Commentaires de livres faits par Christine-265
Extraits de livres par Christine-265
Commentaires de livres appréciés par Christine-265
Extraits de livres appréciés par Christine-265
Bien que le roman ne révolutionne pas le genre, la lecture est agréable et peuplée de bonnes idées au niveau de l’intrigue. Malheureusement, ça sera restée une lecture en demi-teintes pour ma part et le roman saura doute mieux convaincre un public autour de la vingtaine.
Vous le savez peut-être maintenant, ce que j’adore dans une DR, c’est la psychologie des personnages, de voir la romance monter crescendo et qu’il y ait une intrigue en parallèle qui me tienne en haleine. Et malheureusement, je n’ai pas retrouvé ces points dans ce récit. J’ai regretté que l’intrigue principale soit résolue si rapidement malgré un gros potentiel de développement, l’idée étant très intéressante. Quant à la romance, elle démarre de manière précipitée, ne m’ayant pas permis de ressentir l’alchimie et la tension entre les personnages ; et à contrario, il y a beaucoup de chapitres sur le « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Il est bien sûr toujours agréable d’avoir des chapitres bonus car on n’a pas envie de quitter l’univers, mais la balance entre le développement et le après n’était pas suffisamment dosée à mon sens. Cela ne manquera pas de plaire à d’autres, j’en suis persuadée. Certaines incohérences et les fautes dans le texte n’ont pas aidé à me convaincre malheureusement.
Les personnages sont sympathiques. Cassy a son petit caractère, tout en étant pleine d’émotions. Dante est, lui, le petit-ami idéal aux petits soins, n’ayant rien de bien méchant malgré qu’il soit chef de son clan de mafia. Je les ai appréciés, même si j’aurais adoré plus de maturité vis-à-vis de leur âge. J’ai beaucoup aimé Giacomo, le bras droit de Dante.
Pour ceux qui aiment les romances en milieu mafieux où ça reste assez feel good, n’hésitez pas à vous lancer pour vous faire votre propre avis.
Je remercie l'autrice pour l’envoi de son ebook. Service Presse non rémunéré.
J’aimerais qualifier ce récit d’ovni, ayant jamais jusqu’ici lu un récit de ce type, voguant avec facilité entre différents styles littéraires, entre romance, enquête, mystères et aventures. Le narrateur ne manque pas d’interpeller le lecteur, ce qui permet une immersion encore plus intense dans la lecture. Les chapitres sont déroutants, semblent au premier abord ne pas avoir de liens entre eux, jusqu’à ce que tout fasse sens. Le texte est poétique et invite au voyage au travers des rimes et de la musique qui ponctuent le texte, permettant au lecteur de laisser s’envoler son imagination.
Je me suis évadée. J’ai voyagé. J’ai vogué. Une sensation de liberté et d’aventures avec ce R.O.M.A.N (Rapide Objet Manipulable Aimant Naviguer).
Bienvenue dans l’enfer du traf*c d’êtres h*mains ! Un roman que j’ai réellement vécu comme le témoignage d’une victime qui décrirait toutes les horreurs qu’elle a vécu en détails (hormis quelques passages où la romance prend le dessus). Dès le prologue, nous sommes plongés dans une scène très graphique d’un meurtre où hémoglobine et souffrance cohabitent, qui donne le ton de la suite et nous permet de faire la connaissance d’Ulrik, tueur en série, sociopathe sans cœur. Nous rencontrons ensuite Peyton, étudiante en criminologie, qui va se faire enlevée par Ulrik et devenir victime du trafic. Elle cherchera à se sortir de là par tous les moyens, ne perdant pas sa pugnacité, ce qui ne manque pas de nous tenir en haleine tout au long des pages. L’action ne cesse jamais jusqu’à la fin.
Roman classé en thriller/dark romance, deux genres que j’affectionne énormément. Je dois tout de même relever que si les 160 premières pages du roman m’ont passionnée, notamment par la psychologie qui y est poussée, je regrette que la romance ait été si rapide, me laissant le sentiment qu’elle est un peu sortie de nulle part. Peut-on réellement parler de romance en réalité ? C’est un élément que j’ai du mal à identifier car entre manipulation du sociopathe et potentiel syndrome de Stockholm… Je vous laisserais vous faire votre avis ! L’autrice est très forte quand il s’agit de nous faire nous questionner au fil des pages.
