Commentaires sur ses livres

J’avoue que depuis le 9ème tome, nous nous éloignons de l’intrigue principale de «1 mois, un homme» et ça me partage un peu. J’aime l’arrivée de la mère de Mia et sa façon d’hésiter à pardonner celle qui l’a mise au monde. Au bout du compte, nous n’avons pas le fin mot de cette partie de l’histoire et j’aime savoir que Mia lui en voudra pour longtemps. Cependant j’aime ce dernier tome qui se clôture de façon théâtrale. Ce dernier chapitre, épilogue du point de vue de Wes est vraiment agréable et très intéressant tout en sachant que c’est un personnage emblématique. Le petit bonus final est frais et donne des nouvelles des autres personnages qui ont marqué l’histoire sur plusieurs années : j’ai beaucoup aimé voir ce qu’ils sont devenus, les mariages qui ont eu lieu ainsi que les naissances qui sont arrivées! En soit, Calendar girl est une bonne saga qui se lit vite au bout du compte malgré le nombre important de tome.

Le retour du père de Mia au sein de l’histoire, sans qui toutes ces rencontres n’auraient pas eu lieu. J’avoue avoir été sceptique quand à sa réaction, je voyais bien l’idée qu’il joue les papa poules alors que ses deux filles sont maintenant en couple. Mais rapidement Mia l’a remit à sa place et à la fin du tome il passe à la trappe je trouve.
Le quotidien de Mia est toujours mouvementé, aux côtés de Wes, mais elle devient une belle femme d’affaire et je me plais à suivre ses aventures. Dommage qu’elle ne fasse plus de rencontres au sein de son travail, et à la fois je suis contente de retrouver des vieux personnages comme Anton et Mason. La jalousie de Wes est adorable, et Mia sait exactement comment le rassurer, je les trouve vraiment trop mignons ensemble. Le côté famille n’est jamais bien loin avec Max et sa petite tribu que nous noous prenons à aimer un peu plus à chaque page avec son côté protecteur. Un bon tome encore une fois, qui se lit facilement et très vite.

Un tome fort en émotion! J’ai été particulièrement touché par le retour de Wes, et la gestion de son traumatisme.La relation qu’il entretient avec Mia est vraiment incroyable : ils se font confiance malgré leur jalousie. J’avoue ne pas apprécier Gina, mais Mia prend sur elle, pour Wes et je trouve ça remarquable. C’est vraiment une belle relation qu’ils développent ensemble. La nouvelle vie de Mia commence dans les studios du Docteur Hoffman : j’avoue être un peu déçue de ne pas voir plus de préparation d’émission et de détails.L’histoire avance, mais l’intrigue de base s’échappe un peu. Je pense que le prochain tome sera identique à celui-ci et il n’y aura plus de questions de la rencontre d’un nouvelle homme dans la vie.

Wes est retrouvé sain et sauf malgré le traumatisme. Plus d'homme à escorter, on en apprend un peu plus sur Mia et Wes c'est chouette

Une fin de série avec un rebondissement et une dernière découverte attendu. J'ai adoré avoir un mini résumé sur chaque personnage à la fin !

Cette saga est un gros coup de cœur. J'ai adoré plonger dans l'univers de l'auteure. Sa plume est magnifique, fluide et surtout addictive. À chaque nouveau tome je n'avais qu'une hâte, connaître la suite des aventures de Mia.
Son histoire m'a énormément touché et j'ai adoré son personnage.
Elle est attachante, touchante, serviable. Toujours présente pour les personnes qu'elles aiment.
J'ai aimé sa progression toute au long de l'histoire.
J'avais l'impression de vivre au même rythme que Mia.
Les personnages présents dans la vie de Mia m'ont beaucoup touché avec leur histoire.
L'histoire est riche en émotions ainsi que de suspense et de rebondissements. J'ai été captivée du début à la fin de cette saga.
J'ai hâte de découvrir d'autres œuvres de l'auteure aussi belle que Calendar girl.

Merci à l'auteur pour cette magnifique saga 🤍

Un cinquième tome qui remonte un peu le niveau du précédent. Audrey Carlan reprend ses bases en redonnant une intrigue à son histoire. On retrouve un peu le but premier d'International Guy. Même si la romance entre Parker et Sky est assez présente, elle n'est plus uniquement en premier plan. Elle se le partage avec Rochelle, notre belle PDG, qui a besoin d'IG pour trouver la dernière chose qui manque à sa vie : un mari. Mais attention, elle ne veut pas n'importe quel mari. Elle veut LE mari. Celui qui remplira à la perfection chacune de ses exigences sans le moindre faux pas.

