Dan Franck
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Note moyenne : 7.48/10Nombre d'évaluations : 128
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Les derniers commentaires sur ses livres
Bonjour tout le monde. J'ai fini ce livre hier et je l'ai trouvé bien écrit mais j'ai l'impression que les quatre suivants seront encore mieux que ce tome 1. Cette série se passe à l'époque où le totalitarisme commence à envahir l'Europe. De plus, ce tome 1 se passe au moment où le nazisme d'Adolf Hitler s'apprête à prendre le pouvoir absolu sur l'Allemagne. Cet après-midi, j'irai chercher à la librairie le tome 5 d'Alex Rider et "La Nuit de tous les dangers" qui sont arrivés par commande hier. Je commencerai "SCORPIA".
Afficher en entierLa Séparation est un beau roman, malgré un style d'écriture particulier qui m'a un peu rebuté au début.
Afficher en entierJ’avais découvert Dan Franck avec Bohèmes, un ouvrage sur les artistes de l’art moderne. On y parlait de Picasso, Apollinaire, Jarry, Max Jacob, Matisse, Braque… tous ceux qui ont fait de Paris la capitale de l’art et la renommée de Montmartre, au début du siècle dernier. Dans Le vol de la Joconde, on les retrouve tous dans une sorte de Traversée de Paris surréaliste ; Dan Franck, fin connaisseur de chacun des protagonistes, les fait dialoguer en jouant, parfois, avec les dates. Et finalement, la magie opère, les tableaux, les sculptures, les poèmes renaissent à travers les pages du livre. Un magnifique voyage.
En août 1911, la Joconde, le plus célèbre tableau du monde est dérobé au musée du Louvre. Même si Pablo Picasso et Guillaume Apollinaire ne sont pas directement liés à ce vol, ils s’inquiètent car ils possèdent illégalement deux statuettes provenant des collections du musée. Craignant que l’enquête de police mène les inspecteurs jusqu’à eux, ils décident de se séparer de ces œuvres compromettantes. Pendant quelques jours, ils parcourent les rues de Paris à la recherche d’un hôte bienveillant pour les statuettes.
Dan Franck fait revivre avec beaucoup de talent ces artistes, peintres, poètes, sculpteurs ou musiciens et leurs muses. Malgré la pauvreté et les galères, ils furent les génies du temps des Bohèmes et restent pour toujours des références et des légendes pour les artistes d’aujourd’hui. Ce vol de la Joconde, si réel soit-il, est un prétexte pour Dan Franck de faire revivre ce Paris des années 1910, qui a permis l’effervescence culturelle, l’éclosion de styles (fauves, cubistes, surréalistes) et la création d’œuvres incroyables.
Afficher en entierBonjour à tous. J'ai finalement décidé d'abandonner la lecture de cette saga qui ne m'intéresse guère. Il y a trop de choses que je n'ai pas comprises et cette série ne me convient pas. Vraiment dommage. Voilà pourquoi j'ai décidé de retirer les livres de cette série de ma réserve personnelle. Bonne journée à tous.
Afficher en entierIl manque beaucoup de choses pour rendre ce roman addictif et intéressant. C'est dommage car le fond semble bien mais les personnages ne sont pas woua, le décor moyen et je cherche encore le coté polar
Afficher en entierCe livre fait partie de ma saga chouchou de tous les temps. Le tome 8 étant paru en 2009 et l’un des auteurs étant décédé (Jean Vautrin), je m’étais faite à l’idée de ne jamais lire la fin de cette saga. Celà a été un réel bonheur quand j’ai vu l’annonce de la parution de ce neuvième tome.
L’histoire reprend presque 10 ans après la fin du tome 8. L’auteur nous fait part de quelques flashbacks pour qu’on sache ce qui c’est passé durant ces années écoulées.
Comme d’habitude, j’ai beaucoup aimé l’engagement de Boro ainsi que de ses proches. Il lutte pour l’opprimé et la justice. Approchant de la cinquantaine, rien ne le freine quand il soutient une cause.
L’auteur nous fait vivre plusieurs moments de l’histoire au travers des voyages de Boro, la chasse des criminels nazis, la guerre d’Algérie, la construction du mur de Berlin. Tous ces événements sont richement documentés et cela se sent.
Le petit point noir de cette histoire, pour moi, c’est que j’ai trouvé qu’on passé beaucoup avec Jolan. J’ai l’impression que l’auteur l’a introduit dans l’histoire pour en faire un “mini Boro” et ainsi qu’il puisse poursuivre sa saga après le décès de son personnage phare (hypothèse).
Le roman est rythmé, Boro et ses compagnons vivent mille et une aventures toutes plus dangereuses les unes que les autres. La fin donne envie de lire le prochain tome.
En bref, j’ai passé un bon moment avec ce roman rythmé et bien documenté, je regrette la trop grande présence de Jolan.
Afficher en entierHaletant ! Suivre Boro équipé de sa canne et de son leïca dans l'Europe d'avant-guerre a été une aventure à vivre pleine de suspens pour le lecteur que je suis.
Afficher en entier" La dame du soir " est un roman bien triste. C'est l'histoire d'une femme malade, Esther, qui cherche et trouve l'amour. Malheureusement cet amour n'a pas le temps de s'épanouir...
C'est bien écrit. Se lit facilement.
Afficher en entierQuelle belle époque! Quel concentré d'artistes! ceux d'aujourd'hui sont tellement fades en comparaison!
Afficher en entier📜 Quand je flânais dans les rues de Nancy,
Je suis tombée sur une petite librairie,
Toute de livres et de cartons encombrée.
Ma curiosité au vif piquée,
J'y suis entrée.
Travaillant pour une galerie d'art,
Ce livre a attiré mon regard. 📜
Malheureusement, cette lecture ne m'a pas apporté ce que j'en attendais 😔
L'auteur nous embarque à Paris, en 1911. la Joconde a été volée au Louvre et l'on soupçonne Picasso et Apollinaire d'avoir fait le coup. Ils vont sillonner Paris pour chercher de l'aide auprès de leurs amis artistes... 🤨
Avec ce résumé, je m'attendais à un roman policier, à une course poursuite dans les rues de Paris du XXᵉ siècle. Quelque chose de prenant, haletant, dynamique. À l'inverse, je me suis retrouvée face à un livre court qui a débuté de manière incompréhensible selon moi. Il n'est pas vraiment clair que la police soupçonne Picasso et Apollinaire et pourtant, nos deux amis paniquent quand même... mais pas pour le tableau 🤔
Leur traversée de Paris paraît donc bien impulsive et sans véritable motif. Par la suite, une fois qu'ils commencent leur « épopée », nous les retrouvons dans des situations qui frisent l'absurde. J'ai lu Samuel Beckett et Ionesco, maîtres du théâtre de l'absurde, et je peux vous dire que ça m'a fait le même effet par moments 😅 Ça n'avait pas de sens, pas de lien avec notre intrigue. J'avais l'impression d'avoir affaire à un auteur atteint de TDAH, impossible de rester concentré sur un même sujet pendant tout un chapitre 😳
Je me demandais bien dans quelle direction allait nous mener l'auteur. Pour le coup, on peut dire qu'il ne laisse aucun indice et qu'on va de surprise en surprise 😅 Mais heureusement, tout n'est pas à « jeter » à mon sens. Ce que j'ai aimé avant tout, c'est le domaine de cette histoire : l'art 🎨 Avec cet aspect historique qui m'a beaucoup plu. On retrouve les plus grands artistes de cette époque, dans des rencontres surprenantes et parfois surréalistes. Le jargon artistique m'a tellement plu 😁
Ce que j'ai aimé aussi (si je fais abstraction de l'intrigue), c'est l'humour qu'a insufflé l'auteur dans ce livre. Les joutes verbales entre Picasso et Apollinaire, et même avec d'autres personnages, sont parfois à mourir de rire tant c'est surréaliste. Tantôt prétentieux, tantôt sensibles, on s'attache à eux et la vision qu'on en avait en commençant ce livre se transforme au fur et à mesure. Quand je voyais leurs capacités à débiter autant d’âneries à la minute, je me demandais s'ils se sentaient vraiment en danger 🤣
Alors, certes, ce livre est finalement léger et drôle mais quand on me vend un résumé si sérieux, je me sens flouée. Il y a tromperie sur la marchandise 😅 Néanmoins, je n'ai pas passé un affreux moment. Je me sentais simplement... décalée et ce n'est pas forcément agréable. Mais si vous appréciez les histoires pleines d'humour et qui touchent au domaine de l'art, je vous le conseille !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Dan Franck
et autres évènements
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Editeurs
Pocket : 13 livres
Grasset : 9 livres
Fayard : 8 livres
Casterman : 4 livres
LGF - Le Livre de Poche : 3 livres
Seuil : 2 livres
Robert Laffont : 2 livres
Presses pocket : 2 livres
Biographie
Dan Franck a signé une quinzaine d'ouvrages publiés dans vingt-huit pays, notamment Les calendes grecques, qui ont reçu en 1980 le prix du Premier Roman, et La séparation, qui a été couronnée en 1991 par le prix Renaudot, avant d'être portée à l'écran en 1994.
Il est également l'auteur de Nu couché (1998), Bohèmes (1998), un essai sur les avant-gardes du début du XX' siècle, et un album réalisé avec le dessinateur Enki Bilal, Un siècle d'amour (1999). Depuis 1987, avec Jean Vautrin, il fait partager à ses lecteurs les palpitantes aventures du reporter Boro. De son vrai nom Jean Hermann, Jean Vautrin, né en 1933, est ancien élève de l'IDHEC (Institut des hautes études cinématographiques).
Scénariste dialoguiste, réalisateur de films et d'émissions de télévision, il a été l'assistant de Roberto Rossellini et a travaillé avec Vincente Minelli et Jacques Rivette. On lui doit cinq longs métrages, dont Le dimanche de la vie (1965), réalisé en collaboration avec Alain Queneau, et entre autres scénarios, celui de Garde à vue de Claude Miller, qui a obtenu un César en 1981. À partir de 1972, il prend un pseudonyme pour écrire des romans.
Auteur d'une vingtaine de romans et de quatre recueils de nouvelles, il reçoit en 1986 le Goncourt de la nouvelle et 1989 le prix Goncourt pour Un grand pas vers le bon Dieu. Prix populiste en 1994 pour Symphonie Grabuge, il a reçu en 1999 le prix Louis-Guilloux pour l'ensemble de son œuvre.
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