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Donald E. Westlake

Auteur

278 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par lelette1610 2016-11-14T20:24:39+01:00

Biographie

Donald Westlake (1933-2008) est né à Brooklyn.Écrivain prolifique et éclectique, il a écrit plus d'une centaine de livres, approchant bon nombre des genres de la littérature policière que ce soit le polar humoristique (son genre de prédilection), le roman policier, le roman noir, le thriller, le fantastique ou même la science-fiction.

Il a écrit sous divers pseudonymes, en particulier ceux de Richard Stark et Tucker Coe.

Spécialiste du roman de « casse », ses deux personnages préférés et récurrents sont John Dortmunder, cambrioleur professionnel aux aventures rocambolesques poursuivi par la poisse et Parker (sous le pseudonyme de Stark), jumeau sérieux de Dortmunder, un cambrioleur froid, cynique et efficace.

Il a remporté par trois fois le Edgar award, et a été désigné en 1993 Grand Master de l'association Mystery Writers of America.

source : éditions Rivages

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.44/10
Nombre d'évaluations : 165

2 Citations 74 Commentaires sur ses livres

Alias et noms de plume

  • Donald Westlake

Dernier livre
de Donald E. Westlake

Sortie France/Français : 2021-06-02

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par PaperStreetSoapCo 2021-03-25T14:52:46+01:00
Levine

Avant de devenir le prolifique romancier tragi-comique que tout le monde connaît, Westlake s'est fait les dents via l'écriture de nouvelles. C'est à cette occasion qu'il créa le personnage de l'inspecteur hypocondriaque Abe Levine, un personnage discret qui restera à ses côtés durant de longues années et dont il évoque l'histoire dans l'introduction de ce recueil. L'occasion pour lui de revenir sur le début de sa carrière et de se remémorer quelques souvenirs de jeunesse, ce qui est toujours un plaisir à lire quand on aime ce genre d'histoires et cet auteur en particulier.

S'ensuit les six nouvelles consacrées à ce drôle de personnage. Des nouvelles du style de la procédure policière, qui font penser aux enquêtes du 87e District d'Ed McBain, où l'on s'amuse à suivre au cours de petites enquêtes les réflexions et les avancées de cet inspecteur qui se sait malade, et qui a développé un rapport ambiguë avec la mort. Une curiosité, notamment intéressante pour comprendre comment un écrivain le devient et évolue, grâce à cette introduction de l'auteur qui, mise en calque avec ces courts récits, permet de mesurer le chemin parcouru.

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Et vous trouvez ça drôle ?

John Archibald Dortmunder est un type à qui on donnerait la pièce dans la rue ou à qui on donnerait l’adresse d’une assistante sociale en se disant qu’il en a bien besoin. En fait, c’est un cambrioleur génial, non violent, calme et profondément défaitiste. Son pessimisme, il le porte sur lui comme Héraclès portait la tunique tachée du sang de Nessus. Il aimerait s’en défaire mais il ne peut pas. Ce n’est pas un marrant même s’il finit, de part le déroulement de ses mésaventures, à avoir une attitude burlesque. Personnage inventé par Donald Westlake, Dortmunder a un « gang » travaillant régulièrement avec lui. Tous ont une ou deux spécialités dans le domaine de l’arnaque, du vol (et ils sont très professionnels et inventifs) et tous ont une personnalité décalée pour ne pas dire absurde et dingue. Johnny (il déteste être appelé comme ça) a néanmoins un seul vrai ami parmi tout ce petit monde : Andy Kelp (aucune serrure ne lui résiste). Ils se sont rencontrés en prison. Andrew Octavian (le deuxième prénom uniquement pour les vacances comme il dit) Kelp est l’antithèse de Dortmunder ; d’un optimiste béat et pétillant, frisant parfois l’infantilisme, il est de toutes les combines, de tous les coups improbables qui se soldent souvent par des demi-échecs. Il faut aussi nommer les « rôles » principaux : Il y a Walter « Stan » Murch, le chauffeur rouquin qui passerait un semi-remorque dans le chas d’une aiguille (obsédé par les itinéraires newyorkais), Tchotchkus « Tiny « Bulcher, l’homme « fort », un compromis entre l’Abominable homme des neiges et Frankenstein. Les personnages secondaires savoureux : renforts de l’équipe qui apparaissent ou disparaissent suivant les romans. Et bien sûr May, la femme de Dortmunder , sa bouée de stabilité et qui ne participe pas à leurs larcins.

Il ne faut pas oublier les « victimes » et leur entourage. Westlake les imagine souvent en parfaits produits du capitalisme américain, issus du monde des affaires, de la politique ou des médias. Mais comme Donald Westlake n’est pas manichéen, ces personnages sont complexes, pris eux aussi dans un système qu’ils nourrissent et qui parfois leur joue des tours. Autant dire, la série Dortmunder est drôle, brillante mais ce n’est pas pour autant simpliste.

