Marlène Jedynak

Un roman historique qui m'a rappelé ceux de Mireille Calmel avec son pêlemêle de personnages dont chacun apporte une pierre à l'édifice. Bien rythmé et prenant, ce roman est difficile à lâcher.

Belle découverte.

Une intrigue agréable et rythmée, même si je me suis perdue dans les stratégies politiques. La fratrie de Coursy est riche et captivante, le personnage de Jorge de Soria mystérieux. Tous e éléments font que l'on se laisse porter dans le tourbillon de cette guerre magique, impatients de savoir ce qu'il adviendra d'Axel et qui remportera son cœur.

Je dois dire que ce troisième tome n'a pas été simple pour moi.

Je n'ai pas adhéré au récit se déroulant en enfer. Un peu trop complexe, parfois caricaturé, j'ai trouvé ça long et un peu lassant, c'est dommage.

A côté de ça, la relation entre Alex et Jorge a pris de l'ampleur et j'ai bien aimé leur dynamique.

J'ai apprécié aussi le rôle des autres de Coursy, notamment Clio qui trouve sa place dans le récit.

Et bien je ne vais pas continuer. Ça paraissait être un bouquin intéressant, qui promettait un univers original, mais il y a un principal défaut qui m'empêche d'aller plus loin dans ma lecture: la langue.

C'est pauvre en terme de vocabulaire, les phrases sont courtes et bancales, plus descriptives que démonstratives (on a du raconté plutôt que du montré).

Les personnages semblent avoir douze ans d'âge mental, au vu de la tournure des phrases, qui font état d'un esprit puérile et simpliste de leur part, surtout en lisant ça:

« Et dire qu’il était venu demander de l’aide à ces mages noirs. C’était de la faute du duc de Normandie ! »

(c'est le roi qui parle. 🤔)

Les registres langagiers et les manières de parler ne suivent pas eux non plus. Le roi parle comme un bébé, les magiciens comme des dandy du XIXe siècle, et Axel pense comme un gamin qui se prend pour un grand à jeter des éclairs partout parce que les éclairs c'est trop la classe.

Autant je comprends que ce soit une sorte d'uchronie, mais il faut donc que les personnages fassent état d'un registre adapté et d'une manière de parler logique et cohérente avec leur personnalité et leur rang. Mais là on a une différence de ton et ce pour un même personnage dès le début du roman.

Ce qui en découle, c'est un gros manque de crédibilité car les personnages sont archétypaux au possible, et la rapidité avec laquelle on passe de l'un à l'autre ne permet pas de s'attacher. Tout est très superficiel, rapide, incohérent.

Donc un livre mal écrit, des personnages pas du tout construits, au service d'une histoire qui aurait pu s'avérer très réussie sans ces erreurs.

J'attends la suite avec impatience 🤩🤩🤩🤩🤩🤩

2/10

J'ai vraiment eu du mal a finir ce roman.

Les personnages m'ont fait pensé a des enfants .L'intrigue est décousue et les "complots" m'ont parue interminable pour pas grand chose aux final. Le personnage principal Axel ne m'a pas plu du tout, Monsieur a honte d'être devenu une femme , lui qui auparavant était un homme beau virile et qui ramener un nombre incalculable de demoiselle dans son lit doit a présent supporter le comportement déplacer de tout les homme de ce livre envers lui car ils sont tous attiré par ses formes généreuse . La seconde moitié du roman m'a juste perdu je lisait des scène étrange les une a la suite des autres sans réussir a comprendre car tout avait l'air normale pour les personnages notamment une en particulier

Heift,Oskar et Elevar fixaient Axel avec attention.Il titubait comme si il avait trop bu,mais non.L'épuisement semblait avoir raison du jeune berserker.

-Je refuse d'assiter à l'agonie d'un des nôtres !fit soudain Oskar

Voir Axel dans cet état le faisait souffrir .Leurs énergies étant proches , il se sentait responsable de l'état du Normand

-Si je pouvait je sauverait mon âme soeur! rétorqua Elvar.

Heift ferma ses paupières .Et voilà! La bataille entre les deux guerriers pour l'attention d'Axel recommençait

-Si l'un de vous deux tentait quoi que ce soit sur lui, jeme chargerais personnellement de son cas.Vous avez failli détruire le village la dernière fois!Je me suis fait tuer par ma femme par votre faute , sombre crétins!

-Ce n'est pas notre faute , si le chef de meute d'Akranes est capable d'affronter toutes les armées, et le plus redoutables des berserkers , mais tremble de peur devant sa femme!

-Qu'est-ce que tu dis?

Voyant qu'Oskar allait entrer dans une discussion houleuse et interminable avec leur chef ,Elvar tenta sa chance .Avec discrétion , il se recula pour ensuite marcher à pas de loup vers sa jolie proie.

-Salut, beauté,dit-il dans un français approximatif .Je sais qu'on ne se connaît pas beaucoup , mais je peux te faire visiter les environs sur ma moto et te faire découvrir des trucs dont tu n'as pas idée...

