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Une épopée vaste et multiple, un mythe haut en couleur plein de rêve et de réel. Histoire à la fois minutieuse et délirante d'une dynastie : la fondation, par l'ancêtre, d'un village sud-américain isolé du reste du monde ; les grandes heures marquées par la magie et l'alchimie ; la décadence ; le déluge et la mort des animaux. Ce roman proliférant, merveilleux et doré comme une enluminure, est à sa façon un Quichotte sud-américain : même sens de la parodie, même rage d'écrire, même fête cyclique des soleils et des mots.
Cent ans de solitude compte parmi les chefs-d’œuvre de la littérature mondiale du XXe siècle. L'auteur a obtenu le prix Nobel de littérature en 1982.
10 fois, peut être plus, et je ne m'en lasse pas... Le deuxième livre qui ne me quitte pas...Ce livre est universel, évoque l'air de rien des thèmes qui aujourd'hui encore peuvent être important.... GGM m'a fait voyagé, dans son monde, dans l'Amérique du Sud qu'il aime tant et jamais je n'oublierai que c'est aussi lui qui m'a donné envie d'écrire !
Au travers de ce livre, c'est plusieurs tranches de vie d'une famille, entourée de féerie et de moments improbables d'un imaginaire débordant de l'écrivain.
Il faut rentrer dans cet univers particulier, qui est aussi associé à des éléments concrets du quotidien, pour voyager au travers de ce livre, sans quoi ce ne sera qu'un récit lourd et dense. D'autant plus que la confusion est facilement présente, du fait que de nombreux personnages portent le nom de leur prédécesseur, dont on a déjà suivi les actions, et qui ressurgissent dans les mémoires des personnages régulièrement.
Bon, j'aurai voulu éviter le jeu de mots facile qui consiste à dire que c'est surtout le lecteur qui subit 100 ans de solitude, car à aucun moment je ne suis parvenue à entrer dans cette fresque cosmogonique. Cela est sans doute très riche d'enseignements, mais il faut croire que je suis totalement passé à côté de cette tentative de mythologie de l'humanité (la magie, la guerre, la modernité, l'amour etc...) et l'humour de l'auteur tant vanté ne m'a pas sauté aux yeux (peut-être un problème de traduction?). Achever ce livre fut une épreuve.
Avec tous les commentaires sur ce livre, je m'attendais vraiment à un chef d'oeuvre, c'est peut-être à cause de cela que j'ai été vraiment déçue. Ce roman est certainement riche en émotions et en évènements mais je n'ai pas accroché, un sentiment ressort: l'ironie du sort.
Beaucoup d'événements sont racontés dans ce roman, Macondo part de rien et finit par Spoiler(cliquez pour révéler)ne plus rien être. Quand à la famille Buendia, qui rassemble de plus en plus de membres, marqués à vie par les implications de leur prénom qui définira leur caractère et prédira leurs actions. On ressent depuis le début, et surtout à la fin, que l'intrigue est parfaitement ficelée : l'auteur sait où il veut nous emmener.
Quand à l'écriture de ce roman, elle est fluide et addictive, mais surtout très belle et chargée d'enseignements.
Je me suis un peu perdue avec les personnages qui héritaient tous du nom de leurs ancêtres. J'arrivais à garder plus ou moins en tête qui était l'enfant de qui, mais pour certains j'avais totalement oublié. En revanche, c'est facile de savoir qu'ils sont de la même famille. D'ailleurs, je suppose que c'est volontaire de la part de l'auteur. Comme cela est mentionné plusieurs fois dans le livre, l'histoire se répète, le temps tourne en rond. Donc tous ces personnages revivent plus ou moins ce qu'ont vécu leur ancêtre. J'ai beaucoup aimé le mélange de réalisme et de fiction qui s'entremêlaient. C'est la première fois que je lis un tel livre donc c'était nouveau pour moi et j'ai tout de suite accroché.
A aucun moment je ne suis parvenu à entrer dans cette fresque cosmogonique. Cela est sans doute très riche d'enseignements, mais il faut croire que je suis totalement passé à côté de cette tentative de mythologie de l'humanité (la magie, la guerre, la modernité, l'amour etc...) et l'humour de l'auteur tant vanté ne m'a pas sauté aux yeux (peut-être un problème de traduction?). Achever ce livre fut une épreuve.
