Commentaires de livres faits par tanounou
Extraits de livres par tanounou
Commentaires de livres appréciés par tanounou
Extraits de livres appréciés par tanounou
Dernier film: Quoi de neuf, Bob ? avec Bill Murray
Dernier livre lu : Horton entend un « qui », par Dr Seuss (pour Nalla).
Emission de TV préférée : Je n’en ai aucune idée. En fait, je n’aime pas tellement la TV. Mais je regarde quelques émissions de cuisine avec les Élues qui adorent ça. Je crois que la dernière fois, c’était sur la cuisson des patates.
Dernier jeu : Un gin rami avec Layla et Selena
Plus grande peur : Laisser tomber ceux qui comptent sur moi
Plus grande passion : Cormia
Citation favorite : On devient un héros par ses actes et non par sa naissance
Boxer ou caleçon : Ça dépend de la coupe de mon pantalon
Ton meilleur ami : Mon jumeau, Z
Dernier pleur : Je préfère ne pas répondre
Dernier rire : Il n’y a pas longtemps, c’était avec Cormia, mais je préfère que ça reste un secret.
- Tu te souviens de ce que je t'ai raconté au sujet des mariages entre chasseurs d'ombres ? Au lieu d'échanger des anneaux, les époux se marquent l'un l'autre avec des runes d'amour et d'engagement ... J'aimerais te marquer pour qu'on soit liés à l'un à l'autre Clary.[spoiler][/spoiler]
« Une fois dans la chambre, John referma la porte derrière eux et mit les deux mains sur ses hanches. Et tout en les regardant l’un après l’autre, il eut la sensation d’être un adulte intervenant entre deux gosses récalcitrants, sommés de ranger leur désordre.
Blay alla jusqu’à son armoire et l’ouvrit. La glace intérieure lui renvoya le reflet de Qhuinn et leurs yeux se croisèrent brièvement.
— Joli bijou, murmura Blay en regardant la chaîne qui indiquait le récent statut de Qhuinn.
— Ce n’est pas qu’un bijou.
— Oui, je sais. Et j’en suis heureux pour vous deux. Sincèrement.
Il sortit une parka… Ah-ah. Ça signifiait soit que la famille partait « dans le sud » jusqu’en Antarctique, soit que le mec avait l’intention de rester longtemps absent. Et de passer au moins l’hiver là-bas.
John tapa du pied.
— On perd du temps. Allo ? Les enfoirés ?
— Je suis désolé, marmonna Qhuinn à Blay. Pour ce que j’ai dit dans ce tunnel.
— Tu en as parlé à John ?
— Non.
Blay laissa tomber son manteau sur son sac de voyage Prada et leva les yeux vers John.
— Il pense que je l’aime. Que je suis… amoureux de lui.
John en resta la bouche ouverte.
Du coup, Blay éclata d’un rire bref, qui s’étouffa dans sa gorge trop serrée.
— Ouais. T’imagine ? Moi amoureux de Qhuinn ? Un mec qui passe la moitié de son temps à ronchonner et l’autre à faire le mariole en balançant des craques. Et tu veux savoir le plus déconnant de l’histoire ?
Qhuinn se raidit quand John hocha la tête.
— C’est qu’il a raison, dit Blay les yeux braqués sur son sac.
Bon, là John avait l’expression qu’on prend en recevant un coup de masse sur le crâne.
— Ouaip, dit Blay. C’est pour ça que je ne me suis jamais tellement intéressé aux femelles. Parce qu’aucune d’entre elles ne m’a jamais fait le même effet que lui. Les autres mâles non plus d’ailleurs. Donc, je suis complètement baisé, mais c’est mon problème. Ni le tien. Ni le sien. »
— Tu es dingue. Et je ne peux vraiment pas accepter ces—
— Mais où tu as été élevé, mon pote ? C’est hyper grossier de refuser un cadeau.
— Prends-les, John, dit Blay en secouant la tête. Il ne va pas te lâcher sinon, alors épargne-nous son cirque.
— Mon cirque ? (Qhuinn se redressa et prit la pose d’un orateur romain.) Et te faire mettre pourquoi ne vas-tu pas, jeune padawan ?
Blay piqua un fard
— Allez—
Qhuinn se jeta sur Blay, l’agrippa aux épaules et se laissa pendre contre lui de tout son poids.
— Je défaille. Tes insultes m’ont laissé sans voix. Je suis au bord de l’évanouisation.
Blay grogna et vacilla pour empêcher Qhuinn de s’effondrer par terre.
— On dit évanouissement.
— Mais évanouisation, c’est plus chouette.
Blay essayait de ne pas sourire ni montrer sa joie, mais ses yeux le trahissaient. Ils brillaient comme des saphirs et, sur son visage, le rouge s’accentuait.
Avec un rire silencieux, John s’assit sur l’un des bancs de la pièce. »
« Après la centaine d’années passée à s’entraîner avec la Maîtresse, il pouvait endurer toutes les saloperies. Douleur physique, détresse psychologique, abysses insondables d’humiliation et d’avilissement, de désespoir, d’impuissance : il était passé par là, il avait enduré tout ça. Alors il s’en remettrait. »
— Qhuinn.
Son corps obéit au quart de tour – comme si la voix de Blay était une corde le forçant à virevolter.
— Ouais ?
Le mâle lui marcha droit dessus. Quand ils se retrouvèrent nez à nez, Blay déclara :
— Je veux toujours te baiser.
— Attends un peu, laisse-moi mettre les choses au clair ? Grommela V au téléphone d’une voix nonchalante. Tu as paumé ton Hummer ?