Je n’aurais malheureusement pas réussi à m’attacher à Ulrik. En même temps, est-ce réellement étonnant ? J’aurais eu besoin d’un peu plus d’éléments sur son point de vue pour bien comprendre et appréhender son comportement. Peut-être cela est-il fait exprès puisque ce n’est que le tome 1 de la saga ? J’ai également été un peu déçue que les études en criminologie de Peyton soient si peu exploitées en lien avec sa séquestration. Toutefois, ces éléments ne m’ont pas empêchée d’apprécier pleinement Je t’aime à la folie et j’espère pouvoir découvrir le tome 2.
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Au-delà de ce personnage hors du commun, j’ai adoré l’humour de ce roman, assez noir nous en conviendront, tout à fait ma cam. La répartie de Berthe est extraordinaire ! Et il faut bien ça quand on traite de sujets aussi forts que la lutte contre le patriarcat, le racisme, la violence conjugale ou les tentatives de viol en temps de guerre. C’est donc un récit qui nous fait osciller entre rires et pleurs, nous prenant régulièrement aux tripes. Chaque personnage est attachant et voir les émotions que suscitent le récit de Berthe sur l’inspecteur Ventura et les autres policiers apportent un réel plus. On se s’ennuie à aucun moment et lorsqu’on croit en avoir fini, il y a encore de nouvelles découvertes à faire.
Ma passion pour la mythologie grecque m’a fait foncer vers ce roman, le résumé m’ayant immédiatement happée. Si les premiers chapitres sont particulièrement rapides, ce qui a été un peu déstabilisant pour moi, j’ai dévoré la suite en moins de 24 heures. L’intrigue et la romance se mettent en place simultanément, d’une manière très bien dosée. L’univers n’a rien de très nouveau, très proche de la mythologie grecque connue ; mais les Dieux sont présentés d’une manière propre à ce livre. J’ai eu un coup de cœur pour Aphrodite et Hermès, notamment. Il y a de telles références à des mythes ou même au dessin animé, venant attiser notre curiosité, glissées par ci par là, que cela donne une vraie profondeur à l’œuvre.
Hadès et Mégara quant à eux sont deux personnages aux multiples facettes, loin d’être plats. On s’attache facilement aux dieux des enfers comme à la femme forte qu’il aime. J’adore tout particulièrement les causes défendues par Mégara ! Quelques scènes de smut, très brèves viennent apporter un petit plus sympathiques au récit. La plume de l’auteure ne fait que renforcer mon amour pour ce tome, fluide, addictive, simple à appréhender. Je termine ce roman des étoiles plein les yeux, triste de quitter cet univers que j’ai adoré.
Je remercie chaleureusement HLAB pour l’envoi de ce service presse en version ebook via la plateforme NetGalley. Service Presse non rémunéré.
Le gros point fort du roman est sans aucun doute le travail réalisé par l’auteur. Le vocabulaire est recherché, au point que j’ai souvent dû faire appel au dictionnaire de ma liseuse, moi qui suis loin de bien m’y connaitre en langue française. (Rassurez-vous, ça reste totalement accessible pour tous !) Ce sont surtout les termes scientifiques qui apportent de la crédibilité à l’œuvre. Il est aussi nécessaire de noter les aspects liés à la géographie et à l’écologie qui prennent une part importante. Et si je félicite Jean-Louis Roujean pour ces éléments, je dois tout de même avouer qu’ils m’ont parfois décontenancé, rendant à mon sens les dialogues moins naturels et mettant les émotions au second plan.
Si le livre a donc de gros points forts tant au niveau de l’intrigue que de son écriture, il n’aura pas réussi à me conquérir pleinement. Certains passages concernant la vie personnelle de l’enquêteur m’ont semblé superflu (notamment dans la première partie du roman), n’apportant rien à l’intrigue et me faisant me perdre plus qu’autre chose. Ces mêmes passages ont provoqué des lenteurs qui m’ont empêchée d’apprécier pleinement ma lecture et de rester plonger dedans. C’est donc une lecture en demi-teinte pour moi, ce qui ne m’empêche pas de recommander chaudement ce thriller aux amateurs du genre, les points « négatifs » que j’ai soulevé relevant seulement de mes gouts personnels.
