Kean : Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai été trop vite ? J'avoue que dans une pièce moderne, j'aurais d'abord refusé de vous les rendre. Mais j'ai sauté quelques répliques : elles faisaient longeur. Vous ne me croyez pas ? Jugez-en. (Joué.) Vos lettres ? Jamais. C'est tout ce qui me reste de vous. Vous avez renié notre amour mais vous ne pouvez pas exiger que j'en détruise le souvenir. (Imitant Eléna.) La raison l'exige. Vous aimerez une autre femme et ces lettres qui sont en ce moment des souvenirs d'amour ne seront plus que des trophées de victoire.

Eléna, riant aux larmes : Arrêtez ! Arrêtez ! C'est vrai, c'est ma foi vrai : je vous aurais dit ça ! Oh ! c'est ... ridicule !

Kean : Oui ; voilà notre erreur : nous attaquions nos scènes deux ou trois tons trop haut.

- Vos galanteries n'admettent point la réplique, n'est-ce pas ? Mais (plus bas) personne ne dit mot, à part nous, et il n'est peut-être pas indispensable de raconter tant de bêtises pour amuser sept personnes absolument muettes.
-Je n'ai rien dit dont je puisse rougir, répliqua-t-il avec une joyeuse impudence. Je vous ai rencontrée en février et je ne crains pas que tous ceux qui se trouvent sur ces collines entendent mes paroles. Qu'elles atteingnent, si possible, Mickleham et Dorking ... Je vous ai rencontrée en février et je le proclame. (Tout bas) Nos compagnons sont atrocement ennuyeux. Que faire pour les réveiller ? Toutes les stupidités que nous pourrons raconter ne serviront de rien, il faut absolument les obliger à parler. Messieurs et Mesdames, j'ai reçu de Miss Woodhouse, qui préside toujours et où qu'elle se trouve, l'ordre de vous informer qu'elle souhaiterait connaître vos pensées à tous.

I'll help you add a little magic, okay ?

Mikan : Quand je vois Natsume comme ça, plus que de m'attrister, ça m'angoisse. C'est vraiment comme s'il se préparait à disparaître, tout seul, quelque part... comme s'il voulait qu'il ne reste aucune trace de lui, dans le cœur de personne. Dans chacune de ses actions, je ressens cette détermination,et je ne peux plus le quitter des yeux, l'angoisse me gagne.

Luca : IMAI ! La...la...représentation de Mikan va commencer,alors, euh...
Hotaru : Ah, entendu. Désolée, Luna. Mais dès que je ne suis pas là, ce pauvre garçon est toujours perdu...

Natsume : Qu'est-ce que tu caches ? T'es bizarre ... Qu'est-ce qui s'est passé entre elle et toi l'autre jour ? Réponds !
Mikan : T'es ... le partenaire de Luna, non ? T'es plus le mien, ni rien pour moi. Alors pas la peine de te soucier de moi.
Natsume : Ça t'embête ausi que je m'inquiète pour toi ?
Mikan : ça ... ça m'embête, ouais.

Mikan : Luca-Piou est mauvais pour le cœur !!

Luca : Les yeux de Natsume ... Ses yeux, ce sont ceux de maman, ce jour-là. Ce sont les yeux déterminés que l'on a quand on a décidé, coûte que coûte, de protéger quelqu'un.

Aoi : Regarde, mon frère ne sourit jamais, hein ? C'est parce qu'à cause de son alice, aussi, tout le monde a peur et fini par se tromper sur lui ... Alors, moi qui suis avec lui, je souris tout le temps à sa place. Afin qu'il cesse un peu d'avoir des pensées douloureuses, en riant, je veux illuminer l'entourage de mon frère.

Natsume : Cette comédie sera finie demain. [...] Dès que demain sera passé, je te rendrai à Luca.

Mikan : Natsume s'énerve et m'engueule mais en y repensant, à chaque fois qu'il fait ça, j'oublie mes soucis.

Natsume : Je promets ... d'y réfléchir.

Natsume : N'approche pas ta tête vide des ténèbres qui sont les miennes.

Narumi : Coucou petit chaton ! <3 Désolé de t'interrompre ! Mais ton petit cœur rose doit finir au bout de ma flèche de Cupidon ! Ne résiste pas ! <3

M Nodachi (à Mikan): Je ne voulais pas te faire peur ... Mais j'étais certain que c'était la méthode qui convenait. Autrefois, une personne ici possédait l'alice d'annulation comme toi. Et son alice ... ne pouvait être déclenché que pour protéger quelque chose ou quelqu'un. J'ai donc tenté le coup, pensant que c'était pareil pour toi. Et mon intuition s'est vérifiée.

M Narumi : Autant que possible, l'ennemi ne doit pas découvrir votre alice.

Tsubasa : Vous avez remarqué ? :P Mais c'est trop tard ... vous êtes entrés dans mon territoire !

Mikan : Regarde, Luca-Piou ! Tes amis de la forêt sont venus te dire bonjour ! Hein ? Tu l'ignore ? T'étais pas comme ça avec le poussin ... T'es raciste envers les lapins, ou quoi ?