Qhuinn n’avait qu’une envie, c’est de se foutre la tête à travers la baie vitrée.
— Ouais, exactement. S’il te plaît, est-ce que tu pourrais…
— Comment as-tu pu paumer un véhicule de près de quatre cents kilos ?
— Ce n’est pas important…
— En fait, je crois que si – surtout si tu tiens à ce que je fasse un repérage GPS pour te dire où récupérer ce foutu engin… Et c’est bien pour ça que tu m’appelles, pas vrai ? Je pense qu’une confession avec tous les détails croustillants est bonne pour l’âme…
Qhuinn s’accrocha vraiment très fermement à son téléphone.
— Jalaissélesclefsdessus.
— Pardon ? Je n’ai strictement rien compris à ton charabia.
Foutaise.
— J’ai laissé les clés dessus.
— Gamin, c’est vraiment très con de ta part.
Non, sans blague ? bordel !
— Est-ce que tu pourrais m’aider…
— Je viens juste de t’envoyer les coordonnées. Au fait, un truc… quand tu auras récupéré ton véhicule ?
— Ouais ?
— Vérifie si ton voleur a pris le temps de positionner le siège avant… histoire d’être plus à l’aise pour conduire. Vu que tu lui as laissé les clés, je ne vois pas pourquoi il aurait été pressé.
Le ricanement moqueur de Vishous donna à Qhuinn la sensation qu’on lui écrasait les couilles. Très fort – avec un parechoc par exemple…
— Ecoute, il faut que j’y aille. Et puis, j’ai besoin de mes deux mains pour me tenir les côtes tellement ton humour est hilarant. A plus.
Quand la ligne fut coupée, Qhuinn dut lutter contre son désir violent de piétiner son téléphone. Il résista.
Ouais, parce qu’en réfléchissant, massacrer ce truc-là n’allait pas vraiment l’aider à réparer les dégâts.
Ainsi, il suffisait de regarder fixement sa queue et ses couilles en les menaçant de les couper et de les enterrer au fond du jardin si elles avaient le malheur de mal se conduire... pour qu'elles vous écoutent.
Il s'en souviendrait.
Si la cabine de douche était de belles dimensions pour une personne, pour deux, Elle s'avérait un peu étroite, et John veilla à rester collé contre la paroi vitrée pour éviter toute tentation à M. Toujours-Prêt et ses deux crétines d'acolytes.
Le sermon s'était certes avéré efficace, mais il y avait tout de même des limites à ne pas dépasser."[spoiler][/spoiler]
Enfin, pensa-t-il, c'est arrivé.
Toute sa vie, il s'était demandé s'il tomberait un jour amoureux. Aujourd'hui, il avait sa réponse: Toute sa vie, il avait attendu ce moment. Et cette femme.
Elle est à moi, pensa-t-il.
- Etes-vous le guérisseur? demanda-t-elle d'une voix basse qui fit que son coeur rata un battement.
Elle avait un accent adorable, mais ses mots étaient surprenants.
- Oui. (...) Je suis là pour vous guérir.
Alors qu'il approchait d'elle, les yeux merveilleux se remplirent de larmes. (...)
Il tendit la main et prit la sienne. Dès qu'il la toucha, tout son corps réagit, électrisé, comme s'il venait de brancher le courant à sa prise interne.
- Je vais m'occuper de vous, dit-il en la regardant droit dans les yeux. Je veux que vous me fassiez confiance.
Elle déglutit péniblement, tandis que la larme cristalline coulait le long de sa tempe. Instinctivement, il tendit sa main libre pour la rattraper...
Le grondement furieux qui explosa derrière lui rompit le charme.
Tenant toujours la main de sa patiente, il beugla en direction de Jane:
- Fiche-moi ce sinistre connard dehors! Je n'en veux pas dans ma salle d'opération. (...)
Il allait sauver cette femme, même si c'était la dernière chose qu'il accomplirait dans sa vie. Et vu la haine sauvage qui brillait dans les yeux du barbu, ce serait peut-être le cas..."[spoiler]
BY JULIA SANTOS
MARCH 4, 2017
Word on the street is siren/LIVING LEGEND/world’s most beautiful blonde Evelyn Hugo is auctioning off gowns and agreeing to an interview, which she has not done in multiple decades.
PLEASE tell me she is finally ready to talk about all those damn husbands. (I can understand four, maybe even five, six if you are really pushing it, but seven? Seven husbands? Not to mention the fact that we all know she was having an affair with Congressman Jack Easton in the early ’80s. Girl. Got. A. Round.)
If she won’t come clean about the husbands, let’s pray she at least goes on the record about how she got those eyebrows. I mean, SHARE THE WEALTH, EVELYN.
When you see pictures of E back in the day with her brassy blond hair, those dark, straight-as-an-arrow eyebrows, that deep-tanned skin, and those golden-brown eyes, you have no choice but to stop what you are doing and stare right at her.
And don’t even get me started on that body.
No ass, no hips—just huge boobs on a slim frame.
I have basically been working my entire adult life for a body like that. (Note: Am very far away. Might be the spaghetti bucatini I’ve been eating for lunch every day this week.)
Here is the only part that has me heated: Evelyn could have chosen anyone for this. (Ahem, me?) But instead she chose some newbie at Vivant? She could have had anyone. (Ahem, me?) Why this Monique Grant chick (and not me)?
Ugh, fine. I’m just bitter it’s not me.
I should really get a job at Vivant. They get all the good stuff.