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Résumé
INTRODUCTION
Les hommes ont dû être longtemps sans avoir l’idée du feu, et ils ne l’auraient jamais eue, si des forêts ébranlées par la foudre, ou l’éruption des volcans ou le choc et le mouvement violent de quelques corps, n’eussent enfin produit pour eux, en apparence, ce nouvel être : le Soleil tel qu’il nous luit, ne donne aux hommes que la sensation de la lumière et de la chaleur ; et sans l’invention des miroirs ardents, personne n’aurait, ni pu ni dû assurer que les rayons du soleil sont un feu véritable, qui divise, qui brûle, qui détruit comme notre feu que nous allumons.
Nous ne connaissons guère plus que la nature intime du feu, que les premiers hommes n’ont dû connaître son existence.
Nous avons des expériences, qui, quoique très fines pour nous, sont encore très grossières par rapport aux premiers principes des choses : ces expériences, nous ont conduit à quelques vérités, à des vraisemblances, et sur tout à des doutes en très grand nombre, car le doute doit être souvent en Physique ce que la démonstration est en Géométrie, la conclusion d’un bon argument.
Voyons donc, sur la nature du feu et sur sa propagation le peu que nous connaissons de certain, sans oser donner pour vrai, ce qui n’est que douteux, ou tout au plus vraisemblable.
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