Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
724 520
Membres
1 051 637

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Les extraits appréciés par Zorgloub

Certes il y a dans ma maison toutes les choses inutiles. Il n'y manque que le nécessaire, un grand morceau de ciel comme ici. Tâchez de garder toujours un morceau de ciel au-dessus de votre vie.

Afficher en entier

Je me sentais engourdi de sommeil, car le sommeil diurne est comme le péché de la chair : plus on en a eu, plus on en voudrait, cependant qu'on se sent malheureux, rassasié et insatiable en même temps.

Afficher en entier

Je voudrais te remercier. Je suis là, debout devant toi, debout devant ton cercueil, en esprit puisque je n'y suis pas réellement - tu l'auras compris - nous sommes séparés par le temps et l'espace - et je te salue, une dernière fois. Je t'écris pour te dire que je t'aime. Et ma main tremble pendant que j'esquisse sur le bout de papier blanc, une toute dernière fois, les mots tant chéris, tant repris et exaltés comme dans une lettre à l'absent : Cher Grand-père...

Puisses-tu entendre ces mots qui se perdent dans le silence et l'oubli. Je t'écris d'ici et d'ailleurs, de ce monde qui n'est plus le tien, de cette terre qui devient tombeau, du printemps que tu ne verras plus et des feux de brousse congolais qui s'embrasent pour la saison sèche sans que tu ne le saches jamais. Je suis ce que tu fus. Je serai ce que tu es. Mais avant, entends ma complainte. C'est une prière que je fais tous les matins. Je la répète aujourd'hui pour toi. Je n'ai pas toujours été des plus présents. N'ai pas souvent appelé non plus. Du jour où je suis arrivé en France, j'ai posé un voile sur mon passé et sur tout ce qui pouvait m'y ramener. Puisqu'il fallait à tout pris oublier. J'ai jeté un voile sur toi, Grand-père. Je m'en excuse. Te demande pardon.

Afficher en entier

Passer des vacances à quatre-vingts kilomètres de toute ville c'est alimenter le songer, ouvrir la porte aux contes, parler avec le vent, écouter la nuit, prendre langue avec les bêtes, nommer les nuages, les étoiles, les fleurs, les herbes, les insectes et les arbres. C'est donner à l'ennui sa raison d'être et de durer.

Afficher en entier

Vous n'êtes pas effrayés d'être si nombreux à n'être personne ?

Afficher en entier

Les romans vous donnent une idée tout à fait fausse de la vie, ils racontent des bobards et laissent entendre qu'il y a un dénouement, alors qu'en réalité il n'y en a pas : ça n'en finit jamais

Afficher en entier

Le temps est un voleur, il vous dépouille de votre vie et la seule façon de la récupérer, c'est de jouer au plus malin avec lui et de la lui reprendre.

Afficher en entier

« Je chante la joie d’errer et le plaisir d’en mourir. »

Afficher en entier

"Où sont-ils ces beaux militaires

Soldats passés où sont les guerres

Où sont les guerres d'autrefois "

Afficher en entier

L'atmosphère était si humide que les poissons auraient pu entrer par les portes et sortir par les fenêtres, naviguant dans les airs d'une pièce à l'autre.

Afficher en entier

155 résultats