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Dans le salon de Lady Tilney, entre sandwichs et thé, nous avions parlé de tout cela en long, en large et en travers. Je savais que nous devions affronter le comte avec ses propres armes si nous voulions le vaincre une fois pour toutes. Tout nous avait paru simple, en tout cas, si la supposition de Lucy était juste. Elle l'avait lancée dans la pièce, comme ça, et nous l'avions d'abord rejetée. Mais Gideon avait été ensuite le premier à hocher la tête. « Oui, avait-il dit, tu pourrais bien avoir raison. » Puis il s'était remis à tourner dans la pièce comme un ours en cage.

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Ne jamais sous-estimer la force destructrice de la curiosité féminine.

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Il poussa un sanglot de désespoir.

- Tu ne dois pas mourir, tu m'entends, Gwenny ?

Ma poitrine se soulevait et s'abaissait encore et ma peau était couverte de minuscules gouttes de sueur, mais il n'était pas exclu que Dark Vador et lord Alaister aient dit vrai. Finalement, j'évoluais déjà dans l'air comment une particule de poussière brillante et mon visage en bas ne montrait plus la moindre trace de couleur. Même mes lèvres avaient viré au gris.

Gideon avait maintenant le visage baigné de larmes. Il comprimait toujours ma blessure de toutes ses forces.

- Reste avec moi, Gwenny, reste avec moi ! chuchotait-il.

Et soudain, je ne vis plus rien, mais je sentis de nouveau la dureté du sol sous moi, la douleur sourde dans mon ventre et toute la pesanteur de mon corps. Je cherchai à respirer dans un râle, tout en sachant que je n'aurais plus assez de force pour une autre inspiration.

Je voulus ouvrir les yeux pour regarder une dernière fois Gideon, mais ce fut en vain.

- Je t'aime, Gwenny, je t'en prie, ne me quitte pas, dit Gideon.

Ce fut la dernière chose que j'entendis avant de sombrer dans un grand trou noir.

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Dark Vador s'interrogea un instant. Puis il éructa d'un air décidé :

- Je ne m'écarterai pas d'un pouce de cette créature diabolique tant que ma mission ne sera pas remplie. Je maudirai chacune de ses respirations.

Je soupirai.

Quelle perspective atroce !

Je voyais déjà Dark Vador tituber près de moi et proférer des paroles meurtrières tout le reste de ma vie. Je raterais mes examens parce qu'il n'arrêterait pas de me râler des trucs à l'oreille, il me ficherait en l'air mon bal de fin d'études et mon mariage et... Xemerius pensait apparemment à peu près la même chose. Il leva vers moi des yeux innocents.

- Je peux le bouffer, là, s'il te plaît ?

Je lui souris.

- Puisque tu me le demandes si gentiment, je ne peux pas te le refuser!

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On devrait lui raconter ce qui est arrivé à Charlotte. Je parie qu'elle se sentirait tout de suite mieux. Où est passée ta cousine, au fait ?

- Chez un cancérologue ! expliquai-je. Nous avons prudemment tenté de faire comprendre à tante Glenda qu'il pourrait y avoir d'autres causes aux malaises de Charlotte, à son teint verdâtre, à sa mauvaise humeur et à ses terribles maux de tête. Mais tante Glenda ne veut pas entendre parler de gueule de bois, surtout pas pour sa fille exemplaire.

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Le « pour toujours » consiste en beaucoup de « maintenant ».

Emily Dickinson

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- Lady Tilney vous attend en haut, dans le petit salon, annonça-t-il, raide comme un piquet. Dès que je vous aurai fouillés pour voir si vous ne portez pas d'armes. - S'il le faut! dit Gideon.

Il écarta docilement les bras et se laissa palper par Millhouse.

- Parfait. Vous pouvez monter, finit par dire le majordome.

- Et moi ? demandai-je, stupéfaite.

- Tu es une dame... les dames ne portent pas d'armes, répondit Gideon en me souriant, puis il me prit la main et m'entraîna dans l'escalier.

- Quelle inconscience ! lâchai-je en jetant un œil sur Millhouse qui nous suivait à quelque distance. Alors, parce que je suis une femme, il n'a pas peur de moi ? Il devrait voir Tomb Raider ! Je pourrais porter une bombe atomique sous ma robe et une grenade dans chaque bonnet de mon soutien-gorge. Je trouve ce comportement tendancieusement misogyne.

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Bien que le passé soit déjà passé dans le présent, il faut veiller soigneusement à ne pas mettre en danger les choses présentes par les choses passées en les rendant présentes.

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- Restons amis !

Cette phrase était vraiment pire que tout.

- Je suis sûre qu'une fée meurt à chaque fois qu'on prononce ces mots quelque part, dis-je.

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Gideon secoua la tête, puis il inspira profondément et dit d'une voix grave :

- Quand tu m'embrasses, Gwendolyn Shepherd, c'est comme si je perdais le contact avec le sol. Je ne sais pas comment tu fais ni où tu as appris ça. Si c'était par un film, alors il faudra le voir ensemble.

Il s'arrêta un moment puis poursuivit.

- En fait, je veux dire que quand tu m'embrasses, je ne veux rien d'autre que te sentir et te tenir dans mes bras. Merde, je suis si terriblement amoureux que c'est comme si on avait renversé un bidon d'essence quelque part en moi et qu'on y avait mis le feu ! Mais, pour l'instant, nous ne pouvons pas... nous devons garder la tête froide. Ou du moins, l'un de nous deux.

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