C'est ardu au début, on se perd dans les noms des personnages, on revient sur ses pas, on s'agace, mais on continue parce que la magie de l'écriture est trop forte et parce qu'on découvre cent pépites au détour de chaque page. Je viens de le relire (ma première lecture date d'il y a une dizaine d'années) et, comme à chaque fois, c'est un grand choc. Maintenant que je l'ai dévoré en entier (j'avoue que je m'y suis prise en plusieurs fois) et que je le connais (presque) par coeur, je peux me payer le luxe de sauter des pages et d'aller droit aux meilleurs morceaux. Je lis et relis certains passages, certaines phrases, et je découvre encore des hypertextes, des références littéraires et des figures de styles qui m'avaient échappées. Je reviens dix fois sur des extraits, juste pour avoir ce petit frisson de plaisir que seuls les monuments de la littérature peuvent nous donner.
Les membres de cette famille devraient s'assoir et parler. Blague à part, Cent ans de solitude est une œuvre qu'il faut digérer. La grande Histoire de la famille Buendia et du village de Macondo étant très riche et très détaillée.
La première chose qui m'a frappée, c'est la densité du livre. Les évènements se succèdent rapidement, et les chapitres couvrent souvent des périodes de plusieurs mois voire années . Comme certains l'ont déjà dit, il s'agit pratiquement d'un récit fondateur, dont la construction pourrait faire penser à un livre de la Bible Spoiler(cliquez pour révéler)ce qu'on voit par exemple avec les prophéties du gitan Melquiades. Je pense que l'une des forces du livre est que je ne me suis jamais trop sentit perdu, le passage du temps étant bien rendu et les mésaventures de cette famille sur plusieurs générations étant passionnante à suivre !Spoiler(cliquez pour révéler)Sauf le fait que la plupart des hommes de la famille s'appelle soit José Arcadio ou Aureliano, heureusement que l'auteur leur donne des surnoms comme Aureliano le deuxième pour qu'on s'y retrouve.
Beaucoup d'évènements historiques de la Colombie vont se dérouler sous nos yeux. Mais faisant partie du mouvement du réalisme magique, l'auteur va insérer des éléments merveilleux qui paraissent presque normal pour les personnages. De ce fait, je pense que c'est l'un des classiques les plus étranges que j'ai pu lire, certains moments où je me suis demandé ce qui se passait" Spoiler(cliquez pour révéler)typiquement, le moment où Remedios la Belle monte au ciel comme une sainte biblique. C'est ce qui fait le charme du roman, et étant principalement amateur de littérature jeunesse, ça m'a plaisir de voir des éléments merveilleux dans un ouvrage de ce genre.
En fin de compte, c'est un récit sur le temps cyclique et des personnages plongeant dans une lente et terrible solitude. Spoiler(cliquez pour révéler)On le voit principalement avec ces vieillards s'enfermant sur eux même comme le colonel Aureliano passant la fin de ses jours à faire des poissons dorées . C'est très parlant et assez universel. Bien sûr, c'est une œuvre très mélancolique qui évoquera des choses chez toutes personnes s'y plongeant..
Je pense que c'est l'un des classiques les plus accessible (l'écriture est assez poétique ce qui rend la lecture plus fluide pour moi), et assurément l'un des romans incontournable du XXe à lire. Ce ne sera pas l'un de mes livres préférés, mais l'un qui me restera en mémoire c'est sûr.
Le roman est bien. Malheureusement je n'ai pas été au bout et n'ai lu que 30 % du livre...
Ce qui m'a rebuté je pense c'est le fait que le livre soit très dense. Les descriptions sont peu détaillées et on passe rapidement d'un passage à une autre.
Résumé
Une épopée vaste et multiple, un mythe haut en couleur plein de rêve et de réel. Histoire à la fois minutieuse et délirante d'une dynastie : la fondation, par l'ancêtre, d'un village sud-américain isolé du reste du monde ; les grandes heures marquées par la magie et l'alchimie ; la décadence ; le déluge et la mort des animaux. Ce roman proliférant, merveilleux et doré comme une enluminure, est à sa façon un Quichotte sud-américain : même sens de la parodie, même rage d'écrire, même fête cyclique des soleils et des mots.
Cent ans de solitude compte parmi les chefs-d’œuvre de la littérature mondiale du XXe siècle. L'auteur a obtenu le prix Nobel de littérature en 1982.
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