Dmitry Glukhovsky

Voici un roman qui est difficile à commenter car malgré de bonnes idées, je ne peux pas dire que j'ai adoré ma lecture.

L'auteur nous montre une société et un futur terrifiant, ce qui pourrait advenir du monde à cause de la surpopulation. J'aime beaucoup les romans d'anticipation car ils sont souvent très réalistes et originaux celui-ci ne déroge pas à la règle car il va vraiment en profondeur et traite beaucoup de thèmes à la fois.

Mais il y a eu tout au long de ma lecture une certaine gêne que ce soit à cause du personnage difficile à cerner et peu sympathique ou à cause des scènes vulgaires qui n'étaient pas très utiles à l'histoire.

J'ai peiné à terminer le livre car j'ai trouvé certaines parties très longues, j'ai d'ailleurs fini par le lire en diagonale jusqu'à arriver aux rebondissements de la fin.

En conclusion, je dirai que ce n'est pas avec ce livre qu'il faut commencer pour entrer dans l'univers de Dmitry Glukhovsky, la série Metro 2033 est beaucoup plus accessible.

Après ce 4eme roman de l'auteur que je lis, je me rends compte qu'à chaque fois j'ai aimé l'univers, l'écriture et les thèmes traités mais jamais les personnages qui sont essentiellement masculins d'ailleurs car il y a très peu de femmes dans les romans de Dmitry Glukhovsky.

J'ai beaucoup aimé ce livre. Je l'ai acheté tout en sachant qu'il s'agissait d'un voyage initiatique d'un jeune homme dans le métro et en sachant cela je n'ai pas été déçue par le manque "d'action" qu'il y a pu avoir à certains moments.

La plume de l'auteur est fluide, certains éléments manquent peut-être d'approfondissements notamment sur la vie autre qu'humaine "normale" au sein des tunnels, mais je pense que ça a sans doute été développé dans les deux tomes d'après.

Vraiment une bonne lecture, je lirais sans doute la suite mais dans un petit moment !

Mon historique avec "Métro 2033" n'est pas très simple (je l'ai commencé en 2018, en pleine panne de lecture, et je viens seulement de le terminer, en 2023) et pourtant... je l'ai apprécié !

À l'époque, je mourrais d'envie de découvrir de la littérature russe et ce roman m'avait fait de l’œil dans la librairie où j'allais. Malgré beaucoup de noms compliqués à retenir lorsqu'on n'est pas familier de la culture russe et un besoin constant de me référer à la carte du métro moscovite pendant ma lecture, j'ai pas mal aimé l'univers sombre, post-apocalyptique et dangereux dépeint par l'auteur. Il se dégage de chaque phrase, de chaque page, de chaque chapitre, une angoisse, une atmosphère pesante, un sentiment permanent de curiosité mêlé à de l'appréhension et tout ce cocktail immersif et captivant m'a permis de me replonger très facilement dans ma lecture même après la longue pause que j'ai dû faire.

La quête d'Artyom pour combattre les Noirs, créatures effrayantes qui envahissent le nord du métro, et sauver la population moscovite réfugiée depuis des années sous terre est à la fois haletante et terrifiante. On ne sait jamais à quoi s'attendre, ce que cachent réellement les différentes stations et ce besoin de savoir, d'en avoir le cœur net (tout comme le protagoniste), fait que j'ai eu du mal à lâcher ce livre quand j'ai lu les 500 premières pages en 2018 et quand j'ai lu les 350 dernières en 2023. L'histoire est complexe, sombre, pleine de rebondissements, de rencontres, de mystères, très bien ficelée et donne matière à réflexion sur des sujets politiques, écologiques, éthiques ou encore sociaux.

Je suis très contente d'avoir réussi à reprendre ce roman de science-fiction et de l'avoir enfin terminé après plusieurs années de pause. Je le qualifierais presque de classique, tant il est marquant et surprenant. Je pense qu'il va longtemps me rester en tête.

J'ai également lu qu'une adaptation cinématographique serait en cours et devrait sortir en 2024 et j'ai extrêmement hâte !

Sa lecture m'a permis de valider la consigne de plusieurs challenge. Je ne suis pas fan du genre, mais j'ai trouver l'histoire intéressante. J'ai passé un très bon moment.

Le Métro 2033 de Dmitry Glukhovsky nous transporte dans le métro moscovite après une guerre nucléaire ayant réduit l’humanité à une poignée de survivants.

Soucieux de fuir les créatures de l’extérieur ainsi que les radiations, hommes, femmes et enfants peuplent désormais les stations abandonnées, regroupés par gouvernements.

Ce qui fait la force de ce roman post-apo, selon moi, c’est l’univers inventé par l’auteur. Un univers très sombre où la population tente de survivre, presque sans lumière, en se nourrissant de champignons et où le danger se cache dans chaque couloir. On y suit le personnage d’Artyom, missionné par un « Stalker » pour délivrer un message de la plus haute importance au gouvernement central. Le lecteur suivra donc son périple, de station en station, de gouvernements en gouvernements avec un parcours, évidemment, semé d’embuches.

De manière générale, ce que j’aime avec les post-apo ce sont ces manières de décrire l’humanité dans ses heures les plus sombres, quand la survie n’a littéralement plus de prix. Plus que les dangers extérieurs, ce que j’aime c’est quand les Hommes deviennent une menace, finalement, plus importante que le reste. Et ici, on se retrouve avec certaines scènes où c’est le cas : parmi les gouvernements peuplant le métro, on retrouve les marchands, les trotskistes, les communistes mais également les néonazis, regroupés sous un Quatrième Reich, les sectes religieuses et accessoirement cannibales, les mafieux en tout genre etc.

Métro 20233 nous offre une histoire finalement assez classique qui peut s’apparenter à un voyage initiatique, thématique largement explorée dans la littérature. Mais le cadre choisi par l’auteur, sa manière de le décrire, les dangers à la fois humains et surnaturels font vraiment sa force. Chaque détour d’un couloir est une nouvelle épreuve pour notre personnage principal et on les découvre avec parfois appréhension, peur ou adrénaline.

Le premier tome de cette trilogie est vraiment intéressant. J’ai continué ensuite avec Métro 2034, qui selon moi, ne lui arrive vraiment pas à la cheville.

Une lecture décevante pour moi, j'ai eu beaucoup de mal à parvenir a le finir. Les noms de station de métro étaient pour moi une torture à déchiffrer, j'ai trouvé qu'il traînait en longueur avec beaucoup trop de description. Je n'ai pas non plus accroché au personnage principal. Le style de l'auteur n'est vraiment pas fait pour moi.

Une lecture assez étrange qui ne m'a malheureusement pas vraiment convaincue.

Bien que le synopsis de base me tentait beaucoup, je me suis hélas perdue dans toutes les stations qu'Artyom traverse, je n'ai pas été intéressée par le monde à la surface qu'Artyom doit traverser au péril de sa vie et je n'ai pas toujours compris comment le personnage principal arrivait à se sortir de situations qui, quelques phrases auparavant, semblaient sonner le glas de l'aventure du héros.

Le retournement de situation final, au lieu de me donner envie d'essayer de continuer la trilogie, m'a fait lever les yeux au ciel.

Seul point positif: le style de l'auteur, qui, malgré une envie qui diminuait chapitre après chapitre, nous emporte contre nos sentiments et nous donne envie de finir le livre malgré tout.

Dernier livre de l'année 2023 et ce ne sera pas une recommandation pour moi.

Un chef d'oeuvre de dystopie.

Un monde fascinant qu'est le métro de mosou dans Métro 2033. Intrigant, palpitant et mistérieux. j'ai adoré ce livre et le recommande à tous les fans de monde post-apocalyptique.

Long a démarrer avec des descriptions sans fin, quelques passages sectaires long et barbant 😵. Mais heureusement hormis ça j'étais prise dans l'histoire et je compte bien lire la suite !!