J'ai apprécié ce tome pour une raison : on n'en sait enfin un peu plus sur Royce et ses aspirations de vie ! Dommage que ce tome n'ait pas été de son point de vue car je pense qu'il aurait été davantage intéressant à lire, plutôt que du point de vue de Parker qui est on ne peut plus hypocrite avec son ami. En effet, notre beau Royce a craqué pour Rochelle et espère potentiellement vivre quelque chose avec elle. Comble de l'hypocrisie, Parker qui a séduit deux précédentes clientes, reproche à son ami d'en faire de même avec celle-ci. Autant vous dire que Parker ne gagne absolument aucun point en sa faveur. Heureusement que Royce n'a pas la langue dans sa poche et se permet de l'envoyer promener. C'est gratifiant à lire !

Pour ce qui est de Parker, je trouve quand même qu'il évolue (et heureusement !). Il semble gagner un peu en maturité et prendre conscience que la façon dont il s'est comporté avec les femmes jusqu'à présent n'est pas forcément digne d'un gentleman (comme il se plaît à se décrire alors que plus goujat que lui... c'est difficile de trouver !). Cependant, il conserve ce côté très misogyne et se permet de juger le physique de Rochelle en lui donnant une note, et en estimant la note physique que son compagnon devra avoir. Un peu comme si les beaux allaient uniquement avec les beaux, et les laids avec les laids. Une femme laide ne veut visiblement pas prétendre s'afficher au bras d'un homme beau ? Avec un comportement comme celui-là, Audrey Carlan ne nous donne absolument pas envie de s'attacher ne serait-ce qu'un peu à lui.

Dans ce tome-ci, le couple Parker/Skyler est mis à rude épreuve. La relation à distance est difficile, et surtout, je trouve qu'ils manquent cruellement de communication. Skyler se retrouve dans une position délicate, et même si Parker met tout en oeuvre pour lui venir en aide, l'éloignement kilométrique n'aide pas et fatalement, on se retrouve avec une situation chaotique qui met à mal le duo.

Je commence à me faire à l'idée que Parker sera le seul à mener la barque et que, quelque part, on nous présente International Guy comme un mensonge. Il n'y a pas 3 personnages principaux, mais bien un seul. C'est dommage, ça fait quand même publicité mensongère. Surtout que Parker n'est pas le plus appréciable des trois, et maintient ma perplexité quant au contenu de cette saga. Néanmoins, je ne peux nier apprécier le format court et sans prise de tête - c'est un peu pour cette raison que je continue de la lire.

Dans le même état d'esprit que Calendar Girl, International Guy est une saga aux tomes courts alors c'est certain qu'il ne faut pas s'attendre à beaucoup de profondeur, ni de développement d'intrigue. Il faut aller à l'essentiel. Exit ceux qui trouvent que ça va trop vite, qu'on n'en sait pas assez, etc. en moins de 200 pages c'est impossible. Le but de ces romans, c'est de passer une petite heure à lire quelque chose de léger et sans chichi, histoire de passer le temps ou un entre deux bouquins qu'il faut digérer avant de se replonger dans un bon roman.

A l'instar de Calendar Girl qui était exclusivement du point de vue de Mia, personnage féminin, International Guy se présente d'un point de vue exclusivement masculin, et autour de 3 personnages : Parker, Bo et Royce, trois associés qui ont monté leur société et dont chacun possède un rôle bien défini. Ce premier tome s'ouvre avec le personnage de Parker, qui est le Dream Maker, c'est à dire qu'il coach ses clients en matière de vie. Et même si ce tome est exclusivement de son point de vue, Bo et Royce vont aussi devoir apporter leurs mains à la pâte car Sophie Rolland a besoin d'eux pour reprendre en main la société familiale.

Somme toute l'histoire est assez basique. Quand on sait que ces 12 tomes vont alterner les grandes villes, et les points de vue entre nos 3 personnages, il n'est pas difficile de deviner que ces derniers ne sont pas des hommes à vivre une grande histoire d'amour avec le personnage féminin du tome. Parker apparaît comme étant le cerveau de l'entreprise. Il donne l'impression que c'est lui qui dirige ses associés. Honnêtement, je n'ai pas su m'attacher à lui ou lui trouver un quelconque intérêt. Aussi jolie que puisse lui apparaître Sophie - même si elle apparaît comme fade et quelconque - le cerveau de Parker rentre dans les types clichés masculins : il ne pense qu'à se la taper. Il n'y a aucune substance (mais ça, je l'ai déjà dit, et c'est ce qui est attendu), mais j'ai trouvé ce côté là pas mal redondant et limite lassant. À tel point que j'en suis venue à penser : "mais saute-la et on en parle plus." Alors que lorsqu'on nous présente ce personnage, il est censé être le gentleman du groupe ! Parker est hyper suffisant, j'ai pas mal de fois lever les yeux au ciel. Il se targue d'être le meilleur, mais honnêtement, je me demande à quoi il sert bien précisément... si Bo et Royce ont des rôles bien défini (l'un s'occupe de la garde robe et l'autre des finances), Parker lui... je cherche en quoi ses leçons de vie servent exactement puisqu'à part les parties de jambes en l'air... on ne peut pas dire qu'il apporte grand chose à l'histoire !

Sophie, timide, réservé, et désireuse de vraiment bien faire en reprenant la tête de la société de son père, s'en remet totalement aux mains de nos IG et ne tarde pas à succomber aux charmes de Parker - en même temps, vu la façon dont il lui fait du rentre dedans, elle donne aussi parfois de ne pas avoir le choix que d'avoir son attention portée sur lui et n'a absolument aucune chance d'apprendre à connaître Bo ou Royce puisque Parker ne désire qu'elle ne voit que lui... - mais elle est consciente qu'il ne peut lui offrir aucune attache ou même aucune relation sentimentale et accepte sans problème.

Attention : si vous êtes féministes, ce tome va aussi vous faire grincer des dents ! Clairement, pour IG, il est impossible qu'une femme s'impose en portant des jeans et des baskets ! C'est talons de 10 cm et vêtements sexy obligatoires ! L'objectif de nos garçons, c'est de transformer Sophie, femme douce et timide, en une véritable croqueuse de diamant en ... une semaine ! Oui oui... (On se rappelle bien sûr que le roman ne fait pas 200 pages et qu'on a pas le temps pour étoffer et donner du contenu !) Enfin toujours est-il que le scénario est un peu dur à avaler, même si je dois bien reconnaître avoir lu ce roman avec un additivité certaine puisque j'ai enchaîné les pages et que j'ai tout de même passé un bon moment lecture. La plume d'Audrey Carlan fait son job. Quand on a déjà lu Calendar Girl, on sait déjà à quoi s'attendre.

Bo et Royce semblent davantage intéressants, et je pense continuer la saga uniquement pour découvrir ces deux autres personnages qui m'ont intrigué. Je ne reste pas sur mes apriori quant à ce premier tome car Audrey Carlan a déjà su me surprendre une première fois avec Calendar Girl et la tournure qu'avait prise sa saga, donc pourquoi pas être surprise à nouveau avec IG ? Pour l'instant, je jugerai qu'Internation Guy n'est pas du tout une lecture à prendre au sérieux, et qu'elle est juste là pour passer un peu le temps sans se prendre la tête.

Ah la New romance... 😁

Pour le coup, ça va vraiment un peu vite en besogne, mais vraiment 😂

Mais on passe un bon moment 😉

En plus, 150 pages ... ca se lit rapidement et permet une jolie pause entre 2 pavés 🤪

La série perd de tout son sens… L’histoire de base n’a plus de place, l’histoire devient un conte de fées et pour contrebalancer on nous ajoute une histoire qui touche le fond du fond mais dont Mia est l’héroïne… Des « je t’aime » à n’en plus savoir que faire, rien de concret, rien de réaliste…
Le seul point positif, c’est qu’il se lit vite!

Clôture sympathique j'ai eu du mal avec le retour de la mère cependant

Une catastrophe. Je ne comprends pas comment ce genre de livre peut être édité. C'est ridicule. Tout se passe trop vite, tout est démesuré. Je me suis forcée à le finir mais je ne lirai pas la suite !

J'ai trouvé l'histoire plate et les personnages peu développés. Je ne me suis pas du tout attachée à Warren et Kathleen. Heureusement que l'écriture est fluide et que ça se lit tout seul, parce qu'il ne se passe rien, il n'y a pas de rebondissements avant le dernier chapitre... Heureusement aussi qu'il y a une brève apparition de Mace et Taï, des personnages que j'apprécie.

Spoiler(cliquez pour révéler)

J'ai été un peu déçue de comment l'agression sexuelle et la tentative de viol ont été traité : pas assez de pédagogie à mon sens. Ça m'a frustrée qu'à la première agression Mia ne fasse rien et qu'après la tentative de viol Aaron s'en sorte indemne...

Le dernier tome de la série Calendar Girl est un peu comme un long épilogue. Cependant j’ai bien aimé le retour de sa mère et le fait qu’elle a maintenant une grande famille.

Mon préféré de cette série