Commentaires sur ses livres

Un peu déçu par ce dernier tome qui tombe un peu à plat je trouve. Je n'ai pas trouvé l'intérêt de conter un passage de la vie de Mariko qui avait déjà été abordé dans les précédents volumes. Dommage pour un dernier tome qui avait le potentiel de finir cette pentalogie de la plus belle des manières. L'ensemble reste très intéressant et original.

Un quatrième secret, un fardeau pour ce nouveau personnage, le père adoptif de Yukio. La stérilité est très bien abordée, on se sent plein d'empathie pour cet homme qui a tout donné pour sa femme et son fils adoptif.

Très intéressant, effectivement on apprend beaucoup de choses sur cette période du Japon (je ne savais pas que les Coréens avaient été opprimés de la sorte par le Japon). Point de vue de la mère de Yukio durant ce récit avec un nouveau secret lourd à porter. L'écriture est toujours fluide et agréable.

Ce tome 2 aborde le récit du point de vue de Yukio, ce qui rend l'histoire originale. A nouveau, difficile de commenter sur un tome, à mon avis il faut prendre en compte la fresque entière pour se faire une idée globale de la qualité de l'oeuvre. Cependant, les personnages sont attachants et c'est très bien écrit.

Un premier tome intéressant qui introduit plusieurs personnages et un lourd secret de famille quelques jours avant la bombe atomique sur Nagasaki. On apprend effectivement plusieurs choses sur cette époque vue du côté japonnais. Récit très court, intégré dans une pentalogie, à voir par la suite comment l'histoire évolue.

Un vrai coup de cœur pour cette pentalogie sur le thème des secrets de famille!
L'émotion est là juste comme il faut, ni trop ni pas assez, et narrée à l'aide d'un style fluide emprunt de phrases brèves, sans un mot en trop, diablement efficaces et agréables à lire.

Aki Shimazaki a vraiment une écriture douce et poétique qui me touche beaucoup. Je regrette à chaque fois que ses romans soient si courts et qu'il faille attendre aussi longtemps pour avoir la sortie en poche.

Bien qu'elle soit japonaise, elle écrit ses romans en français et c'est un plaisir de pouvoir lire exactement les mots de l'auteur sans aucune traduction. Je conseille vraiment de les lire dans l'ordre pour suivre le cheminement de l'auteur car les secrets et les non-dits des personnages se dévoilent au fur et à mesure des différents tomes.

En tout cas, Tsukushi est aussi bien que les précédents et montre les aspects du mariage au Japon entre tradition et réalité.

Ce dernier tome était court, et retraçait la vie de Mariko avec ses non dits, ses secrets, ses regrets mais toujours avec la même douceur. J'ai vraiment adoré lire cette auteure, ce fut pour moi un régal.

Toujours autant de plaisir à lire cet auteure. Le récit est tellement doux et reposant à la lecture. Les secrets de famille se dévoilent sous l'empreinte des traditions japonaises. Un délice que je recommande.

Une histoire courte mais intéressante, j’ai beaucoup aimé.
On suit l’histoire de Namiko dont sa mère vient de mourir. Celle-ci lui a laissé une lettre lui parlant de son passé et surtout de pourquoi elle a du commettre un meurtre. On se retrouve plongé grâce à sa lettre dans un japon meurtris juste avant que tombe la bombe de Nagasaki.
Le plus de ce livre c’est qu’on va avoir la vision de la guerre vu par les Japonais (car honnêtement en ce qui concerne Nagasaki et Hiroshima on voit l’histoire du côté des américains et rarement du point de vue des japonais…), j’ai appris pas mal de choses que j’ignorais mais l’avantage c’est que le livre ne se base pas sur la guerre, c’est juste le contexte de l’histoire. L’alternance entre le passé de Yukiko et le présent de Namiko basé sur un lourd secret de famille est intéressante.
C’est un livre qui se lit facilement, ce qui est bien c’est à la fin ou on a lien direct avec le tome suivant.
Donc voilà, ce fut une très bonne surprise et une bonne découverte.

J'apprécie toujours autant lire cette auteure. Ce tome trois reviens sur les origines de la mere de Yukio. Une petit retour en arrière sur sa vie et surtout depuis ses 12 ans, lord de la disparition de sa propre mère. On y retrouve le calme japonisant et c'est vraiment une lecture reposante. Je vais continuer avec le tome 4.

Le vécu de l'histoire vu du côté du petit garçon Yukio. On retrouve certains passages du tome 1, mais on a plaisir a lire la vision des choses du l'autre côté. Hâte de lire le tome 3. Livre qui se lit très facilement, avec de courts chapitres et peu de pages. Un vision de la bombe atomique et de ses conséquences à connaitre.

C'est un livre très agréable avec l'esprit zen nippon. Malgré les faits dramatiques relatés l'écriture est fluide. L'histoire d'un héritage qui tourne à la confession. Des chapitres courts qui donnent envie de connaître la suite. Très bonne lecture et un récit sur la guerre du Japon instructif.

Lorsque j'ai besoin de faire le vide dans ma tête ou d'apaiser mon coeur, rien de tel qu'un livre d'un auteur japonais. Cette saga est depuis très très longtemps dans ma bibliothèque, puisqu'il me fallait un "S" pour le challenge, j'ai profité de l'occasion pour enfin lire ce premier tome.

J'aime cette pudeur et ce respect des "règles" qui sont reprises dans cette très très belle histoire. On reste dans le respect, la douceur malgré la douleur et la peine lorsqu'on perd un être cher. La discrétion est telle que notre personnage principal, Takashi apprendra par hasard la réelle raison du décès de son père. De nombreux silences mais les mots ne sont pas nécessaires pour faire parler son coeur.

L'honneur est au coeur de ce livre, Yuko, la belle, celle dont Takashi est fou amoureux, en fera les frais. Mais la douceur va venir couvrir la douleur de Takashi, telle une pétale de cerisier du Japon. C'est beau, c'est humble, c'est magique, c'est géant tout simplement. Et bon sang que ça fait du bien!

https://mademoisellemaeve.wordpress.com/2014/12/09/azami-aki-shimazaki/

Azami est le premier roman d’Aki Shimazaki que je lis. Il s’agit du premier titre d’un troisième cycle de l’auteur japonaise installée au Canada. Après deux premières pentalogies Le poids des secrets et Au coeur de Yamato, Aki Shimazaki démarre donc un nouveau cycle avec ce court roman (130 pages).

Je n’ai pas d’éléments de comparaison avec les autres romans de l’auteure, mais j’ai bien aimé Azami. Azami veut dire chardon. C’est le nom d’une comptine qui revient souvent en tête de Mitsuo, c’est aussi le surnom de Mitsuko, le premier amour de Mitsuo, qu’il retrouve 24 ans après l’avoir perdue de vue.

L’écriture est fluide, poétique. Le roman, lu en une paire d’heures, permet d’évoquer les souvenirs d’enfance, les amours perdus, les rêves d’avenir et s’interroge sur les trajectoires de vie. Faut-il courir après ses rêves ou se satisfaire du bonheur que l’on tient déjà dans ses mains?

Une agréable lecture.