-Comme le machin rikiki qui te sert de bite? hurla Oskar, furieux

Un petit attroupement se forma dans l'impasse ou se trouvait la hutte de sudation, et par extension ,la cabane d'hôte ou vivait Axel

-Ta gueule , Elvar!T'es jaloux parce que t'as jamais pu la fourrer à qui que ce soit , mis a part à des rennes!

-Qu'est-ce que tu dis,espèce d'hybride troll-humain?T'es si difforme que même ta mère a pas voulu t'reconnaître

-T'es toujours en train de te vanter! Mais on a jamais vu le moindre de t'es soupirants,Elvar! Même les femelles t'évitent...

-Ne prend pas ton cas pour une généralité , Oskar! La taille n'a rien a voir avec...

Pour humilier son adversaire , Elvar sortit sa verge de son pantalon et la montra à la vue de tous . Et c'était vrai, songèrent quelques témoins, qu'il en avait une belle, bien épaisse et grande qui fit quelque envieux dans la foule.

Enfin un bref instant!

Une hache plus rapide que l'éclaire passa devant le profil d'Elvar q cessa de respirer , comme l'ensemble des spectateur . Tous les hommes fermèrent les yeux de douleur et portèrent leurs mains devant leur slip.

-Bordel de merde!Vous ne savez pas voue tenir devant les invités! Qu-est-ce qu'il va penser de nous? Et bordel, elvar , range moi ta queue ! Elle a rien a foutre dehors , sauf , si t'as besoin d'uriner ...Ah!Désoler ...fit Heift en voyant qu'Elvar se pissait dessus.

Heift se pencha légèrement en avant pour observer le profil du jeune homme qui devenait bleu.

-Elvar! Respire!

-Elle est encore là? demanda le malheureux berserker qui n'osait pas se tater pour verifier .Elle est encore là?

-Elle est en train de rétrécir parce qu'elle attrape un coup de froid ! se moqua Oskar. Ou elle a eu un coup de chaud? Va savoir...

Au même moment, Axel passa devant eux et jeta un oeil sur la verge toujours sortie du pantalon. Il marmonna un "Bel engin" avant de continuer son chemin vers la côte.

Ce passage dure 3 pages ( de la 236 a 238) j'ai sauter quelque paragraphe qui n'ajouter rien a la scène mais voila en gros la scène que j'ai trouver what the fuck dans ce roman et il y en a d'autres mais je ne vais pas toutes les retranscrires x)

De prime abord, le bouquin paraissait chouette.

Dans la première partie, les événements et la construction de l'histoire sont prenants. Les personnages encore imparfaits étaient plutôt attachants, et promettaient d'évoluer en mieux. J'ai avalé les 150 premières pages d'un coup.

Et puis l'intrigue a commencé lentement, mais sûrement, à ralentir. L'autrice prenait le temps de développer, ce qui en soi est bienvenu, mais j'ai eu du mal à m'acclimater à ce changement de rythme. Les 200 dernières pages ont été très difficiles à terminer. La romance, bien que réaliste et finement abordée, est tombée dans le travers niaiseux que je ne supporte pas. Tout est là, des problèmes que peuvent rencontrer deux hommes qui s'aiment à des thématiques plus difficiles comme l'homophobie ou le handicap… Mais ces thématiques (surtout les 2 dernières) ne sont jamais vraiment discutés ou approfondies, quand bien même elles seraient l'un des éléments clés de l'histoire.

Donc je ne sais pas. J'ai le sentiment que l'autrice ne sait pas trop ce qu'elle veut défendre, et à la fin, j'en avait marre, je me détachait de plus en plus des personnages.

En rajoutant les innombrables fautes de syntaxe, de ponctuation, de conjugaison, d'orthographe même pure et simple, je ressors de cette lecture avec des sentiments de dépit et d'indifférence.

Joël est caractériel, on voudrait de frapper, l'engueuler, le secouer, mais aussi le prendre dans nos bras pour l'apaiser. On découvre ce personnage du début à la fin du livre. L'histoire est très intéressante et l'auteur nous emmène en France pour découvrir cette histoire magnifique et réaliste. Les conflits, les cris, mais aussi les moments de bonheur et d'amour sont au rendez-vous.

Lecture assez agréable

L'artiste arrogant, le gentil infirmier, les méchants homophobes, les supers domestiques, la tata gâteau... J'ai trouvé les personnages caricaturaux et aucune surprise dans ce livre. Laborieux. Même pas envie de continuer ce livre .... déjà c'est bourré de fautes et la ponctuation est inadaptée. Pourtant l'histoire était prometteuse! Mais ajoutez un style pré ado.... bref.... direction poubelle. Vraiment déçu . Tout est bien qui finit bien sans la moindre surprise.

Une histoire très mignonne et toute en simplicité autour d'un concours de confiture fait maison. Il y a beaucoup d'humour, c'est un petit roman léger qui fait du bien.