Alan Moore
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Note moyenne : 8.02/10Nombre d'évaluations : 578
1 Citations 225 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J'ai a-do-ré le style d'Alan Moore. Je connaissais déjà certaines de ces œuvres comme La ligue des gentlemen extraordinaires, Watchmen et From Hell, mais j'ai découvert sa plume grâce à ce recueil en prose et j'en suis tombée sous le charme 😍
J'ai également apprécié l'ambiance très sombre, un brin mélancolique, qui s'en dégage, mais ... je suis un peu mitigée !
Nouvelle après nouvelle j'ai eu un sentiment étrange, comme si je passais à côté de ma lecture, ça vous l'a déjà fait ? Dans la globalité, j'appréciais ce que je lisais, mais j'ai eu souvent l'impression de manquer quelque chose ...
Je dirais que c'est un recueil très original, mais peut-être un peu complexe, qui mérite plusieurs lectures pour être apprécié à sa juste valeur, mais il faut apprécier son univers singulier pour en avoir l'envie.
La première nouvelle m'a beaucoup plu, je pense que c'est ce qui m'a poussée à continuer quand j'ai eu plus de mal, même quand je devais chercher des mots dans le dictionnaire (ça faisait très longtemps que ça ne m'était pas arrivé 😂) et qui me poussera à relire ce recueil pour en apprécier toutes les facettes.
Quoi qu'il en soit, pour cette première lecture, j'ai passé un bon moment
Afficher en entierJ'ai trouvé qu'on était plus sur une ambiance "enquête policière" que "super-héros", et ça m'a plu de voir l'envers du décor du monde des super-héros (un peu comme avec THE BOYS, quoique dans un style différent).
Il y a beaucoup, beaucoup, de choses à lire, beaucoup de détails aussi dans les dessins. J'ai eu l'impression de lire une œuvre où tout a été mûrement réfléchi et travaillé. Si l'histoire et les graphismes me semblent toujours d'actualité, la colorisation commence à dater un peu.
Une œuvre dense et exigeante, mais incontournable.
Afficher en entierCette novella peut s'avérer frustrante par sa fin qui laisse le soin à chaque lecteur de l'interpréter et d'y lire ce qu'il y souhaite, mais je l'ai trouvé profondément captivante. L'ambiance de cette maison close est aussi prenante que pesante, la narratrice est aussi perturbante que l'histoire d'amour à laquelle elle assiste, et j'aurai aimé en lire encore davantage pour m'en imprégner davantage.
Afficher en entierLes dessins sont au top tout comme l'histoire court et efficace. Ce comics est un classique a lire pour les fan de dc et même pour les novice .
Afficher en entierJe ressors de cette lecture avec un avis un peu mitigé :
1.D'une part le scénario est vraiment efficace et l'univers très intéressant.
2. Mais j'ai assez peu apprécié les illustrations à l'intérieur hormis les doubles pages. Je comprends tout à fait l'objectif artistique et le fait qu'il s'agisse d'un ancien comics, mais c'est quand même parfois difficile de comprendre ce qui est en train de se passer.
Afficher en entierUne histoire prenante et intense. On rentre facilement dans l'univers de ces anti-héros. Sous fond de guerre froide et de fin du monde, les choix sont parfois délicats!
C'est super en terme de scénario et d'illustration, je le conseille.
Afficher en entierLa peur qui rôde est le Tome 1 de la trilogie Providence dans laquelle Alan Moore rend un brillant hommage à l’univers Lovecraftien.
On est en 1919, à New York et on suit le journaliste Robert Black à la recherche d’informations sur un livre qui rendrait fou. Pour les adeptes, on remarquera la ref’ au livre du fou Abdul al-Hazred. Au fil de ses pérégrinations Robert croisera des créatures tout droit sorti de l’imagination de Lovecraft et visitera des lieux inspirés de son univers. Mais sa réputation le suivant, il ne faudra pas s’étonner de retrouver plusieurs remarques racistes.
