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« Résignée ? Pour être résignée, il faut accepter une situation, et pour accepter une situation, il faut comprendre le pourquoi du comment. »

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_Evidemment ! Si ce grand ahuri étrangle tout ce qui bouge, je conçois aisément que les amitiés n'affluent pas à sa porte, ajouta Roseline.

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– Vous avez du sang sur votre main, dit-il.

Hébétée, Ophélie contempla son gant de liseuse. Il lui fallut plusieurs battements de paupières avant de comprendre ce que ce sang faisait là. Elle se déganta et palpa sa joue. Elle sentit sous ses doigts les contours d’une plaie à vif. Thorn ne l’avait pas remarquée à cause de la livrée de Mime ; cette illusion absorbait tout – taches, lunettes, grains de beauté – sous une peau parfaitement neutre.

– C’est votre sœur, dit Ophélie en remettant son gant. Elle n’y est pas allée de main morte.

Thorn déploya ses longues jambes d’échassier et redevint déraisonnablement grand. Tous ses traits s’étaient contractés comme des lames de rasoir.

– Elle vous a attaquée ?

– Tout à l’heure, à la réception. Je ne lui ai pas libéré le passage assez vite.

Thorn était devenu aussi blême que ses cicatrices.

– Je ne savais pas. Je ne m’en suis pas rendu compte…

Il avait soufflé ces mots d’une voix à peine audible, presque humiliée, comme s’il avait failli à son devoir.

– Ce n’est rien, assura Ophélie.

– Montrez-moi.

Ophélie sentit tous ses membres se crisper sous sa livrée de valet. Se déshabiller dans cette salle d’attente glaciale, juste sous le grand nez de Thorn était la dernière chose dont elle avait envie.

– Je vous dis que ce n’est rien.

– Laissez-moi en juger.

– Ce n’est pas à vous d’en juger !

Thorn considéra Ophélie avec stupeur, mais elle fut la plus étonnée des deux. C’était la première fois de sa vie qu’elle haussait ainsi le ton.

– Et qui donc, sinon moi ? demanda Thorn d’une voix tendue.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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_ Ne donnez plus votre confiance qu'à ma tante, rappela-t-il.

Ophélie se sentit peinée de voir à quel point il accordait du crédit à Berenilde. Elle les manipulait comme des marionnettes et il était entré dans son jeu sans même s'en rendre compte.

_ A elle, je ne sais pas. Mais à vous, n'en doutez plus.

Ophélie avait cru bien faire en lui disant cela. A défaut de pouvoir jouer les épouses aimantes, elle voulait au moins être honnête avec Thorn. Il avait sa confiance, il devait le savoir. Elle se demanda toutefois si ce n'était pas une erreur quand les yeux gris se dérobèrent brusquement aux siens, dans un mouvement de raideur.

_ Vous devriez partir, maintenant, marmonna-t-il.

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Le dirigeable s’éloigna et Anima apparut entièrement encerclée par une ceinture de nuages, suspendue en l’air. Plus ils prenaient de la distance, plus elle ressemblait à une souche de terre et de gazon qu’une pelle invisible aurait arrachée à son jardin. C’était donc cela, une arche vue de loin ? Cette petite motte perdue au milieu du ciel ? Qui pourrait imaginer que des lacs, des prairies, des villes, des bois, des champs, des montagnes, des vallées s’étendaient sur ce ridicule pan de monde ?

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Alors qu'Ophélie se coiffait du chapeau plat, elle se demanda si Thorn assisterait lui aussi à la représentation. Elle n'avait pas particulièrement envie de faire semblant de ramer juste sous son nez.

À bien y réfléchir, elle n'avait envie de le faire sous le nez de personne.

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Plongée dans l'eau fumante, Ophélie ressuscitait.

En temps ordinaire, elle n'aimait pas beaucoup utiliser la baignoire de quelqu'un d'autre -lire ces petits espaces d'intimité pouvait être embarrassant-

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Ces gens-là sont reliés les uns aux autres. Ce que l'un voit, tout le monde le voit. Ce que l'un entend, tout le monde l'entend. Ce que l'un sait, tout le monde le sait. On les appelle "la Toile", vous les repérerez à la marque qu'ils portent sur le front.

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Ophélie préférait les dés. Les dés étaient aléatoires, pleins de surprises ; ils n'étaient pas immanquablement décevants comme les êtres humains.

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Votre sort est une réelle préoccupation pour moi.

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