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Commentaires sur ses livres

Aki Shimazaki

Par Homdeletreetduneant le 27 Août 2018 Editer
Homdeletreetduneant
Tsukushi (tige de prêle) est un roman qui fait partie d’une pentalogie constituant la série « au cœur du yamato ». Ce sont de courts romans (une centaine de pages) découpés en chapitres de quelques pages, rendant la lecture aisée. Les cinq romans sont indépendants, et chacun se consacre à un personnage que l’on retrouve, de façon anecdotique, dans les autres.
Ce roman concerne Yuko, femme d’un banquier richissime qu’elle a épousé par obligation familiale et professionnelle, sacrifiant ses sentiments pour son véritable amour de jeunesse, Aoki, dont l’histoire constituait le premier volume de la série.
Ce roman se situe une douzaine d’années après son mariage, et s’achève en 1995. Yuko s’est progressivement attachée à son mari, homme séduisant, courtois, irréprochable et qui a endossé avec joie la paternité d’une enfant, Mitsuba, dont il sait très bien ne pas être le père. Ce couple à présent uni et heureux donne une fête pour le douzième anniversaire de leur fille. À cette occasion, Yuko va avoir besoin d’allumettes, et en trouve dans la table de chevet de son mari une boite, joliment décorée de deux tiges de prêles. Le genre de boites que l’on donne en cadeau dans les bars. Ce grain de sable va faire dérailler la belle mécanique de ce couple et révéler à Yuko la face cachée de son mari, éclairant d’un jour nouveau son mariage, la sollicitude de sa belle famille et, par la même occasion, les évènements racontés dans le premier volume de la collection (qu’il n’est pas nécessaire d’avoir lu).
Je trouve que ce roman est, avec Mitsuba, le premier, le plus réussi de la série. On y suit, sur quelques mois, les réflexions d’une femme sur sa vie, où se mêlent le quotidien le plus banal et des réflexions qui vont l’amener à briser le beau miroir de son apparente réussite.
Les lecteurs de Mishima retrouveront parfois une trame narrative qu’ils connaissent, ce dernier n’est d’ailleurs pas absent de ce volume.
L’écriture, toute en phrases simples, au présent, nous immerge dans le vécu, dans l’intimité de Yuko. On se prend d’affection pour la jeune femme, et pour tous ces personnages dont les vies sont ballottées au grès des évènements historiques, ou insignifiants, qui orientent leurs destins. On croise dans Tsukushi les personnages, vieillis et rapidement entrevus, des autres romans.
Signalons enfin que, pour ceux qui ont lu Mitsuba, la fin est particulièrement poignante.
Attention toutefois : j’ai commencé ce livre une nuit, je l’ai terminé le lendemain, remettant à plus tard d’autres projets. Lisez-le en ayant un peu de temps, car il vous happera !
Par Nepheris le 25 Août 2018 Editer
Nepheris
Ce tome est excellent. Abordant des thèmes difficiles, comme le poids des traditions familiales, la stérilité et le rapport à la descendance, l'histoire de Kenji m'a vraiment touchée, et m'a paru très juste.
Par Granny-1 le 15 Août 2018 Editer
Granny-1
Bonjour les lecteurs ….
C'est toujours avec un réel plaisir que je me plonge dans les petits livres d'Aki Shimazaki!
Atsuko, mariée et mère de deux enfants, exploite une petite ferme bio.
Victime de son succès, elle embauche une jeune femme pour l'aider.
Il s'avère que celle-ci est une amie d'enfance.
Les souvenirs resurgissent, les confidences suivent.
Très bon livre sur la sensualité, la sexualité et les choix qui s'imposent dans la vie
