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Manuel Vázquez Montalbán

Auteur

Espagne Né(e) le 1939-06-14
Thaïlande 2003-10-18 ( 64 ans )
90 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par SkeletonGirl 2019-06-01T20:09:55+02:00

Biographie

Manuel Vázquez Montalbán est né 1939 à Barcelone. Essayiste, poète et romancier, il a écrit sur les thèmes les plus divers avec une vision toujours critique de la réalité et un grand sens de l'humour. Projet sur la scène internationale grâce aux aventures du privé Pepe Carvalho, il a obtenu en France le grand prix de Littérature policière en 1981. Son dernier ouvrage, Et Dieu est entré dans La Havane, à été publié au Seuil en 2001.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.34/10
Nombre d'évaluations : 29

0 Citations 19 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Manuel Vázquez Montalbán

Sortie Poche France/Français : 2014-09-11

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Mislecture 2015-03-16T19:37:40+01:00
Les Mers du Sud

J'ai du lire ce livre pour le lycée et je dois avoué que je n'ai pas du tout aimé ! C'est le premier livre de Montalban que je lis et j'en suis pas satisfaite. Pour moi c'est une perte de temps d'avoir lus ce livre.

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Commentaire ajouté par celia_cat 2015-08-24T14:38:32+02:00
Les Mers du Sud

J'ai lu les premiers chapitres de ce thriller et j'ai vite mis fin à ma lecture tellement l'écriture était déroutante, l'histoire à mourir d'ennui et le protagonsite tellement détestable. Je m'explique.

Pepe Carvalho est amené à enquêter sur un assasinat d'un des membres de la famille Pedrell. Avide de sexe et d'alcool, il scrute les environs pour mieux connaitre la victime. Le but ici n'est pas de savoir qui est le meurtrier mais de connaitre la vie passé du mourant qui aurait une double vie.

Les principes de notre protagoniste: sexe, alcool le rendent antipathique et tellement repoussants qu'il est impossible de s'attacher à lui.

L'écriture vulgaire et malsaine de l'auteur rend la lecture lourde, ennuyeuse et si déroutante. Je ne supportais pas de voir des gros mots et des propos pevers à chaque phrase sans que les phrases soient joliment bien écrites. En effet, l'auteur ne va pas par quatre chemins. Il écrit de manière brutal, choquante qui m'a énormément déstabilisée.

De plus, l'histoire est à mourir d'ennui. Il n'y a aucune action à proprement parlé. Le suspence ne se fait pas ressentir et en plus, c'est mou, beaucoup trop mou pour capter mon attention.

En bref! Ce livre est à jeter par terre si vous voulez mon avis.

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J'ai tué Kennedy ou les Mémoires d'un garde du corps

Ce roman ne m'a pas plu le moins du monde. C'est avec soulagement que je l'ai vu s'achever. Je n'ai absolument RIEN compris à cette histoire, tout se mélange, pour moi cela n'avait aucun sens. Il m'a été impossible de comprendre les personnages, leurs motivations et à peu près tout ce qui les concernait.

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J'ai tué Kennedy ou les Mémoires d'un garde du corps

Roman limite absurde. Drôle de "première enquête" pour Pepe Carvalho...

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Le Maître des bonsaïs

Un petit livre très sympathique qui fait voyager d'une certaine manière. L'auteur est espagnol et pourtant il nous décrit avec perfection les bonsaïs japonais. Ce livre ne parle pas seulement que de nature au sens propre mais aussi de celle des hommes et des secrets qu'ils cachent.

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La Rose d'Alexandrie

La Rose d’Alexandrie est le nom d’un bateau mais surtout c'est une histoire de meurtre. La famille de Carlo demande à Carvalho d'enquêter sur le meurtre d'une parente dont le corps a été découvert coupé en morceaux.

L'auteur nous plonge dans un milieu plus ou moins mafieux : flics pourris, prostitution, capitaine travesti, voyeurisme.

Au bout du compte, c'est l'histoire d’un amour sordide, qui est palliatif à un mariage sans espoir. L'amoureux transi, marin, se retrouve un jour confronté à la vérité et tue.

C'est un bon roman policier qui décrit la crise identitaire d'une société.

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Commentaire ajouté par Tanya12 2020-02-24T17:06:06+01:00
Le Labyrinthe grec

Livre décevant, je n'ai pas aimé du début à la fin. Trop fouillis, trop "d'aubergines", cela part vite en cacahuète.

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Meurtre au comité central

Pepe Carvalho a un appétit féroce. Presque une obstination. Une obstination à la limite de la contradiction. Détective, ancien membre du Parti communiste, il se retrouve, si l'on peut dire, replongé dans son passé militant en enquêtant au sein du Parti Communiste Espagnol. En le tenant à distance, comme un éclat dont on s'abrite les yeux.

