Guy Delisle
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Note moyenne : 7.61/10Nombre d'évaluations : 297
0 Citations 118 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un récit intéressant et très poignant, les moments de détresse de l'otage sont vraiment touchants et tristes. J'ai trouvé cette œuvre très intéressante, pouvoir avoir un aperçu de cette vie qu'on ne peut qu'imaginer. J'aime beaucoup l'idée de raconter cette histoire vraie.
Afficher en entierUne BD qui se lit très bien. J'adore le dessin, les personnages et l'histoire. Une bouffée de fraîcheur.
Afficher en entierS'enfuir est à la fois un roman graphique poignant et un témoignage très fort sur la captivité en tant qu'otage.
Le sujet est difficile et Guy Delisle transmets avec justesse le quotidien et les états par lesquels passent Christophe André.
Afficher en entierUne bande dessinée agréable, sans prétention, qui se lit facilement et nous apprend pas mal de choses sur le fonctionnement d'une usine à papier. Et bien au-delà de ce qu'est le travail dans cette usine, on y découvre ce jeune qui évolue au milieu des anciens ouvriers, perdu dans ses pensées à la poursuite de son avenir.
Ce n'est, à mon sens, pas une BD immanquable mais c'est tout de même une bonne lecture, je conseille.
Afficher en entierj'ai aimé ; des dessins minimalistes, une histoire simple du quotidien mais le tout fonctionne à merveille
Afficher en entierUn témoignage fort et important. Même si la structure du livre peut paraître redondante, les jours ayant tendance à se ressembler, il n'en est rien : au contraire, c'est une bonne manière de rendre compte de l'attente et des questions qui ne cessent d'agiter Christophe André - l'espoir qu'on cherche à le sauver et l'incompréhension liée au fait que ça prenne autant de temps, par exemple.
Afficher en entierUne BD très intelligemment faite : tout est en dégradé gris bleu, on perçoit bien l'état d'esprit de Christophe André. Certes, il ne se passe pas grand chose dans la majeure partie du livre, à l'image de ce qu'il a vécu mais on ne s'ennuie jamais, pris avec lui entre espoir et désespoir
Afficher en entierUne si belle BD, où le thème va parfaitement à l'esthétique choisie. Il ne s'y passe rien page après page, expliquant profondément la malheureusement expérience de Christophe André, engagé auprès de MSF.
Afficher en entierLecture très amusante, et l'on peut facilement se reconnaitre dans plusieurs des cas
Afficher en entierChronique d'un père et de ses relations avec ses enfants. C'est amusant.
Afficher en entierOn parle de Guy Delisle ici :
2016-06-17T17:31:20+02:00
2012-01-30T19:41:17+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Guy Delisle
et autres évènements
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Editeurs
Delcourt : 8 livres
L'Association : 6 livres
Dargaud : 4 livres
Éditions Esperluette : 1 livre
Biographie
Né en 1966 à Québec (Canada), Guy Delisle se passionne enfant pour les classiques de la bande dessinée franco-belge (Astérix, Tintin, Blake et Mortimer, etc.) avec une prédilection particulière pour Lucky Luke de Morris et Goscinny qu’il conservera à l’âge adulte. C’est décidé, il sera donc auteur de bande dessinée ! Mais ce n’est pas chose facile : le marché de la bande dessinée est quasi-inexistant au Québec et aucune école ne forme les dessinateurs en herbe aux subtilités de l’art séquentiel... Qu’à cela ne tienne : Guy Delisle effectue donc un détour par le cinéma d’animation, dont il apprend les bases au Sheridan Collège de Toronto, avant de s’embarquer pour l’Europe en 1988, en quête de débouchés professionnels. C’est le début d’une carrière d’animateur d’une dizaine d’année au cours de laquelle il va travailler avec les plus grands noms de l’animation européenne : après une année passée dans un studio allemand, il rejoint en 1990 la jeune équipe de Folimage à Valence, participant à de nombreuses productions du studio. Déjà friand de voyages, il enseigne l’animation pendant un an à la Réunion avant de réaliser son propre court-métrage, Trois petits chats, en 1994. Ce film lui vaut d’être remarqué par le grand réalisateur Michaël Dudok De Wit, avec lequel il collabore sur Le Moine et le poisson, primé au festival d’Annecy en 1995. Par la suite, Guy Delisle participe à la production de nombreuses séries TV : Papyrus, Les Contes du chat perché et même... La Mouche d’après Lewis Trondheim. C’est son expérience de superviseur de l’animation en Chine sur la série tirée de la BD Papyrus qui lui fournit la matière de Shenzhen, à la fois carnet de voyage et chronique drôlatique d’un animateur confronté au système de production chinois et, plus largement, à une culture impénétrable. Le virus de la bande dessinée s’est en effet à nouveau emparé de Guy, qui publie la plupart de ses travaux à l’Association: outre Shenzhen, citons Aline et les autres, remarquable exercice de style proche de son travail en animation, cité par le Comics Journal parmi les 5 meilleurs albums européens parus en 1999, et suivi en 2001 par Albert et les autres. Dessinant parallèlement la série humoristique Inspecteur Moroni chez Dargaud, l’auteur publie en 2002 Pyongyang, un nouveau récit de voyage lié à son métier d’animateur, cette fois en Corée du nord. Entre le labeur ubuesque de l’animateur dans un studio frisant l’amateurisme et les visites obligatoires dans les monuments à la gloire des tyrans nord-coréens, ce nouveau volume est un témoignage aussi précieux qu’hilarant sur l’un des pays les plus fermés de la planète. Par son regard à la fois acéré et bienveillant sur une culture étrangère, Chroniques birmanes constitue le prolongement de la démarche initiée avec Shenzhen et se présente comme le troisième volet de la série d’ouvrages que Guy Delisle a consacré à ses voyages en Asie.
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