Difficile d'en dire plus sans révéler le contenu de ce court roman ( 140p).
Il fait partie du cycle " l'ombre du chardon", qui contient déjà 3 opus , mais peut très bien se lire indépendamment des autres opus.
Que dire qui n'a déjà été dit sur Aki Shimazaki? sinon qu'elle nous envoute avec son écriture fluide et épurée.
Cette romancière, avec son écriture tout en retenue, nous enchante à chaque printemps.
Je ne me lasse pas de ces petits moments de plaisir qu'elle nous distille goutte à goutte.
Si vous ne connaissez pas Aki, empressez vous de la rajouter à votre Pal.
Par SkeletonGirl le 13 Août 2018 Editer
SkeletonGirl
Un livre tout doux qui se lit rapidement... La couverture est juste magnifique qui plus est ! L'écriture est fine, et poétique par moment.
C'est une belle, quoi que, tragique, histoire.
Par Croquignolle le 5 Août 2018 Editer
Croquignolle
Je ne savais même pas que j'avais ce livre dans ma bibliothèque lorsqu'à mon retour du Japon, j'ai cherché un recueil pouvant m'amener à prolonger les sublimes impressions et émotions vécues cet été au Pays du Soleil levant.
C'est à ce moment-là que Tsubaki m'a fait de l'oeil. Sa couverture d'une pureté, d'une finesse, d'une douceur exceptionnelles m'a immédiatement séduite. Et je me suis plongée dans ses pages comme on plonge dans une eau fraîche un jour d'été caniculaire.
J'ai lu ce roman d'une traite. J'ai été saisie par ce secret de famille qui a pris sa source sous les effets de la bombe de Nagasaki.
Les mots d'Aki Shimazaki m'ont renvoyée instantanément à des milliers de kilomètres et m'ont fait ressentir le même poids, la même peine que lors de ma visite récente Musée de la Bombe atomique et surtout au Mémorial pour les victimes à Nagasaki. On a beau connaître l'Histoire, le fait de pouvoir être là, sur les lieux mêmes où l'horreur s'est produite, permet d'acquérir une conscience nouvelle et nous donne une responsabilité encore plus grande. Plus jamais ça !!!
La fleur de la couverture de Tsubaki ouvre ses pétales dans l'histoire du roman. Tout en finesse, Aki Shamazaki - dont c'est ma première lecture - nous invite dans l'univers de Yukiko et des siens. Elle nous initie à la culture japonaise de ce coin de pays encore en guerre. Elle nous impose un questionnement incessant sur les événements passés et nous ouvre des perspectives de pardon et de réconciliation intemporelles et universelles.
La lettre que Yukiko adresse à sa fille révèle un secret imposant. Elle invite chacun à une démarche d'introspection et propose un chemin à orner et embellir.
J'ai imaginé la suite de l'histoire, une belle suite lumineuse et heureuse. Je sais que l'auteur m'entraînera ailleurs. J'ai maintenant hâte de découvrir les prochains tomes qui ne manqueront certainement pas de poésie, de surprises et de touches de cette culture japonaise qui m'intrigue, m'attire et me ravit en même temps.
Par Cacoethes-scribendi le 3 Août 2018 Editer
Cacoethes-scribendi
Et ainsi se clôt cette pentalogie québéco-japonaise. Hotaru est la suite directe de l'histoire du tome 3 et complète tous les tomes pour finir le puzzle de l'histoire de Mariko, son mari, Yukio et Yukiko. Une histoire familiale fondée sur des secrets, l'adultère, l'adoption, pour finir par un meurtre. Dit comme ça, ça paraît violent ! Et pourtant non, tout coule de source. Même la bombe atomique de Nagazaki, événement central de la pentalogie, n'est pas décrite de manière si tragique que cela. Le mot d'ordre : la vie continue.

