Robert Desnos
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Note moyenne : 6.8/10Nombre d'évaluations : 45
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Les derniers commentaires sur ses livres

Robert Desnos est l'un des mes poètes préféré, il est géniale et transpire la vie, le courage, l'espoir et l'amour ce recueil ne fait que refléter cela.
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Je voulais lire du Robert Desnos, et, je suis tombée par hasard sur cet ouvrage et je ne suis pas déçue !
J'ai d'abord été très surprise de tomber sur un livre traitant de la drogue. J'ai lu la préface qui me l'a indiqué, mais je ne m'attendais pas à ce type d'ouvrage. En effet, on suit un groupe "d'amis" intoxiqués dans leur "vie" parisienne. Oui, les guillemets sont importants car dans ce milieu, ces mots prennent un tout autre sens...
J'ai vraiment été happée par l'ouvrage, j'ai eu l'impression de faire un trip, moi aussi, car on avance vraiment dans le même brouillard que les protagonistes même si nous, nous avons le recul nécessaire pour voir combien leurs réactions sont de plus en plus extrêmes.
Au fur et à mesure que l'on avance, Spoiler(cliquez pour révéler)le nombre de morts dans le groupe s'intensifie mais sans aucun sentiment de la part des "amis" du groupe, voilà pourquoi le mot ami prend un sens si particulier dans ce livre, il désigne au fond, qu'une compagnie non indésirable lors des soirées où l'opium coule à flot.
Car, au final, tout le monde reste enfermé dans sa solitude, elle n'est que masquée par des rêves agréables ou qui le semblent. Et c'est pour cela que ce livre est très intéressant: il nous raconte une autre histoire avec des drogués mais en apportant une sorte de diagnostic et des réflexions sur le pourquoi.
En bref, cet ouvrage m'a beaucoup plu dans son écriture et la façon de traiter ce sujet. J'ai été surprise en voyant qu'il n'avait pas été noté plus que cela car il le mérite, comparé à certaines œuvres qui elles, sont vides de sens.
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Il y a des poèmes que j'ai aimé, mais dans l'ensemble, mon avis n'est pas très positif.
Tout d'abord, je n'aime pas lire des receuils de poésies. Surtout durant une courte période. Chaque poème est une unité et les lire à la suite n'est pas leur donné l'attention qu'ils méritent.
Ensuite, il y a beaucoup de poème que je ne considère pas comme tel. Plus comme des jeux avec des mots et c'est tout. (Mais c'est du surréalisme me dirait-on.)
Il y a aussi des poèmes que je n'ai pas compris et pour lesquels je n'ai donc pas vraiment d'avis.
Enfin, les allusions au corps me mettent assez mal à l'aise. C'est dû à moi, mais quand même. Parler d'amour ne veut pas forcément dire ça. Bien qu'avec le corps, il faut passer par là.
Après, il y a tout de même certains jeux que j'ai apprécié. Beaucoup même.
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Un classique qu'il faut avoir lu au moins une fois dans sa vie.
La lecture n'est par contre pas aisée. Une explication est souvent nécessaire.
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Je suis ouvert sur tous les genres d'œuvre dont la poésie mais alors là, je n'ai pas trouvé ces poèmes "poétiques". Je me doute bien que c'est aussi l'effet recherché mais tout le côté "langage cru" ne ma probablement pas touché comme prévu.
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Un très beau recueil de poèmes pour enfants originale et drôle un classique à ne pas rater
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A lire au moins une fois mais sans plus d'envie.
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Nom de dieu, mais qu'est-ce que c'est que ces élucubrations ? Elles ne sont même pas dignes de celle d'Antoine !
On pourra plaider le fait que ces lignes ont été écrites en 1928, pour le journal Paris Matinalet donc, fallait sans doute en rajouter pour les lecteurs.
Si vous voulez en savoir plus sur les meurtres de Whitechapel qui eurent lieu en 1888, ne lisez pas ce petit livre qui ne vaut absolument pas le prix demandé car 8,50€ pour 44 pages de porte nawak, ça fait mal.
Déjà, l'auteur assimile les crimes de Jack à ceux du Tueur au Torse (The Torso Killer) qui eurent lieu plus ou moins au même moment, mais le Tueur au Torse, lui, il démembrait ses victimes !
Dans ce petit machin, les victimes ne sont même pas nommées, l'endroit où eurent lieu les crimes ne sont pas cités, et puisque l'auteur prend toutes les victimes de tout le monde, on se retrouve avec une numérotation loufoque et 11 crimes à son actif, là où, canoniquement parlant, on ne lui en attribue que 5.
Le récit est fort romancé, on donne des pensées aux futures victimes qu'elles n'ont peut-être jamais eu et une allure de gentleman au tueur. le style bien habillé, élégant, ténébreux, beau visage, mains extrêmement fines et des poignets dont la minceur n'excluait pas la robustesse.
