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Commentaires de livres faits par lovedanse

Extraits de livres par lovedanse

Commentaires de livres appréciés par lovedanse

Extraits de livres appréciés par lovedanse

— Tu es vraiment…
— Formidable ? Merveilleux ? (Il marqua une pause, les sourcils haussés.) Extraordinaire ?
— Disons plutôt bizarre.
— Eh bien, si j’avais un cœur, je serais très blessé.
Je souris, entrant volontiers dans son jeu.
— Alors heureusement que tu ne ressens rien, pas vrai ?
— Sans doute. (Il descendit encore quelques marches et s’arrêta sur le palier.) Tu ferais mieux de te dépêcher si tu ne veux pas être en retard à ton prochain cours.
Putain de merde ! Il avait raison.
Cam rigola en me voyant ouvrir des yeux tout ronds et dévaler l’étage suivant au pas de course.
— La vache, si tu venais si vite chercher mes cookies, je serais le plus heureux des hommes.
— Ferme-la ! lui lançai-je par-dessus mon épaule.
— Hé ! me rappela-t-il. Tu ne veux pas savoir ce que cookies veut vraiment dire ?
— Non ! Surtout pas ! 
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Je gravis deux à deux les marches du large escalier, franchis à la volée une porte à double battant et rentrai dans… un mur. 
Je chancelai vers l’arrière, battant des bras tel un agent de circulation sous acide. Ma besace surchargée glissa de mon épaule, me faisant basculer de côté. Mes cheveux me tombèrent devant le visage et un voile auburn obscurcit ma vision tandis que je vacillais dangereusement.
Oh, mon Dieu, j’allais me casser la gueule. Je ne pouvais plus rien y faire. Des visions de nuques brisées tournoyèrent dans ma tête. C’était la lose…
Quelque chose de dur et vigoureux s’enroula autour de ma taille, arrêtant ma chute libre. Mon sac tomba par terre, et mes bouquins et stylos hors de prix se répandirent sur le sol lustré. Mes stylos ! Mes magnifiques stylos roulèrent dans tous les sens. Une seconde plus tard, je me retrouvai plaquée contre le mur.
Le mur était étrangement chaud.
Le mur gloussa.
— Ouh là, s’exclama une voix grave. Ça va, mon ange ?
Le mur n’en était carrément pas un. C’était un mec. Mon cœur cessa de battre et, l’espace d’une seconde horrible, ma poitrine se comprima et je me retrouvai aussi incapable de bouger que de respirer. J’étais soudain précipitée cinq années en arrière. Bloquée. Immobilisée. Des milliers d’épingles se plantèrent dans ma nuque alors que mes poumons se vidaient douloureusement. Chacun de mes muscles se contracta.
— Hé, reprit la voix d’un ton plus doux, trahissant une pointe d’inquiétude. Tout va bien ?
Je me forçai à prendre une profonde inspiration, à recommencer à respirer. Rien de plus. Faire entrer de l’air, le faire ressortir. J’avais pratiqué cet exercice des dizaines de fois au fil des cinq années écoulées. Je n’avais plus quatorze ans. Je n’étais plus là-bas. J’étais ici, après avoir traversé près de la moitié du pays.
Deux doigts me soulevèrent le menton. Des yeux d’un bleu surprenant cernés de longs cils noirs se posèrent sur les miens. Un bleu vif et électrique, contrastant si profondément avec les pupilles sombres que je me demandais si ce que je voyais était bien réel.
Puis je compris.
Un garçon me tenait dans ses bras. Jamais un garçon ne m’avait prise dans ses bras. Je ne comptais pas cette fois-là, car elle comptait pour que dalle, et j’étais collée à lui, cuisse contre cuisse, poitrine contre poitrine. Comme si nous dansions. Mes sens entrèrent en ébullition quand je sentis l’odeur discrète de son parfum. Waouh. Un produit de qualité, comme le sien…
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« Secouant la tête, je me tournai vers la porte de derrière. Daemon apparut devant moi pour m’en bloquer l’accès.
— Mon Dieu, je déteste quand tu fais ça !
Il ne riait ni ne souriait comme d’habitude. Ses yeux écarquillés brillaient intensément.
— Tu ne peux pas continuer à faire semblant de ne pas vouloir être avec moi.
Si. Même si, au fond de moi, je savais qu’il avait raison, j’allais essayer. Je voulais qu’il me désire pour ce que j’étais réellement, pas parce qu’on était coincés ensemble ou parce qu’on était soi-disant connectés. J’avais toujours apprécié les  « parties de sa personnalité qu’il ne révélait à personne. Ce Daemon-là… j’aurais pu en tomber amoureuse. Mais il ne restait jamais longtemps à la surface, repoussé par son sens des responsabilités auprès de sa famille et de sa race. Attristée par cette pensée, je pinçai les lèvres.
— Je ne fais pas semblant, lui dis-je.
Il sonda mon regard.
— Tu mens.
— Daemon.
Il posa les mains sur mes hanches et m’attira doucement à lui. Son souffle souleva mes cheveux autour de mes tempes.
— Si je voulais être avec toi, tu ne me rendrais pas les choses faciles, pas vrai ?
Je levai la tête.
— Tu ne veux pas être avec moi.
Un léger sourire se forma sur ses lèvres.
— Moi, je crois que si.
Certaines parties de mon corps apprécièrent sa réponse. Ma poitrine se gonfla. Mon ventre se serra.« — « Croire », ce n’est pas « savoir ».
— Non, c’est vrai, mais c’est un début. (Il baissa les paupières, ses cils dissimulant ses yeux.) Non ?
Repensant à l’amour qui avait lié mes parents, je me libérai en secouant la tête.
— Ça ne suffit pas.
Daemon me regarda dans les yeux avant de soupirer.
— Tu vas vraiment me compliquer la tâche…
Je ne répondis pas. Je le dépassai et me dirigeai vers la porte. Mon cœur battait la chamade.
— Kat ?
Je pris une longue inspiration et me retournai vers lui.
— Quoi ?
Il souriait.
— Tu as conscience que j’adore les défis ?
Riant doucement, je fis volte-face en lui adressant un doigt d’honneur.
— Moi aussi, Daemon. Moi aussi. »

Extrait de: Jennifer L. Armentrout. « Lux - Tome 1 - Obsidienne. » iBooks.
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« Jenna et Archer ont échangé un regard.
– Pourquoi voudrais-tu qu’on se sépare ? a questionné Jenna.
– Parce que… Écoute, je ne peux pas vous demander de rester. Jenna, tu as Vix, et toi Archer, tu as… Qu’est-ce qui te pousserait à rester ?
– Toi, a-t-il répondu d’un ton ferme. Et une bande de chevaliers de Dieu qui veulent ma peau.
– Vix pourra me rendre visite, a rétorqué Jenna. Et l’école sera un endroit plus agréable. Y passer un an de plus me semble supportable, même si la nature n’est pas vraiment réjouissante à voir.
Je leur ai montré l’herbe verdoyante autour de l’étang, et j’ai ri.
– Nous n’avons pas à nous faire de souci pour l’île. On est en train de la soigner.
– Dans ce cas, c’est décidé, a déclaré Jenna. Vix viendra en visite, l’île finira par avoir meilleure mine, et je ne te quitterai plus jamais.
– Oui, et il faudra rester vigilants vis-à-vis de L’Œil, et je vais certainement être obligée de lire plein d’ouvrages rasoir pour apprendre à diriger le Conseil et…
La bouche d’Archer s’est plaquée sur la mienne et il m’a fait taire un instant.
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ÉPILOGUE
Ils jouent dans le Pré tous les deux. La fillette brune aux yeux bleus gambade devant. Le garçon aux boucles blondes et aux yeux gris s’efforce de la suivre en trottinant sur ses jambes dodues. Il m’a fallu cinq, dix, quinze ans avant d’accepter. Mais Peeta en avait tellement envie. Quand je l’ai sentie remuer en moi pour la première fois, j’ai d’abord éprouvé une peur panique vieille comme le monde, que seul le bonheur de la tenir entre mes bras a su calmer. Le porter, lui, a été un peu plus facile, mais pas beaucoup.
Ils commencent à peine à poser des questions. Les arènes ont été rasées, on a érigé des monuments du souvenir, les Hunger Games n’existent plus. Mais on leur en parle à l’école, et la fillette sait que nous y avons joué un rôle. Le garçon l’apprendra dans quelques années. Comment leur parler de ce que nous avons connu sans les terroriser à mort ? Mes enfants, qui prennent pour argent comptant les paroles de la chanson :
Sous le vieux saule, au fond de la prairie, L’herbe tendre te fait comme un grand lit Allonge-toi, ferme tes yeux fatigués, Quand tu les rouvriras, le soleil sera levé Il fait doux par ici, ne crains rien
Les pâquerettes éloignent les soucis Tes jolis rêves s’accompliront demain Dors, mon amour, oh, dors, mon tout-petit.
Mes enfants, qui ne savent pas qu’ils jouent sur un cimetière.
Peeta dit que tout ira bien. Nous sommes ensemble. Et nous avons le livre. Nous saurons leur expliquer d’une manière qui les rendra plus courageux. Mais un jour, il faudra bien leur parler de mes cauchemars. D’où ils me viennent. Pourquoi ils ne s’effaceront jamais complètement.Je leur apprendrai comment je survis. Je leur dirai que certains matins, je n’ose plus me réjouir de rien de peur qu’on me l’enlève. Et que ces jours-là, je dresse dans ma tête la liste de tous les actes de bonté auxquels j’ai pu assister. C’est comme un jeu. Répétitif. Un peu lassant, même, après plus de vingt ans.
Mais j’ai connu des jeux bien pires.
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« Et avant que Tara et Cal ne puissent protester, inquiets de ce qu’elle venait de révéler, AutreMonde disparut, alors que ses derniers mots flottaient en l’air.
— Et voici mon cadeau d’adieu, Tara ! Je te la rendrai lorsque tu en auras besoin.
Tara sentit comme un changement dans son corps. Comme si, soudain, il lui manquait quelque chose.
Puis elle comprit.
— Cal, fit-elle avec un grand sourire. Éteins ton hor et renvoie Blondin, s’il te plaît.
 »
Cal obéit, ses grands yeux gris pleins d’interrogation, pendant que Tara disait à Galant d’aller dormir ailleurs pour la nuit.
Puis elle se coula dans les bras de Cal et l’embrassa avec un abandon qu’il ne lui avait jamais connu. Jusqu’à présent, elle gardait toujours plus ou moins le contrôle sur elle et sur sa magie, mais là, elle ne se retint en rien, sauvage, douce et merveilleuse à la fois.
Un peu inquiet lui aussi, quand même, Cal ouvrit un œil, mais Tara ne luisait pas, et son pouvoir ne se manifestait en rien.
Il recula, émerveillé.
— Tara ?
— Chhhhhhhut, fit la jeune fille tout aussi émerveillée. Aime-moi maintenant et prie juste pour une seule chose.
— Laquelle ? murmura le jeune homme contre sa bouche.
— Prie pour que toutes ces planètes aient bon caractère !
 »

Extrait de: Sophie Audoin-Mamikonian. « Tara Duncan - Tome 12 - L'ultime combat. » iBooks.
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