Peut-être que l'obstination et la contradiction font mauvais ménage avec la dialectique du Parti ? Peut-être que Pepe Carvalho était destiné à ne plus militer ? Est-il resté un sympathisant ? Lui assure qu'il est devenu apolitique. Laissons-le à cette forme de certitude.

Un ancien communiste qui se trouve, à un moment de sa vie, à travailler au sein de la CIA, c'est assez savoureux. Qu'est qui a poussé Pepe Carvahlo dans le militantisme ? L'idéologie ou l'action ? Les deux à la fois ?

N'étant pas familière du personnage, je ne m'aventurerai pas dans un examen fouillé de son caractère . Pepe a de l'humour, même un peu acide, un désenchantement accroché en bandoulière, un courage physique indéniable, une manie tout à fait « scandaleuse » : il brûle les livres de sa bibliothèque de façon méthodique et régulière ; un amour gourmand et gourmet pour les vins, la nourriture et s'en trop m'avancer pour les femmes.

L'intrigue se passe au début des années 80, cela fait donc 5 ans que Franco est mort et lentement sur la dépouille zombiesque du vieux Caudillo se construit l'Espagne d'aujourd'hui. Ce pays est donc un jeune enfant qui essaie de grandir. le PCE sortit de l'ombre est lui aussi peu accoutumé à cette liberté virginale. Tous ces hommes habitués à la clandestinité, la lutte souterraine,l'âpreté du combat armé et du sacrifice sont un peu bousculés dans leur tête et leur coeur. Ils se comportent entre eux comme des amants qui se jalousent, amoureux sans condition d'une même cause, belle et immaculée qui s'appelle le Communisme. Certains plus fatigués, certains plus agressifs, certains plus lucides, mais tous d'un seul bloc pour un idéal qui a nourri, géré, guidé leur vie. Que se passe-t-il quand le bloc se fissure ? Un crime. Qui appelle-t-on ? Pepe Carvalho. Ancien camarade de lutte, passé par la case prison sous Franco - qui semble une sorte d'adoubement inconscient pour cette génération de militants – Pepe est sans doute le plus indiqué pour ce travail. Lui en doute un peu. D'autant plus que l'affaire est confiée par le Gouvernement à un certain Fonseca, ancien tortionnaire du régime franquiste qui maintenant oeuvre pour le Ministère de la Justice. Ah ! le recyclage des « affreux » dans beaucoup de pays ! Tellement efficace, tellement bien huilé ! Pepe Carvalho accueille la nouvelle de la nomination de Fonseca à la tête de l'enquête avec une forme d'indifférence distante. Ces deux là ont un passé commun et l'attitude presque détachée que Pepe Carvalho adopte devant Fonseca relève d'une forme de mépris.

Carvalho va se confronter à des ennemis visibles et invisibles, venant de toutes parts, donnant l'impression que toutes les officines légales et illégales d'espionnage des puissances du monde se sont réveillées et convergent sur Madrid.

Pepe Carvalho, lui se sent fatigué de tout ce chambardement, entre tueurs à gages, manipulateurs politiques, agitateurs patentés, militants de tous poils près à en découdre avec tout le monde et par-dessus tout cela, la ligne du Parti. Peut-être aussi fatigué de se remémorer, par instant, son passage en prison, comme si, contre son gré, l'Histoire le rattrapait. Car Montalbán parle sous le couvert d'une enquête rondement menée, d'histoire politique d'un pays et d'histoire tout court.

Les anciens du PCE ne veulent pas « rendre les armes », renâclent à entrer « dans la modernité » ; La jeune génération des futurs dirigeants du Parti les pousse de côté, entre vénération et agacement. Ces jeunes militants sont présentés emprunts de futur mais aussi confits dans des formes de « tics » rhétoriques de la pensée communiste et un « syndrome » du culte de la personnalité assez prononcé.

Montalbán parsème le récit des envies culinaires de Pepe Carvalho ; elles sont récurrentes et importantes. Pepe Carvalho est très attentif à ce qu'il mange et où il mange. C'est son sas d'oxygène. Visiblement très bon cuisinier, il élabore en un tour de main des recettes principalement catalanes, avec une profusion d'ingrédients – végétariens s'abstenir – qui confère au rite.

Pepe Carvalho a un humour impertinent, un peu sarcastique, comme Montalbán ; Il peut aussi faire preuve d'un grand détachement comme si le monde autour de lui ne le concernait plus. Lui qui a tant vécu, éreinté par cette vie en perpétuel mouvement. Mais ce n'est pas une fatigue pessimiste comme peut l'être celle de Wallander, ni une fatigue atone comme parfois chez Dortmunder ; c'est une fatigue agile ; Elle se fond dans le décor, dans l'action, dans le mental de Pepe Carvalho ; un mental aiguisé, aigu, critique, libre.