Le scénario est très bien construit, l’histoire est intéressante mais les planches du journal intime de Robert induisent un ralentissement de l’intrigue et beaucoup de lenteur. Les graphismes sont beaux, et l’ambiance, Lovecraftienne tellement particulière est parfaitement retranscrite.
De ce que j’ai compris en creusant un peu autour de ce comics, il s’agirait en fait d’un préquel au comics Neonomicon toujours de Alan Moore. Je n’ai cependant eu aucun problème à comprendre l’histoire.
Affaire à suivre pour les 2 tomes suivants.
Afficher en entierDerrière un dessin délibérément heighties, des super-héros en pagaille, se cache un récit politique et métaphysique très dense, parfois confus par d’innombrables ellipses et flash-backs. Tous les personnages renvoient à notre condition humaine dans ce qu’elle a parfois de plus laid : violence, sexisme, racisme, barbarie, cupidité, folie etc… en jettent un regard lucide et désespéré sur une humanité incapable d’arrêter le processus d’autodestruction qu’il a initié. Même si certaines boursouflures auraient pu être évités, c’est une lecture qui a le mérite de changer et de bousculer.
Afficher en entierUn voyage dans le temps dérangeant, original et fantastique... Dans la lignée de Poe et Lovecraft !
Afficher en entierLu 2 fois, en VO et VF, je considère ce pavé comme une œuvre littéraire majeure,pour ceux qui ont lu et apprécié Ulysse de James Joyce au point de redouter d'arriver à la dernière page, enchaînez sur Jérusalem !!!
Afficher en entierOn parle de Alan Moore ici :
2019-10-27T16:36:04+01:00
2017-06-21T11:25:53+02:00
2017-02-06T10:32:18+01:00
2016-03-30T20:22:28+02:00
2016-03-22T17:11:36+01:00
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Dédicaces de Alan Moore
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Editeurs
Urban Comics : 35 livres
Delcourt : 20 livres
Zenda : 16 livres
Panini comics : 14 livres
Semic : 5 livres
Panini : 4 livres
ActuSF : 2 livres
DC COMICS : 2 livres
Biographie
Scénariste et illustrateur de BD anglais
[Bande dessinée]
Né à Northampton le 18 novembre 1953
Fils d'ouvrier, Alan Moore suit une scolarité difficile avant de se retrouver chômeur à 18 ans. Sans avenir, il se met à publier, avec quelques amis, le magazine Embryo. En 1979, il décroche un poste de dessinateur dans la revue musicale Sounds. Mécontent de ses travaux, il décide de devenir scénariste. Les magazines Doctor Who Weekly et Warrior accueillent ses premières créations importantes : 'Marvelman' et surtout l'excellent 'V pour Vendetta', dessiné par David Lloyd, primé de nombreuses fois. Alan Moore s'est fait un nom. Du coup, les Etats-Unis s'intéressent à lui pour donner un nouveau souffle aux comics. Bonne pioche, Moore parvient à réutiliser les clichés du genre. Les comics deviennent plus adultes, plus complexes, plus psychologiques sans rien perdre de leur dynamisme palpitant. Ses 'Watchmen', en 1986, qui mettent en scène des héros désabusés, révolutionnent le genre. Il enchaîne les scénarios, toujours plus originaux, intelligents et, fait rare, engagés : il est l'un des premiers à aborder des thèmes comme les armes, le racisme ou le nucléaire. L'Anglais aux faux airs de Raspoutine ne se limite pas aux comics et repousse aussi les limites de la BD européenne. Son 'From Hell', album format dictionnaire sur Jack l'Eventreur, est l'un des ouvrages les plus ambitieux et les plus riches jamais réalisés pour le 9e art. Il signe en 2008 'La Voix du feu' qui plonge le lecteur dans l'histoire de la ville natale de l'auteur de 40.000 av. J.-C. à nos jours. Scénariste génial, Alan Moore a su donner à la bande dessinée ses lettres de noblesse ; il fait en plus le bonheur d'Hollywood, de plus en plus friand de ses scénarios.
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