Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
720 614
Membres
1 040 703

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Les extraits appréciés par Pantherea

Je m'approche seul du plan de travail résigné à me debrouiller par mes propres moyens aujourd'hui, et cette idée m'a a peine traversée l'esprit que je vois apparaitre Sarah.

<< J'ai raté quelque chose de bien? Demanda-t-elle

- Environ dix supers minutes avec moi >>, je reponds avec un sourir

Afficher en entier

"-Tu savais que la fin du monde est censée se produire le 21 Decembre 2012 ?"

Sam acquiesce avec un grand sourire.

"-Ouais, il parait. C'est la date d'expiration de la Terre, si on en croit le calendrier maya."

Je décide de faire un peu le malin.

"-La date d'expiration ? Comme sur une brique de lait, genre "à consommer avant le" ? Est-ce que la Terre va tourner... comme le lait, je veux dire ?"

Je suis trop content de ma blague, mais je ris tout seul, parce que ni Sam ni Henri ne me prêtent la moindre attention.

Afficher en entier

— Tu n’as pas besoin de t’en faire un ennemi.

La petite boule s’éleva, redescendit, puis s’éleva encore dans sa main. Cela me fascinait, comme un chien devant sa baballe.

— De toute façon, il ne m’aime pas.

— Peut-être, mais ce n’est pas la peine d’en rajouter une couche.

Son ton commençait à me taper sur les nerfs.

— Et toi, tu vas cesser de dormir dans ma chambre. Tu en as une à toi.

Il sourit.

— Je le sais, je la vois suffisamment. Mais je préfère ton lit. Il sent meilleur.

Je fis la grimace.

— Ah oui ? Et le tien, il sent quoi ? L’amertume et la frustration ?

Seth gloussa.

— Partout où tu dors, il y a ton odeur.

— Par les dieux, c’est le truc le plus flippant que j’aie entendu depuis longtemps. Et… ce n’est pas peu dire, Seth.

— Tu sens les roses et l’été.

Il fit rebondir sa boule d’énergie un peu plus haut.

— J’aime ton odeur.

— Je sens l’été ? m’étouffai-je. L’été ? Tu es sérieux ?

— Oui, la chaleur. Ton odeur est toujours ensoleillée.

Afficher en entier

Je ne suis pas rancunière, mais… commencé-je.

Mane se met à rire, faisant rebondir ma tête sur son épaule.

— Tu es la personne la plus rancunière de l’Yggdrasil, déesse !

— C’est vrai… Pardon encore pour l’eau froide dans la douche ce matin, dis-je.

Sa main s’enfonce dans mes cheveux, qu’il serre dans son poing en grognant sans pour autant me faire mal. Et c’est moi la plus rancunière !

— C’était toi ! Espèce de garce ! ricane-t-il.

— Je t’avais dit que je voulais le dernier beignet…

Afficher en entier

— Ma déesse… chuchote-t-il.

— Je t’aime tant… dis-je sans le quitter des yeux.

Il se penche et dépose ses lèvres sur les miennes. Il les caresse des siennes puis se redresse.

— Je t’aime plus que la nuit aime la lune, dit-il.

Je souris puis fronce les sourcils quand je pense avoir compris pourquoi il accompagne sa réponse d’un air amusé.

— T’es en train de dire que tu m’aimes plus que je ne t’aime ? interrogé-je, suspicieuse.

Il se met à rire, et je le repousse.

Afficher en entier

– Des rations de combat ? je grimace.

– Je ne sais pas cuisiner. On nous livre des barquettes scellées préparées par un chef dans nos appartements, mais il n’y en a pas ici. C’est pratique les rations.

Je n’ai pas l’intention de jouer la précieuse pour le décevoir quand il souhaite s’occuper de moi, alors je m’assieds à ses côtés en grommelant que ça ira très bien. Je déteste les conserves, civiles ou militaires. Certains de mes camarades se régalaient avec nos rations sur le terrain, il n’y a pas moyen en ce qui me concerne. Même les pâtes de fruits, je n’aime pas. Au moment des repas, je comptais beaucoup d’amis, tous très intéressés pour piocher tout ce que je ne voulais pas.

Je suis affreusement pénible pour tout ce que je dois manger depuis ma naissance, je rendais mes parents fous. Ceci pour vous expliquer l’ampleur de mon mensonge et le calvaire qui m’attend pour avaler ça devant lui en donnant l’impression de me délecter. Il m’aurait préparé des salsifis bouillis, ça aurait été pareil.

Malgré tout, j’ingurgite chaque bouchée en dissimulant mon dégoût pour ne pas le froisser, je me hâte pour abréger cette épreuve gustative. De son côté, il engloutit son plat en trois coups de fourchette avec enthousiasme.