D'accord… C'est vachement romancé. On lui attribue une bague en or et un regard avec des lueurs étranges qui inspiraient de la tendresse et du désir. Revenez les gars, j'ai pas fini !!
Mais le pire était à venir avec les approximations et les erreurs !!
— Il nous parle de la nuit du 31 août qui était chaude, alors que j'ai lu qu'elle était froide,
—Il est dit que les Londoniens appelaient déjà l'insaisissable meurtrier "Jack The Ripper" lors du crime du 8 septembre… Impossible, le nom Jack The Ripper apparait pour la 1ère fois dans la lettre "Dear Boss" qui était arrivée le 27 septembre !
—Elizabeth Stride tailladée ?? Heu, les rapports disent tous qu'elle n'avait pas été éventrée ni tailladée et tout le monde a toujours pensé que le tueur avait été dérangé et n'avait pas su lui sortir tripes et boyaux comme aux autre.
— Et je n'ai jamais lu qu'Elizabeth Stride, dite Long Liz, allait s'acheter des cachous la nuit du meurtre…
—Allez hop, on balance à l'actif de Jack un tronc décomposé d'une femme assassinée…
— Jessie ?? C'est qui celle-là ? Un crime sanglant en date du 9 novembre 1888 ? Je n'en vois qu'une seule, c'est Mary Jane Kelly ! L'auteur la nomme Jessie ? Ok, je vois, il nous la rebaptisée alors. Pas de noms pour les précédentes victimes, mais Mary Jane devient Jessie. Si nous n'étions pas en 1928, j'aurais pensé à une influence du King.
Quand aux dernières pages, avec l'auteur qui rencontre une personne qui connait l'identité du tueur et le pourquoi du comment il a fait ça, j'en suis encore baba devant tant de… restons courtoise… d'imagination plus que fertile !
Le grand n'importe quoi là aussi, mais bon ceci est une théorie comme une autre, et elle aurait pu passer si je n'avais pas lu tant de bêtises et d'erreurs avant.
Un roman dont les passionnés de Jack peuvent sans crainte le rayer de leur liste, un roman très fin qui coûte fort cher à la page et au mot (sans doute était-ce Penelope qui a rédigé ce petit machin) et qui n'apporte rien, si ce n'est des notes au crayon dans les marges pour "corriger" les erreurs.
Un roman bourré de fautes, un récit super romancé des crimes de Whtechapel, bref, un roman qui va me servir à caler un meuble pas trop bancal, vu qu'il n'est guère épais…
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Un ou deux très beaux poèmes qui se détachent du lot, mais dans l'ensemble un recueil étrange.
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J'ai aimé certains poèmes mais malheureusement je n'ai pas toutes les clefs pour comprendre. Je sens que j'ai à peine effleuré la surface pour l'instant...
Afficher en entierOn parle de Robert Desnos ici :
2018-01-01T12:42:09+01:00
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Dédicaces de Robert Desnos
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Editeurs
Gallimard : 10 livres
Marie-Claire Dumas : 1 livre
Allia : 1 livre
Gründ : 1 livre
Flammarion : 1 livre
L'Arganier : 1 livre
Les Editions de Minuit : 1 livre
Corti : 1 livre
Biographie
Robert Desnos
Poète français
[Poésie]
Né à Paris le 04 juillet 1900
Décédé à Terezín, Tchécoslovaquie le 08 juin 1945
Après avoir quitté le collège à seize ans, Robert Desnos, qui n'est pas bon élève à l'école, devient commis dans une droguerie. Son engagement politique commence à se dessiner lorsqu'il publie ses écrits dans 'La Tribune des jeunes', une revue de tendance socialiste. En 1919, il dirige la maison d'édition de Jean de Bonnefon et publie quelques poèmes dont 'Le Fard des argonautes'. Dans les milieux littéraires, il rencontre André Breton et intègre le groupe surréaliste dans les années 1920. Il devient un spécialiste de 'l' écriture automatique' et joue avec le langage dans ses poèmes intitulés 'P'Oasis' ou 'L' Asile ami'. Pour gagner sa vie, il est caissier au journal Paris-Soir où il devient ensuite journaliste. Il publie des chroniques cinématographiques, écrit des chansons et des scénarios. Vers 1929, en désaccord avec les surréalistes, il quitte le mouvement. Il travaille alors pour la radio sur l'émission 'La Grande Complainte de Fantomas'. Résistant et membre du réseau Action, il fournit des informations à la presse clandestine et continue d'écrire des poèmes comme 'Maréchal Ducono' où il critique le pétainisme. Le 22 février 1944, il est arrêté à son domicile et est acheminé vers le camp de travail de Flöha en Saxe. Epuisé, Robert Desnos est hospitalisé à Térézin, en Tchécoslovaquie, où il décède le 8 juin 1945.
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