Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 128
Membres
1 024 362

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par romanedc 2015-01-24T21:29:03+01:00

"- Eh bien, fais semblant ! riposte Effie. (Elle se maîtrise et m'adresse un sourire radieux.) Regarde, comme moi. Tu m'exaspères, et pourtant je souris."

Afficher en entier
Extrait ajouté par sandrapocket 2014-11-30T07:01:55+01:00

Je remarque la nourriture. Les pains et la pomme sont intacts, mais il manque un morceau du fromage.

- Et tu as mangé dans mon dos, en plus !

En réalité, je m'en moque. Je saisis simplement ce prétexte pour continuer à m'indigner.

- Quoi ? Non, pas du tout, proteste Peeta.

- Je suppose que c'est la pomme qui grignoté le fromage ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par ananaskiwi 2014-11-09T14:36:57+01:00

— Un beau jeune homme comme toi. Tu dois bien avoir une jeune fille en vue. Allez, dis-nous son nom, insiste Caesar. Peeta soupire.

— C’est vrai, il y a une fille. Je ne pense qu’à elle depuis qu’on est gamins. Mais je suis à peu près sûr qu’avant la Moisson, elle ne savait même pas que j’existais. Des murmures de sympathie agitent la foule. Un amour muet, c’est une chose que les gens peuvent comprendre.

— Elle a quelqu’un d’autre ? s’enquiert Caesar.

— Je ne sais pas, mais beaucoup de garçons s’intéressent à elle, admet Peeta.

— Je vais te dire : gagne, et puis rentre chez toi. Elle t’accueillera à bras ouverts, non ?

— Ça ne marcherait pas. La victoire… ne pourra pas m’aider, répond Peeta.

— Pourquoi ça ? s’étonne Caesar. Peeta rougit jusqu’aux oreilles. Il bredouille :

— Parce que… parce qu’elle… est venue ici avec moi.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Fandelivredystopie 2014-10-27T11:39:41+01:00

Je lui prend la main et la serre fort, en me préparant pour les caméras, redoutant le moment où je devrai finalement lâcher prise.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Antonin22 2014-09-20T11:47:50+02:00

"L'espoir est la seule chose plus forte que la peur."

-Président Snow.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Imagines 2014-07-16T21:13:17+02:00

Il arrive alors une chose inattendue. Pour moi, en tout cas, parce que je ne pensais pas compter dans le district Douze. Mais il s'est produit un changement quand je me suis avancée pour prendre la place de Prim, et on dirait désormais que je suis devenue quelqu'un de précieux. Une personne, puis deux, puis quasiment toute la foule porte les trois doigts du milieu de la main gauche à ses lèvres avant de les tendre vers moi. C'est un vieux geste de notre district, rarement utilisé, qu'on voit parfois lors des funérailles. Un geste de remerciement, d'admiration, d'adieu à ceux que l'on aime.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Choupette_ 2014-07-01T11:18:43+02:00

- Katniss ! Katniss !

- Rue ! je crie, afin qu'elle sache que je suis tout près. (Qu'ils sachent que je suis tout près, dans l'espoir que la fille qui leur a envoyé ces guêpes tueuses, qui a obtenu à l'entrainement un onze qu'ils ne s'expliquent toujours pas, détourne suffisamment leu attention. ) Rue ! J'arrive !

Quand je débouche dans la clairière, elle est par terre, inexplicablement roulée dans un filet. Elle a tout juste le temps de me tendre la mmain à travers les mailles et de prononcer mon prénol que l'épieu s'enfonce dans sa chair.

<< 18 >>

Le garçon du district Un meurt avant de pouvoir récupérer son arme. Ma flèche lui transperce le cou. Il tombe à genou et l'arrache, ce qui réduit de moitié le peu de temps qui lui reste. Il se noit dans son propre sang. J'ai déjà encoché une nouvelle flècheet je braque mon arc à droite, puis à gauche, tout en criant à Rue :

- Il y en a d'autres ? Il y en a d'autres ?

Elle doit me répéter "non" plusieurs fois pour que je l'entende.

Elle s'est roulée sur le flanc, recroquevillé sur l'épieu. Je repousse le corps du garçon loin d'elle et sors mon couteau afin de la libérer. Un seul regard me suffit pour comprendre que sa blessure dépasse largement mes pauvres conaissances en médecines. Celles de n'importe qui, probablement. La pointe disparait dans sont ventre jusqu'à la hampe. Je m'accroupis devant elle en fixant l'arme avec impuissance. Inutile de chercher des paroles de réconfort, de lui raconter qu'elle va s'en sortir. Elle n'est pas stupide. Elle me tend la main, et je m'y cramponne comme à une bouée de sauvetage. Comme si c'était moi qui étais en train de mourrir, et non pas Rue.

-Tu as détruit les provisions ? me demande-t-elle dans un souffle.

-Il n'en reste pas une miette, je réponds.

-Il faut que tu gagnes.

-Comptes sur moi. Je vais gagner pour nous deux. Un coup de canon me fait lever la tête. Il est sans doute pour le garçon du district Un.

-Ne me laisse pas.

Rue me serre la main de toutes ses forces.

-Bien sur que non. Je reste là dis-je.

Je me rapproche encore, je pose la tête sur mes genoux. Je ramène délicatement ses mèches noires et épaisses derrières son oreille.

-Chante-moi quelque chose, me demande-t-elle d'une voix presque inaudible.

"Chanter ? me dis-je. Chanter quoi" Je connais bien quelques chansons. Croyez le ou non, on chantait chez nous, autrefois. Et si je n'étais pas la dernière. Mon père m'entrenait, avec sa voix splendide - mais je ne chante pratiquement plus depuis qu'il est mort. Sauf quand Prim est très malade. Dans ces cas-là, je lui fredonne les airs qu'elle aimait étant bébé.

Chanter. J'ai les larmes aux yeux, la gorges nouée, la voix enrouée par la fumée et la fatigue. Mais, puisque c'est la dernière volonté de PRim, je veux dire de Rue, je peux au moins essayer. L'air qui me revient est une berceuse toute simple, de celles qu'on chante aux bébés affamés qui n'arrivent pas à s'endormir.

Elle est ancienne, très ancienne. Je cpois qu'elle à était composée il y a très longtemps, dans nos collines. C'est ce que mon professeur de musique appelle un air de montagne. Mais les paroles sont apaisantes, faciles à retenir, et promettent des lendemains meilleurs.

Je toussote, j'avale ma salive et je me lance:

Sous le vieux saule, au fond de la prairie,

L'herbe tendre te fait comme un grand lit

Allonge-toi, fermes tes yeux fatigués

Quand tu les rouvriras, le soleil seras l'vé

Il fait doux par ici, ne craint rien

Les paquerettes éloignent les soucis

Tes jolis rêves s'accompliront demain

Dors, mon amour, oh, dors, mon tout petit.

Rue a battu des cils et fermé les yeux. Sa poitrine se soulève encore, mais tout juste. Mes larmes coulent le long de mes joues. Mais je dois terminer ma chanson.

Tout au fond de la prairie, à la brune,

Viens déposer tes peines et ton chagrin

Sous un manteau de feuilles au clair de lune,

Tout ça s'oubliera au petit matin

Il fait doux par ici, ne craint rien

Les paquerettes éloignent les soucis

Le dernier couplet est presque inaudible

Tes jolis rêves s'accompliront demain

Dors, mon amour, oh, dors, mon tout petit.

La forêt est tranquille et silencieuse. Et puis de manière presque iréelle, les geais moqueurs reprennent ma chansons.

Je reste assise là, les joues mouillées de larmes. Le canon retentit pour Rue. Je me penche sur elle et dépose un baiser sur sa tempe. LEntement, comme si je ne voulais pas la reveiller, je lui repose la tête par terre et retire ma main.

Il va falloir m'en aller maintenant. Afin qu'ils puissent enlever les corps. Je n'ai pas de raisons de m'attarder plu longtemps. Je fais rouler le garçon du district Un sur le flan et récupère le sac à dos ainsi que la flèche qui a mis fin à ses jours. Je tranche les bretelles du sac à dos de Rue, sachant que celle-ci aurait voulu me le donner. Par contre, je laisse l'épieu en place. L'hovercraft l'emportera avec le corps. Comme je n'en ai pas l'usage je préfère le savoir le plus loin possible de l'arène.

Je n'arrive pas à lever les yeux du corps de Rue, qui, recoroquevillée dans son filet comme un petit animal, a l'air plus fragile que jamais. JE ne peux pas me résoudre à l'abandonner comme-ça. Totalment sans défense, même si elle ne risque plus rien. Haïr le garçon du district Un, qui apparaît lui aussi tellement vulnérable dans la mort, serait absurde.

C'est le Capitole que je hais de nous infliger ça.