Aki Shimazaki écrit en français et il se dégage de sa plume la même impression que les romans traduits du japonais : un certain détachement, un doux réalisme.

J'ai beaucoup aimé ces cinq romans d'une centaine de pages chacun, à la fois graves et légers, gracieux, poétiques. C'était très agréable de s’y plonger pendant une dizaine de jours !
Mon seul regret est peut-être ne pas avoir eu l’impression d’être vraiment touchée par cette histoire, comme l’impression de lire un joli texte d’en rester spectatrice.
Par Cacoethes-scribendi le 3 Août 2018 Editer
Cacoethes-scribendi
Ce tome est un très bon complément aux précédents et particulièrement au tome 3. Il est raconté par un personnage dont j'espérais découvrir la voix et évoque la nécessité de faire ses propres choix de vie, même si cela doit signifier aller à l'encontre des désirs parentaux...

Il partage avec autres tomes de la pentalogie le thème des secrets familiaux et de leur éventuelle révélation. Le titre de la pentalogie prend alors tout son sens…
Par Cacoethes-scribendi le 3 Août 2018 Editer
Cacoethes-scribendi
Ce tome-ci diffère des deux premiers, car il ne raconte pas la même histoire et se place chronologiquement avant, une génération plus tôt.

A la suite du 1er tome, la saga renoue dans sa veine historique : on découvre dans Tsubame une autre époque, le racisme des Japonais envers les Coréens et la vie d'une petite fille devenue orpheline.

Ce tome continue d’évoquer les secrets familiaux et la nécessité de les cacher pour protéger ceux qu’on aime.
Par Cacoethes-scribendi le 3 Août 2018 Editer
Cacoethes-scribendi
Dans ce second tome, on retrouve la même histoire que celle de Tsubaki, mais du point de vue de Yukio, le fameux demi-frère, avec la même tragédie mais dans une dimension différente, avec un beau travail sur les souvenirs et le flou qui les abîme au fil du temps...
J'ai fini ce tome très émue ; je suis curieuse de savoir ce que nous réserve le tome 3 et le rôle de l'histoire de la mère de Yukio dans tout cela...
Par Cacoethes-scribendi le 3 Août 2018 Editer
Cacoethes-scribendi
Les cinq tomes de la saga québeco-japonaise (l'auteure vivant à Montréal et écrivant en français) Le poids des secrets fonctionnent comme un puzzle, chacun se concentrant sur un personnage pour finir par retracer toute une histoire.

Les deux premiers tomes tournent autour de la relation entre Yukiko et Yukio. Dans Tsubaki, Yukiko laisse à sa mort une lettre à sa fille, où elle révèle notamment, sur fond de bombe atomique, la tragédie de sa vie : la découverte que son amour de jeunesse était un demi-frère caché...
Je n’ai pas eu d’avis particulier après avoir lu ce premier tome, car je savais qu’il n'était qu'une partie de la tapisserie globale et devrait être complété par les autres tomes pour connaître sa pleine mesure. Avec le recul, je trouve que c’est un très bon premier tome, où les mystères et les questions prennent place.
Par Homdeletreetduneant le 28 Juillet 2018 Editer
Homdeletreetduneant
Yamabuki est le roman qui clos la série « au cœur du yamato » : cinq courts romans (une centaine de pages) découpés en bref chapitres, de lecture aisée. Les romans sont indépendants, et chacun se consacre à un personnage que l’on retrouve, de façon anecdotique, dans les autres.

Yamabuki est le seul roman contemporain de l’ensemble. Nous y retrouvons Tsuyoshi Toda, qui était le héros du second volume, Zakuro, dans les années 70. Mais ici, c’est sa femme, Aïko, qui a la parole, et cela se passe de nos jours.

Aïko, épouse dévouée qui a accompagné son mari pendant cinquante-six années de vie commune, plus d’un demi-siècle au service de la compagnie Goshima, au service, en fait, de la nation japonaise, d’un pays en ruine qui a su non seulement se relever, mais se reconstruire, dut-il pour cela compter comme quantité négligeable le bien-être émotionnel de nombre de ses habitants.