Première incursion dans le monde de Manuel Vásquez Montalbán ; Une lecture plaisante, facile avec un personnage qui me donne envie d'aller chercher un peu plus dans d'autres enquêtes, le sel de l'âme de Pepe Carvalho.

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Les Mers du Sud

Je préviens que je risque de paraître un peu virulente avec cette critique, parce que ce roman collectionne tout ce qui fait d’un livre, un livre pas regardable d’après moi. Pas dans la forme, que j’ai trouvé très accessible malgré quelques erreurs de traduction et une ponctuation aléatoire, mais dans les thématiques : adultère, détournement de mineure, homophobie déguisée, paluchage et allusions sexuelles éperdument répétées… Bref.

Un détective quadragénaire, alcoolique et à moitié dépressif est chargé d’enquêter sur la vie passée d’un richissime homme d’affaire retrouvé mort. Le but n’est pas de savoir qui l’a tué ni pourquoi, juste ce qui l’a poussé à s’éloigner de sa famille et de sa vie.

Je vais être honnête, il y a beaucoup de passages que j’ai lu en diagonale. On vante au livre et à son auteur de paraître très cultivés. Références musicales, littéraires et même culinaires, on a des tartines. Mais par contre, je ne sais toujours pas à quoi elles servent. Des débats creux sur la littérature, des répliques d’auteurs étudiés en large et en travers, des discussions sur « regarde combien j’en sais mieux que toi », et… et c’est tout ? J’ai plus eu le sentiment que l’auteur voulait étaler sa science à travers son personnage, plutôt que placer des références intelligentes qui serviraient à l’intrigue.

Une intrigue à laquelle je n’ai pas adhéré du tout. Il n’y a pas de rebondissements, pas de point pivots, de climax et ce n’est grave en soi si les personnages avaient un tantinet d’évolution ou qu’une petite révélation se serait immiscée ici ou là. Eh bien non. Le résumé dit l’histoire. Un mec est mort, il avait une double vie, il était riche et il avait des maîtresses, voilà. Le protagoniste enquête, mais les chapitres sont un enchaînement d’interrogatoires. Il papillonne d’un personnage à l’autre pour poser les mêmes questions et obtenir des réponses quasiment similaires qui viennent toujours à la même conclusion.

Je veux bien replacer le roman dans son contexte historique, il a 50 ans. Je veux donner leur chance à ces livres, mais je me demande encore pourquoi, en fait. La femme a des hanches, des seins ronds, des cuisses galbées faites pour être écartées… des allusions sexuelles à ne plus savoir quoi en faire, sexistes sinon pour les remplacer. Je pensais que le protagoniste avait une certaine ouverture d’esprit, mais en fait d’après lui l’homme sera supérieur à la femme dans le futur. Quelqu’un lui dit ?

Sans parler de l’adultère qui voltige de partout. Ok ça fait partie des personnages, mais combiné à la passion étrange qu’éprouve notre cher protagoniste (de plus de 40 ans je le rappelle) pour une mineure avec laquelle il couche, le roman cumule un mélange de malsanité couplé de critiques politiques assez superflues d’après moi.

Honnêtement, il y a des choses bien dans ce livre : des répliques cinglantes, une répartie prenante et des dialogues vraiment bien tournés. Le protagoniste est charismatique, on peut pas lui enlever son incroyable sens de la déduction (qu’il sort d’on ne sait où au passage), mais comme je l’ai dit, beaucoup de sexe, beaucoup de blabla, très peu d’enquête et le roman ne creuse pas profond du tout. Oh bah c’est lui qui l’a tué et oh bah c’était un sale type. Brave, mais sale.

En bref, je n’ai compris ni les messages, ni l’intrigue ni les personnages. Ce roman n’a aucune morale et c’est le but, mais bon. Les pédés, les travelos, les femmes qui baissent l’échine, les vieux qui couchent avec des mineur(e)s… On a vite fait le tour de la question.

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Les Thermes

un livre politique sur l'espagne, mais on passe un peu à côté; parce que l'intrigue du roman est trop longue, trop lente et finalement on s'ennuie beaucoup.

Peut-être un Essai aurait-il été plus judicieux?

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Dédicaces de Manuel Vázquez Montalbán
et autres évènements

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Editeurs

Points : 21 livres

Seuil : 19 livres

Christian Bourgois : 12 livres

10/18 : 10 livres

Frassinelli : 1 livre

Nuevas Ediciones de Bolsillo : 1 livre

Diario Publico : 1 livre

Pocket : 1 livre

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