Mais comme cette journée extraordinaire finit de façon merveilleuse ! Vraiment !

.....

Je marque des points en prenant soin d’elle. Ou plus exactement, j’en regagne. Maintenant, elle sait que je me préoccupe de son bien-être. En plus, elle aime mon repas. Je ressens une grande satisfaction à la voir engloutir rapidement le contenu de son assiette. Ou de sa boîte, c’est pareil. Puisque cela lui fait plaisir, je vais lui en préparer plus souvent, elle appréciera mes efforts.

Afficher en entier

« Jamais de ma vie je ne m’étais sentie si seule.

Rogan s’interposa entre moi et les autres. Je captai quelque chose dans son regard. Quoi que ce puisse être – de la fierté, de l’admiration, de l’amour ? – je m’y accrochai comme à une bouée de sauvetage. Lui comprenait. À un moment de sa vie, il s’était retrouvé dans la même posture, tandis que les gens le contemplaient avec horreur. Et il avait dû se sentir bien seul car voilà qu’à présent il se plaçait devant moi pour faire bouclier contre leur jugement.

— Tu es fantastique, me dit Connor Rogan avec un sourire. »

Afficher en entier

« Au moment de franchir le seuil de mon bureau de l’autre côté du couloir, je crus que ma tête allait exploser. Une page d’un magazine de mariage était scotchée sur la porte en verre. Elle représentait une femme vêtue d’une robe extraordinaire façonnée à l’aide de longues plumes blanches. Quelqu’un – sans doute Arabella – avait imprimé l’un de mes selfies et découpé ma tête pour la coller par-dessus celle de la mariée. Un grand cœur dessiné au feutre rose et saupoudré de paillettes décorait la robe. À l’intérieur, quelqu’un avait écrit : N+R = AMÛR. Des petits cœurs roses flottaient tout autour de mon visage.

Excellente manière de faire bonne impression. J’aurais voulu disparaître sous terre.

De l’autre côté de la porte, j’aperçus une autre photo de mariée, décorée cette fois de symboles de dollar pailletés, qui m’attendait sur mon bureau. Sur la robe de la jeune mariée, de grosses lettres majuscules tracées de la main très sûre de Catalina épelaient : « Épouse-le. On a besoin d’argent pour l’université. »

J’allais devoir tordre le cou de mes sœurs. Il n’y avait pas d’autre solution. Aucun jury sur terre ne me condamnerait pour ça. Même en me passant d’avocat, je serais acquittée. »

Afficher en entier

« Rogan se radossa sur son siège.

— C’est affreux quand on lui rappelle qu’il est humain, me dit Augustin. Il ne sait pas comment le gérer. Dis-toi un truc, Connor : un jour, tu pourrais devenir père et avoir une fillette de ce genre rien qu’à toi.

Rogan le regarda comme si quelqu’un venait de lui vider un seau d’eau glacée sur la tête.

L’occasion était trop belle.

— J’en doute, dis-je. Il ne se mariera jamais. Il restera dans sa maison pour ruminer ses pensées solitaires, pleines de cynisme et d’amertume.

— Tout ça au milieu de piles de billets de banque et de jouets high-tech, ajouta Augustin. Comme une sorte de superhéros mélancolique.

Qui l’eût cru ? Augustin avait le sens de l’humour. 

— Peut-être devrions-nous investir dans un projecteur géant avec un R comme Rogan dessus…

Rogan piocha dans son portefeuille pour en sortir deux billets d’un dollar. Il fit glisser le premier vers moi et l’autre vers Augustin.

— Tenez. Ça me fend le cœur de voir des comiques sans le sou, dit-il.  »

Afficher en entier

Il tendit la main vers moi.

Je me crispai.

Ses doigts s'approchèrent si près des miens que je crus un moment que nous nous touchions. Il prit la moitié restante de mon cookie et le contempla.

- C'est à moi, lui dis-je.

- Mmm.

- Il y a un pot entier de biscuits.

Quelque chose s'alluma dans son regard.

- C'est celui-ci que je veux.

- Vous ne pouvez pas l'avoir. Rendez-le moi, rétorquai-je, la main tendue.

Il examina le cookie puis le porta lentement à sa bouche.

- Connor, je vous préviens...

Il mordit le biscuit et se mit à mâcher.

- Je vous ai pris votre cookie et je l'ai mangé. Vous comptez faire quelque chose en retour ?

Je jouais avec le feu. Très bien. S'il mangeait mon cookies, je boirais sa boisson. Je fis mine de prendre son café. La tasse glissa hors de portée pour se positionner à côté de lui.

- Ce n'est pas fair-play.

- Il n'est pas question de fair-play mais de délicieux cookies.

Afficher en entier

42 résultats

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode