Rumiko Takahashi

Un premier tome un peu brouillon j'ai eu du mal à voir où veux aller l'autrice. Mao le protagoniste principal est un personnage très lisse voir sans personnalité. Nanoka semble entourer d'un grand-père et d'une domestique dévoués, lui cachent-il ses pouvoirs, ses origines ? Je n'ai pas été convaincu par ce premier tome.

Un petit bijou du monde du Manga découvert après avoir visionné l'anime

Premier tome du diptyque Mermaid Saga, on y découvre sous forme de recueil d'histoires le quotidien de Yuta, jeune homme condamné à la vie éternelle après avoir consommé de la viande de sirène. Ce qui semble être de prime abord une bénédiction se révèle être une malédiction condamnant notre héros à traverser les âges en voyant ses proches mourir, tout en étant la cible de convoitise. Un jour il rencontre Mana, une jeune femme qui deviendra elle aussi immortelle par la suite, et on suivra leurs aventures pour trouver un remède à leur condition divine.

C'est un plaisir de retrouver cette grande mangaka qu'est Rumiko Takahashi, qui ici nous livre un récit plus sombre que ces autres titres où les drames côtoient jalousie, envie et regret... Une petite lecture très agréable à suivre.

Dans ce deuxième tome, l'histoire n'avance pas vraiment, pourtant elle a bien commencé par une invitation à diner de Godaï. Mais elle a vite tourné court par une incompréhension.

L'humour et les quiproquos sont bien présents.

L'auteure a en revanche mis en avant l'entraineur de tennis créant ainsi un triangle amoureux. Elle a également donne des informations sur les familles de Kyoko, quelque peu loufoque, et de Godaï, qui parait être une famille acharnée dans le travail.

Il ne reste plus qu'à lire la suite.

Dans ce troisième opus, quiproquos et situations embarrassantes s'enchainent jusqu'à provoquer le départ de Godaï!

L'ambiance n'est plus la même à la pension Ikkoku, et certains restent campés sur leur position. Heureusement les évènements et les sentiments de chacun font que tout évolue.

Encore un excellent tome.

Dans ce quatrième tome, la grand-mère de Godaï fait son apparition apportant une fraicheur à l'histoire. Cette dernière s'est mis en tête de jouer les entremetteuses pour son petit fils. Mais entre la maladresse de Yusaku et le caractère souvent entêtée de Kyoko rien est gagné. Et lorsque les autres locataires s'en mêlent, cela devient ubuesque.

La suite au prochain volume.

Recueil sympathique d'histoires courtes, un brin loufoques. Bizarrement je visualise mieux le format pour une série animée. C'est peut-être dû au fait que les personnages n'ont aucun lien entre eux d'un chapitre à l'autre qui casse la lecture...

J’étais très curieuse avec cette lecture car il s’agit de la même mangaka que Inu-Yasha.

C’était une lecture bien glauque avec son lot de décapitage, enfant psychopathe et cannibalisme (parce qu’en soit une sirène c’est un être à moitié humain donc pour moi c’est un peu du cannibalisme !) La couverture peut être trompeuse mais il s’agit ici d’histoires horrifiques.

Les histoires ne se suivent pas forcément directement, à chaque fois c’est un récit complet qui dure 1/2 chapitres. Le héros fait le lien entre les différents récits car il est immortel. Mana est présente dans un bonne partie des histoires mais elle arrive que tardivement dans sa vie donc elle n’est pas là dans le passé.

La hero a un peu une panoplie de femmes belles et badass mais bon, il a vécu 500 ans donc on l’excuse. 😂

Dans le premier tome il y a un peu trop de femme dénudés mais cela est moins présent dans le tome 2.

Pour conclure cela a était un bonne lecture. Le format est sympa à lire car il est facile de faire des pauses entre les chapitres. J’ai adoré le style de dessins rétro!

Vraiment pas accroché.

Déjà au niveau des dessins qui, je trouve, ont assez mal vieilli, mais surtout l'histoire et les personnages.

Les personnages sont caricaturaux et sans la moindre nuance. La jeune fille affiche un peu trop sa misandrie et est tout bonnement insupportable. Mais les autres personnages ne sont pas forcément mieux non plus.

Mais même l'histoire qui ne mène nulle part, puisqu'il est surtout question de disputes entre les deux personnages principaux, avec toute une succession d'éléments narratifs inintéressants, je me suis vraiment ennuyée lors de ma lecture. En plus, le pilier narratif est trop perché pour moi, entre Ranma qui peut se transformer en femme à volonté, et son père qui est un panda...heu ouais, d'accord.

Après une énième dispute avec Kyoko, Yusaku se retrouve à l'hopital en voulant lui venir en aide. Avec une jambe cassé, il reste hospitalisé. Kyoko nourrit des sentiments assez ambivalents : la culpabilité mais en même temps une certaine fermeté dans la rancoeur. Lorsque la situation commence à dégénérer à l'hôpital avec les visites des colocataires, la jalousie de Shun le prof de tennis, ou les interventions de la pseudo petite amie, Yusaku ne sait plus comment faire pour attirer l'attention de Kyoko.

Comme pour chaque tome, quiproquos et malentendus sont toujours de mises pour le grand plaisir des lecteurs.