Un énorme merci à Cyrille Audebert de m’avoir contactée via Simplement Pro et de m’avoir envoyée son ebook. SP non rémunéré.
Il vous est déjà arrivé de lire un résumé et qu’il vous reste en tête pendant quelques jours ? C’est ce qui m’est arrivée avec Les Filles d’AZ. Et ce besoin de savoir ce qui allait arriver à Emy, ce qu’on pouvait attendre de ces quelques questions qui laissaient présager une descente en enfer. Je peux vous dire que ça m’a tenue en haleine tout au long du roman, notamment parce que l’histoire entre Emy et Alain commence très fort, très vite. Ils sont amoureux et veulent déjà vivre leur vie ensemble, pour le meilleur et pour le pire. Sauf qu’Emy est loin de se douter que c’est peut-être surtout pour le pire.
Emy est une jeune fille de 17 ans au passif familial complexe qui sera développé dans la première partie du roman. Elle est contrainte de travailler en plus de ses études et s’est fait émancipée. Elle a une certaine maturité, tout en conservant des réactions de son âge tout au long du roman. Alain, c’est le gendre idéal ; et c’est pour cela qu’il fait l’unanimité auprès d’Emy, ses amis et sa famille. Il en vient même à sauver Emy et sa famille de divers éléments que je ne saurais vous dévoiler sans vous spoiler. Tout est beau, tout est rose. Tout semble aller vers un avenir prometteur. Et pourtant, dès le début, le lecteur remarque chez Alain des réactions assez étranges parfois, non cohérentes avec tout le reste.
J’adore les livres avec différents pov et pourtant, là, il était presque nécessaire qu’on ait seulement celui d’Emy, sans quoi je me serais peut-être attachée à Alain d’une certaine façon, alors que vraiment, je n’ai pas envie de l’aimer. Il est si manipulateur, si toxique… Et Emy va le découvrir de la pire des façon… Je peux vous dire que ce roman m’a absolument bouleversé, m’a fait passer par tout un tas d’émotions. J’ai dévoré Les filles d’AZ en seulement 3 petits jours tellement je voulais savoir ce qui allait se passer. Parce que nous aussi, on est manipulé en quelque sorte avec cette plume immersive si particulière, à la fois simple et entrainante de Virginie Lévanie. Une plume que je découvre et que je me ferais un plaisir de lire encore. Les personnages sont complexes, bien construits, avec une psychologie propre à leur âge. Je suis retournée des années en arrière alors que j’avais l’âge d’Emy, tout me semblait alors si réaliste vis-à-vis de l’innocence de sa jeunesse.
Il y a de nombreuses scènes spicy dans ce roman, toujours très bien écrites. J’ai trouvé qu’elles apportaient vraiment un plus aux vues de l’histoire. Elles ne sont pas là juste pour faire jolies et ont un sens. A la fois elles ont pu m’émoustiller et me briser ; parce que c’est à travers elle qu’on découvre certaines choses, l’aspect psychologique étant bien travaillé.
Je reste sur ma fin, j’ai tellement envie de savoir la suite. Je crois que le tome 2 est sorti, il va falloir que je le lise ! Sans hésitation, je crois qu’on va être là sur un de mes coups de cœur de l’année !
On est tenu en haleine. On ne comprend pas tout de suite pourquoi c’est Claire et pas quelqu’un d’autre. Elle-même est laissée un certain temps dans le flou le plus total. Puis, les pièces s’imbriquent, comme dans un puzzle et tout prend sens, d’une manière justement dosée, permettant également à la romance de prendre place d’une manière cohérente et agréable.
Ce roman fait foi de certains clichés. C’est sans doute pour cette raison qu’il ne rejoindra pas ma liste de coup de cœur. Pour autant, j’ai adoré être dans l’univers Dark Romance, tout en ayant cette sensation de légèreté. Un peu comme si c’était une Dark Romance feel good. Ouais, c’est assez étrange de dire ça, je vous l’accorde et pourtant, c’est vraiment comme cela que j’ai ressenti ce livre. Pas de gros TW, si ce n’est quelques scènes un peu gore lorsqu’il y a des meurtres. Quelques scènes spicy également qui desservent bien l’intrigue et qui sont parfaitement amenées ; ni crues ni vulgaire.
La plume de Vi Carter est très agréable et fluide à lire. Les personnages ont chacun leur complexité bien qu’ils restent assez « standards ». Une belle découverte.
Je n’ai pas lu les 2 premiers tomes mais ai réussi à comprendre l’intrigue familiale sans problème, les détails des premiers tomes étant intégrés au fil de l’histoire. Cette intrigue apporte un vrai plus à la romance qui à elle seule ne m’aurait sans doute pas suffit à apprécier ce roman. En revanche, la famille des O’Reagan est grande et un arbre généalogique aurait été apprécié afin de moins se mélanger entre les oncles, les cousins, etc. Le plot twist de l’épilogue me donne bien envie de poursuivre la saga.
Je remercie SVM Publishing de m’avoir permis de découvrir ce roman via NetGalley. SP non rémunéré.
Tout d’abord, la plume de l’auteur a énormément évolué depuis le tome 1. Il n’y a plus le côté répétitif et parfois long. Au contraire, la plume de Sarah Rivens y est fluide, belle et m’a transportée dans l’histoire d’amour entre Bella et Ben, ces deux âmes qui se complètent à la perfection. Le double point de vue apporte un vrai plus, permettant de mieux comprendre ce que chacun reproche à l’autre et ressent pour l’autre.
J’ai été un peu déstabilisé au début du roman par les flashbacks car dans l’audio, il n’y est pas précisé si c’est le présent ou le passé. Pas toujours évident de s’y retrouver donc, mais vous n’aurez pas ce souci avec le livre papier ou ebook. J’ai adoré faire la connaissance de Bella, un personnage féminin qui m’a plus séduite que celui d’Ella ; et tout particulièrement son caractère, sa manière d’aimer Ben… Leur amour semble si pur, loin du côté mafia dans lequel évolue Ben. La romance est pleine de tension, pour mon plus grand plaisir et je n’ai pas manqué de laisser couler quelques larmes à certains moments clés du roman.
En parallèle, l’intrigue continue d’évoluer autour de la famille Scott et ces péripéties tiennent en haleine. Entre l’amitié qui lie tous les protagonistes, les secrets de famille révélés, on n’a pas le temps de s’ennuyer une seule seconde et il y a un bon équilibre entre la romance et l’action. J’avais un peu peur d’une redondance avec le tome 1 mais en fait, pas du tout.
Dès les premières pages, nous avons envie de savoir ce qui est arrivé à Néa et on reste clairement sur notre faim, avec grande hâte de vouloir savoir la suite. Est-ce que ça me frustre ? Bien sûr que oui, hihi, je suis bien trop impatiente du tome 2. Ces 170 pages m’auront permis de découvrir une plume fluide et addictive.
Les seules choses que je regrette sont le développement des relations entre les personnages. J’ai trouvé que tout allait trop vite entre les protagonistes, ce qui m’a fait me questionner à quelques moments. Pour autant, j’ai adoré Eric & Néa qui sont plutôt chou ensemble ! On a des scènes de smut qui ne servent pas forcément l’intrigue ; très agréables à lire mais il m’a manqué un peu de psychologie au global. J’ose imaginer que c’est fait exprès et que ce sera davantage développé dans le second tome, qui nous permettra de cerner davantage la complexité des personnages.
Je remercie The French Writer de m’avoir permis de découvrir son roman via Bookfluencers. SP non rémunéré.
Les deux personnages sont très bien construits, avec chacun leur complexité. Leigh m’a émue par son innocence et sa gentillesse. J’ai adoré découvrir son évolution au fil du roman, se poser des questions, remettre en cause tout ce qu’on a pu lui apprendre au cours de sa vie. Innocente mais ni naïve ni stupide, bien loin de là. Jarod, lui, est le mafieux par excellence, ou tout du moins c’est ce qu’on veut nous faire croire au début car on découvre rapidement d’autres aspects de sa personnalité à travers les yeux de Leigh. J’ai trouvé dommage qu’il n’y ait pas son point de vue dans le roman, ça aurait apporté une touche supplémentaire. Petit plus avec des personnages secondaires très bien façonnés et intrigants. Coup de cœur pour Céleste !
Ce roman m’a tenue en haleine tout du long et le plot twist final m’a laissée sans voix, bien qu’une part de moi s’y attendait un peu au fil des pages. Mon seul regret est que la romance soit trop rapide, tout se fait en seulement quelques jours, ce qui enlève un peu de crédibilité à mes yeux. Mais ça ne m’a gênée en rien au final car j’ai été trop happée par ma lecture pour me formaliser là-dessus.
Pour les amoureux de romantasy, dans un univers sombre mais qui reste très soft à mon sens, foncez, vous ne le regretterez pas !
Je remercie chaleureusement Les Editions de l’Archipel pour l’envoi de ce service presse en version ebook via la plateforme NetGalley. Service Presse non rémunéré.
On suit Leila qui va faire la rencontre d’Adam et tombée amoureuse de lui. Malheureusement, Adam n’est absolument pas l’homme qu’il prétend être et va s’avérer être la pire des ordures. Il va finir par la séquestrer, voulant la briser pour faire d’elle « sa femme parfaite ». Les scènes y sont très détaillées graphiquement, notamment dans la partie 2 du livre qui explique tout ce que va subir Leila. Adam n’est pas un enfant de cœur. On est sur quelque chose de très réaliste qui prend aux tripes, donne envie de vomir et vous brise littéralement le cœur. J’ai pleuré plus d’une fois, d’ailleurs. Certaines scènes sont particulièrement horribles et vraiment très difficiles à lire, même si la plume de l’auteur aide énormément. Certains compareront peut-être ce livre à L’ombre d’Adeline sous certains aspects.
Au-delà des sévices subis, le roman aborde le comment on vit après tout cela (dans la partie 3 et 4), le parcours de Leila avant, pendant et après. On y découvre le parcours de Leila qui tente de se reconstruire, ainsi que comment va se passer le procès. Là aussi, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps, j’ai été émue et vraiment, on découvre à quel point ce n’est pas si simple et les conséquences que peuvent avoir le syndrome de Stockholm sur la vie des victimes.
Tout ce que je peux vous dire c’est que ça ne s’arrête même pas là… L’auteure a été encore plus loin et la conclusion du livre est absolument inattendue. Un plot twist absolu qui m’a donnée envie de crier, de chialer, de… Du début à la fin, ce roman ne m’aura pas laissé indemne.
TW : Torture physique et psychologique – Viol - Violence - Séquestration - Manipulation
Un plongeon au cœur du monde mafieux comme je les aime. Le récit est rythmé d’action du début à la fin et l’intrigue principale est justement dosée avec la romance, le tout se mêlant à la perfection, nous tenant en haleine sans qu’on ne s’ennuie une seule seconde. Les chapitres étant plutôt courts, cela contribue à la cadence et ne nous permet plus de lâcher le roman. C’est d’ailleurs bien rare que je lise un livre sur moins de 24 heures. Les pov s’alternent, nous permettant de nous attacher à tous les protagonistes et s’en savoir plus sur ce qui se passe de chaque côté.
Le livre ne comprend pas de smut mais alors la tension entre les personnages est tellement palpable ! C’est si intense ! Marine Rivière est une auteure vraiment exceptionnelle pour m’avoir donnée autant de frissons. J’ai ri, j’ai pleuré… J’ai vécu tant d’émotions au fil des pages ! Autant que les personnages ! Je découvrais d’ailleurs sa plume avec ce roman et je ne suis vraie pas du tout déçue !
Le côté fast burn ne m’a pas du tout dérangée grâce à la puissance de l’action. Il y a de la crédibilité et le tout est fait intelligemment. J’ai juste un regret : que ce soit un one shot. J’ai tellement pas envie de quitter cet univers et ces personnages. Il y a tellement de potentiels. On a le droit de quémander une suite avec Anton et Sasha ? #teamgroupie