Voltaire
Auteur


Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 6.47/10Nombre d'évaluations : 2 934
36 Citations 1 525 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Je ne pensais pas qu'il était possible de faire tenir autant de réflexion au cœur de si peu de pages. Mais c'est de Voltaire dont on parle, donc évidemment, tout est possible. Ce conte philosophique est extrêmement riche, malgré sa longueur, et on y retrouve bien la plume si singulière de Voltaire, reconnaissable parmi tous.
Afficher en entier
Une lecture assez courte et qui fait réfléchir à la petite place de l'homme dans l'univers.
Afficher en entier
Agréablement surprise! J’ai beaucoup aimé la façon dont Voltaire met en scène ses idées en faisant intervenir la figure de l’étranger. Petit TW tout de même, cet histoire aborde le sujet du viol de manière assez brusque. Même si le viol est ici considéré comme faute impardonnable, ces passages ont été difficiles à lire pour moi.
Afficher en entier
J'ai bien plus été convaincue par "Zadig ou la Destinée" mais "Candide" remplit son office !
Afficher en entier
J'en ai terminé avec ce recueil mais je ne l'ai pas terminé.... Après "le taureau blanc" je n'en pouvais plus. Sympa mais trop de Voltaire tue le Voltaire.
Afficher en entier
C'est une utopie, peut-être un classique, mais ce n'est pas la lecture la plus passionnante ou la plus intéressante.
Afficher en entier
Des chapitres à rallonge selon moi, tout ce ressemble dans ce roman.
Afficher en entier
C'est une un livre très court que j'ai dû relire une deuxième fois pour bien comprendre. J'ai apprécié la morale du livre et le fait qu'il nous invite à nous poser des questions qui poussent à la réflexion. Il permet de s'interroger soi-même sur sa propre place dans l'univers. J'ai beaucoup aimé la fin de livre
Afficher en entier
C'est une classique littéraire, Candide est touchant mais ce n'est pas le coup de cœur les chapitres se suivent et se ressemblent.
Afficher en entier
En plus de 400 pages ce livre comprend une préface de Jacques van den Heuvel, L'Affaire Calas, le Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas, L'affaire Sirven, le Commentaire sur le livre des délits et des peines (de Beccaria) par un avocat de province, L'affaire Lally, L'affaire du chevalier de la Barre ainsi qu'un dossier avec notes, chronologies des affaires et bibliographie sommaire.
Voltaire fait preuve d'une grande érudition historique et religieuse à mon humble avis, tout au long de ce livre dont les maîtres mots sont tolérance (pratique qui correspond à la théorie décrite par Voltaire dans le traité) et justice, qui apparaît comme une institution à réformer, en se basant essentiellement sur le modèle anglais. Voltaire veut moins de dogmes et plus de vertu, la religion étant la principale raison d'intolérance (sauf dans l'affaire Lally) du fait de l'affrontement des protestants et des catholiques.
Afficher en entierOn parle de Voltaire ici :
2018-01-01T12:42:09+01:00
2016-11-30T18:55:41+01:00
2016-05-26T17:44:40+02:00
2016-04-22T17:14:26+02:00
2015-11-26T18:05:07+01:00
2015-11-25T19:31:52+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Voltaire
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Gallimard : 24 livres
Flammarion : 21 livres
Larousse : 14 livres
LGF - Le Livre de Poche : 14 livres
Hatier : 8 livres
Pocket : 7 livres
Hachette : 7 livres
Nathan : 4 livres
Biographie
François Marie Arouet, dit Voltaire[1], né le 21 novembre 1694[2] à Paris où il meurt le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des Français. « On n’emprisonne pas Voltaire » dira de Gaulle en 1960 à ceux qui réclament l’inculpation de Sartre dans l’affaire du Manifeste des 121.Symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme » (il invente en 1759 le slogan « écrasons l’infâme » par lequel il termine ses lettres à ses intimes), nom qu’il donne au fanatisme religieux. Il n’en finit pas de dresser la liste des malheurs et des crimes qu’il engendre, et, pour lui, il ne peut y avoir de progrès de l’humanité et de la civilisation sans tolérance. Dans ce contexte, son grand ennemi est la religion chrétienne et l’Église catholique de son temps. Ses adversaires l’accuseront de saper les bases de la religion et par là même de la monarchie et de favoriser la dépravation des mœurs.
À près de 70 ans, exilé loin de Paris dans son château de Ferney, il prend, seul, la défense des victimes de l’intolérance religieuse et de l’arbitraire dans des affaires qu’il a rendues célèbres (Calas, Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally) et met son immense notoriété auprès des élites éclairées de l’Europe des Lumières à leur service. C’est ce Voltaire-là, « l’homme aux Calas », le « don Quichotte des malheureux » que le peuple de Paris ovationne, à son retour dans la capitale en 1778. Il inaugure ainsi la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser.
De son œuvre littéraire, on lit aujourd'hui essentiellement ses écrits philosophiques en prose : contes et romans (Candide est son ouvrage le plus célèbre), Lettres philosophiques, Dictionnaire philosophique) et sa correspondance (40 000 lettres dont 15 000 retenues dans les 13 volumes de la Pléiade). Son théâtre (René Pomeau a estimé à deux millions de personnes l’affluence attirée par ses tragédies de son vivant[3]), ses poésies épiques, ses œuvres historiques, qui firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle, sont aujourd’hui largement négligées ou ignorées. Peu d’écrivains ont écrit en français mieux que Voltaire : sa phrase est courte, simple, élégante, toujours précise. Son ironie — la fameuse ironie voltairienne — est mordante. L’audace, la verve, la causticité de sa prose donnent une idée de ce que devait être l’éclat de sa conversation.
Considéré par la Révolution française - avec Rousseau, son ennemi - comme un précurseur (il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau), célébré par la IIIe République (dés 1870 à Paris un boulevard et une place portent son nom, puis un quai, une rue, un lycée, un métro…), il a nourri au XIXe siècle les passions antagonistes des adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique, et au-delà de l’esprit des Lumières. Le mot « voltairianisme » apparaît dans le Littré de 1873 comme « esprit d'incrédulité railleuse à l'égard du christianisme ». Depuis le ralliement progressif de la droite de gouvernement à l’idéal laïque, il fait partie du patrimoine commun de la République.
Afficher en entier