Une année de la vie d’Aïko s’écoule, découpée en chapitres où elle se rappelle de son premier mariage raté, où elle fut poussée vers le divorce à cause de sa stérilité. De là le titre de l’ouvrage, Yamabuki étant la corète du Japon, aussi connue des jardiniers sous le nom de Kerria, « une belle fleur, mais qui ne donne pas de fruits », comme s’est plu à le souligner la première belle famille de Aïko. Nous découvrons comment elle a pu, avec le concours d’une maitresse en cérémonie du thé, reconstruire sa vie.

Au fil des pages, nous voyageons du Japon contemporain à celui de l’immédiat après guerre, nous assistons au coup de foudre délicieusement romantique d’Aïko et de son mari ; à leurs voyages, à l’élévation de leur niveau de vie, mais nous voyons aussi transparaître les difficultés des générations actuelles qui, malgré l’incroyable transformation du pays, restent les mêmes. Nous sommes ainsi les témoins des interrogations communes de Aïko et de sa petite fille, Zakuro, qui va entamer sa vie de femme mariée.

L’incertitude d’être aimée, la difficulté de connaitre vraiment celui ou celle que l’on aime ; thèmes qui parcourent toute la pentalogie, trouvent ici une conclusion aussi triste qu’inévitable, aussi belle que cette vielle chanson qui a plus d’un siècle, et se chantait au piano, le Gondola no uta, qui revient souvent dans ce roman : « La vie est brève, tombez amoureuses, jeunes filles, avant que le carmin de vos lèvres ne passe, que les flots de la passion ne s’apaisent, demain, il ne sera plus temps… »

On regrette, en refermant le livre, d’avoir terminé notre voyage au coeur du yamato, et l’on se surprend à se demander si l’on ne devrait pas, maintenant que l’on connait mieux toutes les facettes des protagonistes, relire les quatre autres volumes…

Yamabuki est un roman aussi simple que touchant, facile à lire, mais surtout, par l’appel à nos sentiments, profondément humain.
Par Nepheris le 22 Juillet 2018 Editer
Nepheris
C'est pour le moment le tome que j'ai préféré, peut-être parce que le sujet traité dans cet ouvrage, à savoir le sort des Coréens, m'a plus intriguée. J'ai beaucoup aimé la première partie du livre, qui raconte comment Mariko a perdu sa famille tout en devenant Japonaise. La seconde partie m'a paru un peu plus longue : elle porte plus sur les conséquences, mais cela m'a un peu moins touché, pour le coup.
Par Nepheris le 22 Juillet 2018 Editer
Nepheris
Ce roman complète le premier livre de la série, ce qui m'a bien plu. Le premier laissait en effet trop de questions sans réponses, et il est plaisant de découvrir le point de vue de Yukio ! J'ai commencé à m'attacher aux personnages.
Par Nepheris le 14 Juillet 2018 Editer
Nepheris
Un roman court mais très instructif. Le style est plutôt agréable à lire. La longueur m'a peut-être empêché d'être totalement investi dans l'histoire, cela dit.
Par heleniah le 30 Juin 2018 Editer
heleniah
Ce dernier tome nous propose la dernière partie de l’histoire, celle qui finira de lier toutes les pièces du puzzle. On retrouve Mariko, devenue toute jeune adulte. La rencontre avec l’homme qui deviendra le père de son enfant, puis avec celui qui deviendra son mari.

J’ai été ravie de terminer avec Mariko qui est la pièce maîtresse de ce roman. On entre vraiment dans sa vie de femme, jeune tout d’abord, bercée d’illusion, puis plus mûre, mais qui porte le poids du passé.

Lorsque j’avais lu le deuxième tome sans avoir lu les autres, je n’avais pas pu me faire de véritable avis. Maintenant, c’est fait, j’ai adoré, l’écriture, l’intrigue, la manière dont les tomes se mêlent les uns aux autres, comment on suite des gens simples dans une époque trouble.

Seulement deux conseils à vous donner : Lisez ! Et de préférence, dans l’ordre et tout à la suite,

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