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Les deux reines



Description ajoutée par Paraffine 2022-09-05T22:44:34+02:00

Résumé

« Qui donc a pu inventer ce dicton : « Méfiez-vous d’un dîner d’amis ? » – Je n’en sais rien, mon cher Georges, mais j’ai toujours pensé que ce devait être un homme froid et sec. Quant à moi, pourvu que j’aie mes coudées franches, et le cœur à l’aise, je fais le plus grand cas du simple menu de l’amitié, fût-ce le bouilli réchauffé, bien que je donne la préférence, en homme de goût, à cet excellent perdreau. » Ce dialogue s’engageait à la table de Mme Alban, femme bonne, paisible, demeurée simple au milieu des pompeux embarras d’une grande fortune. En face d’elle était son mari ; à sa droite, l’ami de la maison, l’homme indispensable, que l’on cherchait toujours, quitte à se disputer un peu quand on l’avait trouvé.

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extrait

Extrait ajouté par Paraffine 2022-09-05T22:52:35+02:00

– Mais mon oncle...

– Un moment. J’entends avoir pour héritier un homme de quelque valeur. Or, les gens légers, étourdis, paresseux, n’en ont aucune. Donc tu travailleras, mon garçon ; tu piocheras, tu te feras une position, tu gagneras de l’argent, s’il te plaît d’en avoir, et tu ne t’autoriseras pas de la perspective d’une grande fortune pour te croiser les bras. Tu t’es imaginé, sur les bancs du collège, que l’hiver à Paris, l’été à la campagne, tu goûterais les douceurs du far niente ? Non pas ; qui compte sans son hôte compte deux fois. Je suis ton hôte, et je te sauvegarderai à tout prix de l’oisiveté.

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