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Commentaires sur ses livres

Aki Shimazaki

Par rabanne73 le 20 Décembre 2021 Editer
rabanne73
Lu en 2019. Dans le second tome de cette pentalogie, j'avais été ravie de retrouver Mitsuko, de vivre au rythme de son quotidien, à travers ses multiples vies et visages. Une écriture toujours aussi épurée et savoureuse !

Une mère solo d'un enfant différent, libraire passionnée, doit cumuler un autre "job" pour arrondir ses fins de mois et surtout payer l'école de son fils. Une rencontre insolite va venir pimenter cette histoire de famille à l'apparence sereine, mais basée sur un terrible secret, un mensonge édulcoré...
Par rabanne73 le 20 Décembre 2021 Editer
rabanne73
Lu 2019. Cette couverture rose vif avait attiré immédiatement mon attention et puis, je suis tombée sous le charme d'une plume parfaitement dosée, fluide et sensuelle.

À travers le portrait de l'héroïne et de ses déboires sentimentaux, le récit nous parle en filigrane de la réalité du mariage au pays du Soleil Levant. Ce qui semble probant, c'est le manque flagrant d'attention et de communication, la place prédominante du travail et celle dévaluée des femmes une fois devenues mères...
Quelle triste réalité, mais avec quelles justesse et simplicité l'auteure a su la mettre en mots !
Par Michele-132 le 13 Décembre 2021 Editer
Michele-132
La sensibilité, la pudeur et la lenteur…à l’époque des attaques américaines sur Hiroshima et Nagasaki…tout le Japon en quelques pages
Par Phil_33 le 24 Novembre 2021 Editer
Phil_33
Le début de mon « aventure nippone » remonte au 2 octobre 2020, date à laquelle Gérard Collard (que j’ai baptisé Riquet à la Houppe) – le libraire de La Griffe Noire à Saint-Maur-des-Fossés, qui présente une sélection de livres tous les vendredis dans Le Magazine de la santé sur France 5, lors de sa rubrique « Des livres et moi ! » – est venu présenter, entre autres, Le Restaurant de l’amour retrouvé d’Ito Ogawa, avec une telle ferveur que mon épouse m’a demandé de le lui commander. Elle l’a dévoré en quarante-huit heures… Malgré mes efforts, je ne suis pas parvenu à apprécier "La Carte" (du restaurant !). Sans doute une conséquence de ma profonde méconnaissance de la culture japonaise.
Sur les instances de "Brune Platine" qui m’encourage à persévérer dans mon apprentissage de la culture nippone, et impressionné par les TTT de Télérama (n° 3697 – 18/11/2020 – malgré mes mésaventures avec les 3T, comme avec le « Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs ») j’ai décidé de combler mon gouffre culturel avec ce livre d’Aki Shimazaki. Sa critique étant tellement élogieuse et alléchante que je ne pouvais pas ne pas succomber.

Aki Shimazaki est une écrivaine québécoise, née en 1954 à Gifu au Japon. Depuis qu’elle a 11 ans elle rêve de devenir romancière, et commence à écrire des histoires qu'elle invente. Elle a d'abord travaillé au Japon pendant cinq ans comme enseignante d'une école maternelle et a également donné des leçons de grammaire anglaise. En 1981, à 26 ans, elle a immigré au Canada où elle enseigne dans une école japonaise, tout en étudiant l'anglais et le français.
À partir de 1991, elle s'installe à Montréal où, en plus de son activité littéraire, elle enseigne le japonais. Elle suit un cours de composition dans une école de français pour immigrés.
En 1994, à l'âge de quarante ans, elle apprend le français dans une école de langue.
Elle commence ensuite à écrire en français de courts romans.
Son œuvre se déploie en pentalogies : cycles de cinq romans construits autour d'une même histoire, telle que vécue par cinq personnages différents et pouvant se lire indépendamment.
Suzuran entame une nouvelle série, après clôture des trois cycles précédents :
• Premier cycle : Le poids des secrets.
• Second cycle : Au cœur du Yamato.
• Troisième cycle : L'ombre du chardon.
• Le Quatrième cycle comprend Suzuran (2019) et Sémi (2021).

Alors, Suzuran, de quoi s’agit-il ?
Tout d’abord, on apprend que ce mot désigne, en français le "muguet", cette petite fleur du 1er mai qui orne la couverture du livre. Ensuite, pour ceux qui l’ignoreraient, comme moi, que c’est une plante très toxique, voire mortelle ! C’est bon à savoir – j’en ai tout un carré dans mon jardin.
Enfin, comme le résume la quatrième, c’est l’histoire d’Anzu, une céramiste d’Art qui vit seule avec son fils depuis son divorce et qui se donne entièrement à son art de la poterie, dans une petite ville au bord de la mer du Japon et au pied du mont Daisen.
L’histoire est si simple que je n’en dévoilerai pas d’avantage, un mot de plus et tout suspense disparait.
Tout y est cousu de fil blanc, discret, ouaté, prévisible et doux… Est-ce cela l’exotisme extrême-oriental ?
Dans mon commentaire pour Le Restaurant de l’amour retrouvé d’Ito Ogawa j’écrivais :

« Les trois premiers quarts du livre sont factuels : je fais ci, je fais ça… C’est froid, c’est plat, c’est banal, c’est “hors émotions”. À quoi est-ce dû ? Il me vient à l’esprit le souvenir, dans un cabaret parisien au spectacle international désopilant, d’un groupe de touristes japonais (un car ?) dont les visages sont restés d’une impassibilité effrayante pendant toute la représentation. Je ne connais pas la culture japonaise, était-ce de la timidité ? De la pudeur ? De la retenue ?... »

Ici, c’est exactement la même chose, l’écriture y est concise, les phrases sont courtes, les paragraphes courts et les chapitres courts. Le tout est strictement factuel et froid.
À titre d’exemple, voici un paragraphe type, d’une cinquantaine de mots (quand-même), où l’auteure réussit le tour de force d’y inclure deux phrases comptant au moins une douzaine de mots chacune :
« Je me réveille vers dix heures. Je me sens très bien, ayant dormi profondément après une semaine chargée. C’est dimanche. Aujourd’hui, je vais déjeuner chez mes parents, ensuite j’irai à la plage me promener. Mon fils rentrera vers huit heures ce soir. Il fait beau, j’en profiterai tout l’après-midi. » (Fin du paragraphe)

Même si, comme me l’a rappelé si judicieusement "Brune Platine" : « Quant à ce que vous soulevez d’absence d’émotion chez les Japonais, c’est ne rien connaître à leur culture et à leur psyché … » je l’admets volontiers, il n’en demeure pas moins que cette absence d’extériorisation me laisse sans voix et me rebute.

Je ne pense pas poursuivre avec "Sémi", ni chercher, coûte que coûte, à renoncer à mon impardonnable incompétence en culture de l’empire du Soleil Levant (Il trouvera bien le moyen de se lever sans moi).
Par EMIlou le 22 Octobre 2021 Editer
EMIlou
J’ai été surprise par la plume de l’auteur, et j’ai vraiment adoré la manière d’amener le récit (à travers une lettre).
C’était passionnant de redécouvrir l’Histoire du Japon (seconde guerre mondiale) par le prisme d’histoires familiales (mariage arrangé, drame).
Je recommande vivement ce roman !
Par juliseuse le 15 Septembre 2021 Editer
juliseuse
Superbe lecture, lue en deux heures car impossible de la lâcher.
L'autrice y décrit la re découverte de soi et de sa nature et c'était magnifique.
Par WENDYDYDY27 le 10 Septembre 2021 Editer
WENDYDYDY27
Merci à ma médiathèque de m'avoir conseillé ce roman.
Pas du tout mon registre. Un roman, ue nouvelle, très rapide à lire, qui évoque la maladie d'Alzheimer dans un couple marié depuis 40 ans.
Un texte symbolisé par une cigale.
Par Go_jun_pythagore le 16 Août 2021 Editer
Go_jun_pythagore
Wow! Quel revirement de situation. J'ai adoré le livre qui en passant se finit très bien en une seule lecture. Pas besoin non plus d'avoir lu les deux premiers tomes pour apprécier l'histoire. Je dois ajouté que le style d'écriture sobre de l'auteure s'accordait à merveille avec l'histoire quelle essayait de nous raconté. Sûrement une lecture que je recommanderai à n'importe qui dans un futur proche.
Par SkeletonGirl le 7 Août 2021 Editer
SkeletonGirl
Peut-être le tome que j'ai le moins aimé de la pentalogie même s'il reste tout de même très bien et dans le style de l'autrice avec sa poésie et ses envolées lyriques.
J'ai surtout eu du mal avec Aïko que l'on a au final peut aperçue dans le tome Zakuro et donc je n'ai pas réussi à m'attacher à son personnage.
Par SkeletonGirl le 7 Août 2021 Editer
SkeletonGirl
On retrouve dans cet avant dernier tome, le personnage de Yûko que l'on avait rencontré dans Mitsuba. Après avoir annulé ses fiançailles avec T.Aoki elle a épousé le riche héritier Sumida qui a 35 ans était encore célibataire. Il a accepté sans rechigner d'élever l'enfant qu'elle portait comme le sien. Comportement que l'on peut trouver on ne peut plus bizarre mais qui sera expliqué plus tard.
Si dans le 1er tome j'avais trouve le personnage de Yûko froid et antipathique ici j'ai réussi à m'attacher à elle et même à éprouver de la compassion à son égard. Elle a dû faire des choix,qui n'ont certes pas été les meilleurs,mais elle avait ses raisons. C'est presque un tout nouveau personnage qu'on voit apparaître. Celle-ci va d'ailleurs se poser des questions sur l'amour, est-ce qu'il peut naître d'un miaï ? Est-ce qu'elle avait vraiment aimé Aoki ?
J'avoue que j'avais deviné la tournure qu'allait prendre ce petit roman avec la révélation que
Spoiler(cliquez pour révéler)
Sumida était en réalité homosexuel
mais justement je n'ai pas été déçue de l'avoir deviné car ça prenait sens.
Par SkeletonGirl le 6 Août 2021 Editer
SkeletonGirl
Dans ce troisième tome de la pentalogie on suit le personnage de Nobu,qui était un collègue du protagoniste du premier tome. Celui-ci après avoir démissionné decide d'ouvrir son propre juku qu'il nomme Tonbo. Et si le nom est une idée de sa fille l'on découvre une signification pleine de sens en lien avec son père. Le père de Nobu était en effet très intéressé par les insectes. Ce dernier s'est d'ailleurs suicidé..un acte très mal vu dans la société japonaise.
À travers ce roman, Aki Shimazaki énonce encore des sujets variés comme les codes sociaux, l'harcèlement, la religion et d'autres encore.
Par SkeletonGirl le 5 Août 2021 Editer
SkeletonGirl
J'ai beaucoup apprécié ce second tome de la pentalogie Au cœur du Yamato. Ici on suit M.Tôda qui était l'une des personnes qui travaillaient avec Takashi, le protagoniste du premier tome. On a affaire à l'Histoire avec un grand H, celle de la seconde guerre mondiale. En effet, le père de Tôda a été retenu captif en Mandchourie et il y serait décédé. Mais cela la mère de Tôda n'y croit pas. Elle est persuadée qu'il va revenir et alors qu'elle perd la tête son fils decide de tout faire pour découvrir la vérité.Même s'il va pouvoir se rendre compte qu'elle est souvent plus difficile qu'il n'y paraît.
C'est encore une fois un roman subjuguant de sobriété, sous le signe de la Grenade aussi appelée Zakuro en japonais. Une fresque familiale merveilleusement réalisée.
Par SkeletonGirl le 4 Août 2021 Editer
SkeletonGirl
Après avoir lu la saga le Poids des secrets j'avais envie de continuer dans ma lancée. Je me suis donc pris le coffret Au cœur du Yamato sans vraiment savoir cela parlait de quoi mais pourtant sachant très bien que l'écriture de Aki shimazaki me transporterait comme elle le fait si bien a chaque fois. C'est plein de lyrisme,de poésie et de belles images. Et c'est comme a l'accoutumée une fresque mêlant plusieurs personnages, cadres de vies, situations familiales etc.
Par malow le 24 Mai 2021 Editer
malow
J'ai lu ce roman d'une traite. L'histoire est vraiment captivante, les personnages très attachants. On ne s'attend pas à certaines choses jusqu'à la fin, c'est une cascade de surprises, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Très poétiques, c'est un plaisir à lire et à déguster... si on y arrive ! Car dans mon cas, je l'ai dévoré !!
Par Lilo0606160616 le 21 Mai 2021 Editer
Lilo0606160616
Namiko est une mère de famille endeuillée par le décès de sa mère, Yukiko. Peu avant son départ vers l'au-delà, cette dernière confie à son petit-fils ses états d'âme sur la guerre de 39-45 (principalement sur le bombardement de Nagasaki) et rédige en secret deux lettres : une pour sa fille et une autre à l'attention d'un illustre inconnu.

Entre faits historiques et roman, l'auteur révèle avec ce premier tome un environnement japonais dans lequel évoluent des personnages lambdas, emplis de secrets et qui appréhendent le passé, le présent et le futur avec perspicacité et humilité. L'écriture glisse sans fioriture, avec simplicité et accessibilité sans pour autant qu'elle en paraisse enfantine. Tel le style japonais, beaucoup de pudeur et de force se dégagent de ce roman de vie qui dénonce délicatement certaines traditions japonaises. "Tsubaki", qui est la traduction japonaise de Camélia, cette fleur originaire d'Asie orientale, symbole de l'amour éternel de la passion ou encore de la loyauté, n'est pas un roman qui transporte le lecteur dans une aventure rocambolesque mais il s'insinue dans son esprit avec douceur. On en ressort intrigué et, paradoxalement au regard des éléments parfois dramatiques du récit, apaisé par cette écriture vive et directe.
En définitive, Tsubaki reste un roman profond qui promet encore de profonds secrets.

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