondes, les vagues s'enchaînèrent de sorte qu'elles vinrent créer du mouvement sous le pont.
Quand un entêtant rythme percussif vint s'ajouter au chant et l'hypnotiser, Kathy se sentit faiblir, et quand une forme étrange traversa la surface de l'eau, sa respiration fut coupée net. De plus en plus haut, la chose sortait de l'eau alors qu'on devinait une tête sombre et chauve, suivie d'un front masculin et d'une paire d'yeux magnifiques.
Quand la créature sombre, qui semblait être mi-bête mi-homme, s'avança, on vit entièrement son visage. Il était noble et fort. Quelques siècles auparavant, ça aurait été le visage du plus fort guerrier du pays. Et les larges épaules, les pectoraux gonflés qui sortirent de l'eau avaient l'air incroyablement résistants et puissants.
Les abdominaux de la créature apparurent ensuite, et Kathy sentit sa respiration s'emballer. Tout ce qu'elle voyait de cet homme lui coupait la respiration. Et quand le long et large sexe sortit doucement de l'eau, Kathy s'illumina. Comme si elle était installée sur le bord du pont le regardant sortir des eaux, elle se sentit tomber sur les genous, le regardant, sans voix.
Les abdominaux de la créature apparurent ensuite, et Kathy sentit sa respiration s'emballer. Tout ce qu'elle voyait de cet homme lui coupait la respiration. Et quand le long et large sexe sortit doucement de l'eau, Kathy s'illumina. Comme si elle était installée sur le bord du pont le regardant sortir des eaux, elle se sentit tomber sur les genous, le regardant, sans voix.
Quand l'homme-animal vit Kathy, ses yeux clairs et purs la dévisagèrent. Il avait l'air détendu mais concentré, et l'observait fixement. Kathy se sentit complètement mise à nue par ce regard foudroyant. Et comme s'il n'avait jamais vu de femme à la peau si claire, il fit un pas en avant, faisant accélérer le rythme cardiaque de Kathy.
Interloquée, elle ne su pas quoi faire alors que le Dieu vivant courait vers elle. Dans son rêve il lui parut qu'elle trébuchait en arrière pour s'échapper.
Objet : Même pas peur !
À : Max
Mon très cher Max,
Ne trouvez-vous pas normal que je me renseigne au sujet de celui que j’ai choisi pour faire mon éducation ? Votre histoire avec Cagna a fait le tour du site. Je sais que vous avez été envié avec cette femme qui, paraît-il, possédait une plume extraordinaire. Tout le monde sait qu’on a voulu vous détruire par jalousie. Je me suis tellement bien renseignée que je sais même à quoi vous ressemblez. Je le sais depuis le début de notre correspondance. Vous êtes du type italien, 1m73, soixante-quinze kilos, les cheveux couleur corbeau, les sourcils épais mais entretenus. Le regard vif, vous portez des lunettes. Pour vous habiller, vous avez une préférence pour le noir. Vous aimez l’osso bucco, la paella, et le Côtes-Du-Rhône. Vous avez une voiture gris métallisé. Je peux même vous dire chez qui vous êtes assuré. D’ailleurs, permettez-moi de vous faire remarquer que vous n’êtes pas très bien couvert. Mais revenons à notre petite affaire. Je suppose que vous ne tomberez pas de haut en apprenant, par le présent mail, qu’envisager être punie par vos soins m’en a fait mouiller abondamment ma petite culotte. J’avoue que j’ai hâte de sentir le cuir de votre cravache brûler mes chairs.
En ce qui concerne vos tests, vous avez mon aval : j’attends vos instructions.
PS : Quelle humiliation de se sentir sous-estimée à ce point ! Je ne suis pas une gamine !
Posant ses pieds humides sur le tapis, elle marcha vers lui. Une fois qu’elle fut suffisamment proche pour sentir la courbure de sa q*** toucher la peau au-dessus de son nombril, elle s’arrêta. En sentant son souffle chaud sur son visage, elle pensa qu’elle avait entendu Davis grogner avant ; en un instant il saisit ses cheveux blonds et il tira sa tête en arrière d’un coup sec. L’initiation était terminée.
En un instant, tout s’accéléra et les choses devinrent déchaînées. Tout en agrippant toujours ses cheveux, il releva la tête d’Ellie et il baissa ses lèvres vers celles de la jeune femme. Forçant ses lèvres à rester ouvertes avec ses lèvres épaisses, il poussa sa langue large en elle en la laissant ébahie. Sa langue était agile et puissante. D’un seul coup, sa langue s’enroula autour de la sienne et il l’attira vers lui en embrasant son corps avec le plaisir qu’il lui procurait avec son baiser.
Puis, sentant sa main puissante l’agripper sur le côté, elle se sentit presque soulevée dans les airs quand ses pieds glissèrent du sol vers un mur. Son dos heurta le mur dans une secousse et elle sut qu’elle était piégée.
Sans savoir quoi faire, El ne bougea pas, recevant sa langue et absorbant sa q* dure sur son ventre. Elle était dépassée par sa férocité. Elle était bouleversée par sa passion. Tous les hommes qu’elle avait connus avant lui étaient hésitants et doux. Elle avait toujours eu l’impression d’être b*** par une nana avec une b***. Mais Davis n’avait rien à voir avec tout ça. Il n’avait rien à voir avec tout ce qu’elle avait connu. Être avec lui, c’était vivre quelque chose de sauvage et de primitif. Il était effrayant, et pas à cause de la manière dont il tordait sa tête d’avant en arrière. Il était effrayant à cause de la sensation qu’il libérait en elle.
Comme un tigre en train de charger, quelque chose bouillonnait dans El. C’était sauvage et incontrôlable. Ce qui était à venir menaçait d’emporter son corps autant que son esprit. Et lorsqu’il entra enfin, les yeux d’El se révulsèrent presque totalement au moment où elle se transforma.
« Ahhh ! », hurla Davis au moment où El planta ses ongles dans son dos.
Kevin se mordit la lèvre, il n’aimait pas qu’on lui résiste, cela le rendait fou, et sa captive le voyait bien.
- Qu’est-ce que tu as à m’offrir en échange de cette promesse ?
Nadia savait que pour lui, elle ne serait pas assez. Et il fallait faire vite, elle craignait que le jeune homme se désintéresse d’elle et de son caprice…
Une idée lui vint alors, la plus osée de toutes. C’était bien la première fois qu’elle songeait à faire une telle chose, mais le jeu en valait la chandelle, la récompense méritait bien de menus sacrifices.
Les mains toujours posées entre ses jambes, Nadia resserra légèrement ses cuisses et se redressa vers son assaillant. Elle déposa un baiser passionné sur ses lèvres (elle ne pouvait se passer de ce privilège) et lui chuchota au creux de l’oreille :
- Tu peux nous avoir toutes les deux.