La voix de Gale résonne à mes oreilles. Ses propos contre le Capitole prennent un sens, à présent. La mort de Rue m'oblige à reconnaître ma propre colère devant la cruauté, l'injustice dont nous sommes les victimes. Mais ici, plus encore que chez nous, je ressens mon impuissance. Je n'ai aucun moyen de me venger du Capitole. Pas vrai ...?

Je me rapelle alors des paroles de Peetasur le toit : "je voudrais seulement trouver un moyen de ...de montrer au Capitole que je ne lui appartiens pas. Que je suis davantage qu'un simple pion dans ses jeux." Et pour la première fois je comprend ce qu'il voulait dire.

Je voudrais trouver quelque chose ici même, maintenant, pour défier le Capitole, le faire se sentir coupable, lui montrer que, quoi qu'il nous fasses ou nous oblige à faire, il en reste en chacun de nous une part qui lui échappe. Que Rue était davantage qu'un simple pion dans ses Jeux. Et moi aussi.

A quelques pas dans les sous-bois pousse une parterre de fleurs sauvages. Ce sont peut-être de mauvaises herbes, mais elles ont des corolles magnifiques, violettes, jaunes et blanches. J'en ramasse une brassée que je rapporte auprès de Rue. Lentement, tige par tige, je recouvre son corps de fleurs. Je dissimule son horrible blessure. J'encadre son visage. Je pare ses cheveux de couleurs vives. Ils seront obligés de le montrer. Même s'ils choisissent de braquer leur caméras ailleurs pour l'instant, il faudra bien qu'ils montrent l'enlèvelent du corps. Et, à ce moment-là, tout le monde verra Rue et saura que c'est moi qui ai fait ça. Je recule d'un pas et la contemple une dernière fois. On dirait vraiment qu'elle c'est endormie au fond de cette prairie.

-Au revoir Rue, je murmure.

Je presse trois doigts de ma main gauche contre mes lèvres et les tends dans sa direction. Apres quoi je m'éloigne sans un regard en arrière.

Les oiseaux font silence. Quelque part, un geaai moqueur pousse un trille d'aveertissement qui précède l'arrivée de l'hoverrcraft. J'ignore comment il est au courant. Ils doivent avoirs une ouïe plus fine que la notre. Je m'arrete en regardant droit devant moi, surtout pas derrière. Cela ne dure pas longtemps. Le concert des oiseaux reprend bientôt et je sais qu'elle a disparu.

Un autre geai moqueur, un jeune visiblement, se pose devant moi sur une branche et me chante la mélodie de Rue. Trop novice pour avoir retenu mon proprechant ou lesignal de l'hovercraft. Il a tout de même mémorisé ces quatres notes. Celles qui signifient qu'elle est en sécurité.

Afficher en entier
Extrait ajouté par laetitia90 2013-09-12T16:27:01+02:00

C'est le premier vrai baiser que nous échangeons. Aucun de nous deux n'est abruti par la maladie, la douleur, ou simplement assoupi. Nos lèvres ne sont ni brûlantes de fièvre ni glacées. C'est le premier baiser qui déclenche un fourmillement dans ma poitrine. Chaud et curieux. Le premier baiser qui me donne envie d'en avoir un autre.

Afficher en entier
Extrait ajouté par booknovel 2013-04-25T13:44:57+02:00

- Il m'a dit : "Tu vois cette petite fille ? Je voulais épouser sa mère, mais elle a préféré partir avec un mineur."

- Quoi ? Tu es en train d'inventer ! je m'exclame.

- Non je t'assure, insiste Peeta. Et moi, j'ai dit "Un mineur ? Pourquoi elle serait partie avec un mineur alors qu'elle pouvait t'épouser toi ?" Et il m'a répondu : "Parce que quand il chante.. même les oiseaux se taisent pour l'écouter."

Afficher en entier
Extrait ajouté par lali45 2012-11-05T15:26:54+01:00

-ça va, vous? je leur lance gaiement.

Ils paraissent décontenancés, mais je sais que le public va adorer.

-Pas trop mal, répond le garçon du District Deux. Et toi?

-J'ai eu un peu chaud, cette nuit. (Je peux presque entendre les rires depuis le Capitole.) Il fait meilleur, par ici. Vous ne voulez pas monter?

-J'arrive, dit le garçon.

-Tiens, Cato, essaie ça, suggère le fille du district Un en lui tendant l'arc d'argent et le carquois de flèches.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode