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Ouïghours, pour en finir avec les fake news



Description ajoutée par Ptitelune 2021-05-09T19:49:46+02:00

Résumé

Vous avez aimé les fake news sur la trahison du capitaine Dreyfus, les charniers de Timisoara en Roumanie, le contenu de la fiole de Colin Powell à l’ONU, les couveuses débranchées au Koweït, le réseau de pédophiles d’Outreau, le nuage de Tchernobyl à nos frontières, l’arrestation de Dupont de Ligonnès en Écosse, l’invasion de l’hôpital de la Salpêtrière par les Gilets Jaunes ?

Vous allez détester ce livre.

Maxime Vivas qui s’est rendu deux fois au Xinjiang, démonte la fable du « génocide » ouïghour. Il révèle quels en sont les prosélytes et leurs liens avec la CIA. Il pointe nos médias, passés directement de « Venezuelââââ ! » à « Ouïghouûûûûrs ».

Il nous dit les mensonges, les photos truquées, les faux témoignages. En s’appuyant sur des déclarations de l’ONU, de sommités de l’OMS et sur une enquête in situ de la Banque mondiale, il prétend que le Xinjiang n’est pas l’Europe sous la botte nazie : dénonciations, otages, destructions de lieux du culte, arrestations, déportations, camps de concentration, tortures, mutilations des enfants, viols, disparitions, exécutions, crémation, génocide (la population ouïghoure, qui a plus que doublé en 40 ans, continue à croître plus vite pendant le « génocide » que celles des autres régions chinoises). En vérité, cette région autonome, grande comme trois fois la France, s’arrache à son retard et à la pauvreté avec le concours de la Chine tout entière : aides financières, discriminations positives pour les étudiants passant des examens, formations professionnelles, apprentissage de la langue nationale (le mandarin) dans des centres de formations professionnelles et éducatifs, sans qu’aucune des cinquante-six ethnies du Xinjiang ne soit contrainte à renoncer à sa langue, sa culture, ses croyances ou ses incroyances.

En même temps, Beijing mène une lutte sans merci contre les « trois fléaux » (fondamentalisme, séparatisme, terrorisme) attisés par des fanatiques islamistes dont des milliers se sont formés en Syrie avec Al-Qaida et dont l’objectif est d’instaurer sur un sixième du territoire chinois un califat indépendant où la loi de la République ferait place à la Charia.

source : Editions La route de la soie

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extrait

En 2016, au Xinjiang, j'ai demandé un jour à mon interprète de poser une question à un ouvrier sur son poste de travail. Las ! il ne parlait que le Ouïghour ! Il a fallu qu'une journaliste Kazakhe, qui parlait le Ouïghour, pose la question, traduise la réponse en mandarin pour que mon interprète la traduise en français. On frisa le "cadavre exquis". Je ne serais pas choqué que dans une Chine, dont toutes les régions seraient ouvertes au monde, on apprenne aux citoyens à parler aussi et d'abord la langue du pays. C'est un choix que la France a fait, jadis.

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