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Les extraits appréciés par VioletteLili

Ren, Messager des Dieux, uni à un inconnu nymphomane et pas commode, magicien débutant, pyromane à ses heures.

Y avait pas à dire...ça faisait une sacrée carte de visite.

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— Caïn ! Je ne sais pas quoi faire !

— Arrête-la !

Arrête-la, arrête-la… Il en avait de bonnes ! Je devais peser soixante kilos tout mouillé, contre une bête de deux mètres de haut et d’au moins cent vingt kilos !

Avec quoi voulait-il que je l’arrête au juste !? Mon sens de l’humour ?!

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Ses sentiments s’étaient éveillés peu à peu. Discrètement. Comme des étoiles dans la nuit. Ils avaient constellé son monde et chassé de leur lumière les ombres.

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« — Tu me rends fou, Elijah, halète-t-il.

Des milliers de frissons courent sur mon épiderme.

— Je te protégerai, je réponds, sûr de moi. Tu ne retourneras jamais là-bas, j’en fais le serment. On va trouver une solution.

Pour toute réponse, il accentue la pression pour me serrer contre lui. Éreinté par nos ébats et mes sentiments dévastateurs, je sombre peu à peu dans les bras de Morphée. À peine conscient, j’entends au loin :

— Il n’en existe qu’une. Je t’aime, Elijah. Jusqu’à ce que la mort nous sépare. »

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Je l'aime, je voudrais pouvoir l'ensorceler et lui faire comprendre qu'il se trompe.

Poser mes mains sur lui et faire disparaître ses frayeurs.

Qu'il me voit comme un ange et pas comme son démon.

Mais ça ne sera bien entendu jamais le cas. Tout ce que je peux faire, c'est suivre ses volontés. S'il a besoin de moi, je serai là. Mais il préfère m'éjecter de sa vie, alors, je m'efface. C'est justement parce que je l'aime que je veux le savoir plongé dans la vie à laquelle il aspire. Même s'il ne m'inclut pas dans son paysage.

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« Je fonçai vers les vagues, attrapant ma planche au passage et me jetai aussitôt dans l’eau.

Il y eut d’autres flashs.

Des voix qui m’encouragèrent.

Des regards braqués sur moi.

Des rires et des sourires.

Je me contentai de redevenir moi. De reprendre possession de mon corps. De quitter le monde dans lequel Aidan m’avait enfermé.

J’étais Lill.

Juste ça.

J’étais moi.

Amoureux de lui.

Oui, j’en étais fou. Complètement malade. C’était gravé dans ma peau, dans ma chair. C’était irrémédiable, irrévocable. Définitif. Et sans appel.

Le couperet de la justice venait de tomber.

J’étais condamné »

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MEGHAN,

Je ne crois pas que cette lettre t’arrive jamais —j’espère qu’elle ne t’arrivera jamais — mais je l’écris quoi qu’il en soit. Parce qu’il faut que tu saches ce que j’ai essayé; que le serment que je t’ai fait n’a pas été fait en vain, que mes dernières pensées, mes derniers sentiments, mes derniers rêves, tout — étaient pour toi.

Meghan Chase. Ma Reine de Fer. Je hais cette distance qui nous sépare maintenant. Savoir que tu es si proche, juste là dans le Pays de Nulle Part, et que je ne peux pas te voir, je ne peux pas te toucher, est une torture. J’aimerais tant que ce soit quelque chose que je peux combattre; plonger mon épée dans son cœur et le regarder mourir, mais vouloir quelque chose, même désespérément, ne le rend pas possible pour autant. Ce qui m’amène au point cr ucial de cette lettre.

Je ne vivrai pas sans toi. Je le savais quand j’ai fais ce serment sous l’arbre de Machina. Si tu étais morte — et ma main tremble un peu en écrivant ce mot — j’aurais poursuivi ton esprit à travers l’univers, jusqu’à l’endroit où ton âme se serait arrêtée pour se reposer, et j’aurais demandé aux gardiens des portes de me laisser te voir une dernière fois. Mais toi, ma Meghan obstinée, indocile, tu as survécu, ce qui rend ma tache bien plus facile. Demain, je commencerai mon voyage pour honorer mon serment; je trouverai un moyen d’être avec toi, et je ne m’arrêterai pas avant d’avoir réussi ou de mourir.

Si je réussis ma quête, alors, tu ne verras jamais cette lettre. J’espère que cette lettre ne verra jamais la lumière du jour. Toutefois, si tu la lis aujourd’hui, cela voudra dire que j’ai manqué à mes engagements envers toi. Et, si je le connais aussi bien que je le crois, Puck t’apportera cette lettre. Je sais qu’il t’aime profondément, et s’il trouve un moyen là où j’ai échoué, de survivre dans le royaume de fer sans danger, alors tu ne trouveras personne de mieux que Robin Goodfellow. L’éternité est un long moment à passer seul, Meghan. Même si je n’arrive pas à lui pardonner ce qu’il a fait, je ne m’opposerai pas à ton bonheur avec quelqu’un d’autre, même Puck. Particulièrement Puck.

Et donc, comme j’arrive à la fin de cette lettre, je ne dirai qu’une seule chose. Je t’appartiens. Pour toujours. Mon voyage peut m’entrainer loin, plus loin que je ne suis jamais allé dans le Pays de Nulle Part, et ce que je recherche peut très bien être impossible à trouver. Mais sache que je n’abandonnerai jamais, et qu’à chaque étape de ce chemin, Je penserai à toi. Je suis tien, Meghan, mon amour. Je serai toujours ton chevalier.

FIDELEMENT,

—ASH

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