Dortmunder habite New York, travaille sur place et a horreur de dépasser Manhattan où il vit. Il déteste la modernité. Il se trouve souvent lancé dans des cambriolages impossibles ou la réussite est souvent incertaine quand elle n’est pas nulle. Pourtant dans sa partie, il est un as, d’une imagination et d’un savoir-faire inégalables avec un sens de l’organisation impeccable. Seulement voilà, il est d’avance résigné à ce que tout s’écroule comme un château de cartes par la faute d’une déveine pathologique. Quand je lis une aventure de Dortmunder j’ai l’impression de me retrouver dans un film du style « The big Lebowski » ou « Burn after reading » des frères Coen puissante 10.C’est un feu d’artifice de loufoqueries, de drôleries, de dialogues absurdes, justes, enlevés ; de descriptions délectables. Tout ceci est mené tambour battant avec une verve étincelante et une écriture fine, ironique et élégante. Westlake s’amuse et nous amuse. Moi je n’ai qu’une envie, que ce pauvre John réussisse au moins une fois sa forfanterie pleinement et en même temps, j’attends la fin en me demandant ce qui va faire échouer l’entreprise. Donald Westlake qui écrit avec gravité et avec autant de talent des livres tels que : le Couperet, Mémoire morte, monstre sacré, entre autre, nous offre ici un feu d’artifice de maîtrise du récit, une science des dialogues, des ruptures de ton qui font rebondir l’action et une galerie de portraits impayables. Le tout mâtiné tour à tour d’un humour potache, d’un humour surréaliste, d’un humour absurde, d’un humour raffiné. Juste un petit mot concernant cette aventure, Dortmunder se voit contraint d’accepter un marché sous peine de retourner en prison : subtiliser un jeu d’échec pour le compte d’un vieillard atrabilaire voulant assouvir une vengeance familiale. De quoi donner un grand coup de blues à notre ami newyorkais. Je n’en dirais pas plus. Dialogues décalés, personnages secondaires prenant le pas sur Dormunder et sa bande - ce qui n’est pas pour déplaire – Westlake est capable de créer la vie entière de quelqu’un en peu de paragraphe. Dans cette histoire, arlequinade (il y en a toujours une avec Donald Westlake) est l’idée fugace de voler le dôme doré d’une mosquée en construction. Ce qui donne lieu à quelques lignes absurdes aux dialogues cocasses. La cerise sur le gâteau quoi !

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Commentaire ajouté par corinne18 2021-04-01T20:07:51+02:00
Le Couperet

Burke Devore entre en guérilla. Licencié, pris dans le feu du chômage qui s'éternise, rongeant lentement son statut social, sa vie de famille, son couple, insinuant dans son cerveau le germe du "Tué avant d'être tué". Burke Devore ne veut pas être tué par le système, par le dérèglement financier et industriel, par la déchéance de celles et ceux qui glissent lentement dans les eaux glaciales de la précarité sociale. Devore veut toujours tenir la barre de son destin. Cadre supérieur spécialisé, arc-bouté sur son métier, son savoir, son expérience, ce qui lui tient lieu d'identité, il veut sauver "sa peau". Il prend donc la décision d'éliminer ses concurrents. Comme on rédigerait une procédure technique, il élabore ses meurtres. Organisation, entrainement, repérage, exécution.

Livre caustique, cynique, amoral, sans parti-pris, radiographie d'une époque, d'un cerveau humain. Westlake ne demande pas que l'on s'apitoie sur Burke Devore, ni qu'on le comprenne. Il expose des faits, un état d'esprit, sa belle écriture nous prend par la main et nous entraîne dans le périple "fou" de cet homme qui sonne l'hallali. c'est lui le chasseur, lui qui a été chassé. Ses "ennemis" sont en somme des hommes comme lui. Ses doubles. "Il ne peut y en avoir qu'un" et ce sera lui Burke Devore a ce poste de dirigeant chez Arcadia (cette entreprise qui a un nom de pays imaginaire). Il supprime ses concurrents potentiels et en final l'homme qui est à "son poste". Cet emploi qui lui revient de droit. Car ici, c'est bien de droit qu'il s'agit. le droit de vivre, le droit d'exister, le droit de se défendre, le droit de prendre son dû de quelque façon que ce soit. Devore s'estime dans "son droit". Même si la culpabilité l'effleure, si la difficulté l'épouvante, si les regrets le tenaillent. En bon professionnel qu'il est, il s'est fixé des objectifs et il les tient tous. Tant pis pour les dommages collatéraux. L'humain, cette "variable" sur le baromètre du monde du travail, devient un bras exterminateur dans le livre de Westlake. Cette histoire d'une "réaction extrême" cristallise l'ombre de l'inconscient. Qui est Burke Devore ?

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Commentaire ajouté par laurentequille 2022-03-17T14:43:14+01:00
Adios Scheherezade

une bonne idée ,c'est du westlake parfait

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Commentaire ajouté par laurentequille 2022-05-12T18:55:14+02:00
361

j'avais lu l'assassin de papa d'abord parce que je suis un completiste ,(j'ai pratiquement tout lu de westlake sauf les nouvelles ) et j'ai bien aimé cette version remastérisée manque un peu d'humour ,mais....ça le fait quand meme

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Commentaire ajouté par Blandine1 2022-05-18T22:10:00+02:00
Dégâts des eaux

Dès le début, c'est jubilatoire, avec un style déjanté et des personnages attachants. L'impression d'être encore avec l'autobiographie de Jack Black ‘Personne ne gagne' que j'ai lu dernièrement. de nombreux points communs comme l'argent de vols enterré ça et là au travers des différents états d'Amérique. le plus gros butin se trouve sous 20 mètres d'eau que Tom Jimson veut récupérer à sa sortie de prison et pour ça il compte sur son ancien compagnon de cellule qui ne veut pas qu'il dynamite le barrage qui fera de nombreux morts. Je pense que ce roman aura gagné encore plus de force s'il avait été un peu élagué. Une belle découverte grâce à Pat.

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Commentaire ajouté par LaMirandole 2022-05-28T11:45:54+02:00
Envoyez les couleurs

Westlake est un auteur épatant (oui !) et son humour est toujours fin. La série mettant en scène Dortmunder est géniale -un cambrioleur raté mais persévérant, à qui on souhaite un jour de réussir. Ici, le sujet est plus grave bien sûr, mais traité avec délicatesse. Les termes employés ne sont plus usités, ce qui dérange de mon point de vue la lecture.

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Commentaire ajouté par Henrxy 2023-05-02T17:11:15+02:00
Inscrit dans les astres

Mystère décent, capsule temporelle cool.

Dans ce roman de la série « MitchTobin » (qui en comprends 6) et un des premiers polars post « Stonewall » qui implique la communauté gay pré-sida à New York.

Le très prolifique Donald Westlake (il a écrit plus d’une centaine de romans sous une quinzaine de pseudos) connaissait son métier :Encore une fois il propose une intrique solide, avec ce qu’il faut de rebondissements cohérents et parfaitement rythmés.

Prémisse intéressante également de résoudre un crime par des horoscopes.

En tant que mystère, c'était un assez bon « who-dunnit ». Il y a 6 suspects ; J'ai eu du mal à me rappeler qui était qui, car les noms et les prénoms sont mélangés tout au long du livre. Mais au départ je ne savais pas qu’il s’agissait d’un who-dunnit car dans ces cas je me fais une liste de personnages. Cela étant dit, Tobin est une très bonne caractérisation d'un détective dépassé par un drame ayant eu lieu dans un des romans précédents et sa femme Kate, bien que n'étant pas un personnage principal, semble une femme très sympathique.

Les personnages n'étaient évidemment pas ceux auxquels l'auteur était habitué, mais comme le détective du livre, il apprend à comprendre et à les valoriser. Ils peuvent aux lecteurs d’aujourd’hui paraitre quelque peu stéréotypés. Surtout aux plus jeunes qui n’ont pas connu l’évolution des meurs et de ses représentations. Mais attention le roman date de 70 : Il est facile de regarder en arrière et de trouver à redire aux écrivains gays et hétéros de cette époque, et de penser qu’ils ne sont pas à la hauteur de nos idéaux modernes lorsqu'ils écrivent sur l'expérience gay. Pourtant ce reproche ne tient pas la route pour son époque ce roman est tout à fait en avance sur les discours de l’époque et la représentation gay est assez proche de ce que le monde gay était à l’époque (même reproches et même remarque que je pourrais faire pour le film « les garçons de la bande » par exemple.

Lorsque la muse de Westlake est pleinement efficace, ce qui est le cas ici, ses propres préjugés ont tendance à tomber au bord du chemin. Parce que pour Donald E. Westlake et par extension son héros pensait que le droit le plus sacré de tous est le droit de décider par vous-même qui vous êtes, quels sont vos potentiels. Juger les autres pour des choses qu'ils ne peuvent pas changer, revient à commettre le plus mortel des péchés. De même baser ce que vous faites de votre vie sur ce que la société attend de vous, c'est être un traître à vous-même.

C’est ce qu’il faut voir ici dans cette vision années 70 de l’homosexualité. Et c’était une façon de penser très avancé pour l’époque.

Ceci dit on est content que les choses aient autant évolué depuis même s'il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

J'ai apprécié la lecture comme pour tous les Westlake que j’ai lu avec un peu plus d’intérêt pour sa thématique gay.

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Commentaire ajouté par marykel 2023-05-17T16:30:05+02:00
Tous les Mayas sont Bons

Super découverte, j'ai adoré ce livre. L'auteur est doué pour donner un ton humoristique tout au long du récit.

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Commentaire ajouté par Taipan 2023-09-15T15:31:35+02:00
Le Paquet

Un gang de malfrats sympathiques décident de cambrioler ou plutôt de voler une agence bancaire installée dans un mobil-home. Naturellement tout ne se passe pas comme prévu mais le gang réussit à récupérer un peu du contenu du coffre-fort.

De l'humour et de la légèreté. Se lit très facilement.

Livre sympa.

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Dédicaces de Donald E. Westlake
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Rivages : 69 livres

Gallimard : 38 livres

Payot : 4 livres

Dargaud : 2 livres

Seuil : 2 livres

Presses de la Cité : 2 livres

Minerve : 2 livres

HighBridge : 1 livre

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