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Que la guerre est jolie



Description ajoutée par x-Key 2018-01-17T12:51:56+01:00

Résumé

La ville de Larmon, située à une heure de Paris, est dirigée par un maire plein d'ambition qui a de grands projets immobiliers. Il veut convertir l'ancien quartier ouvrier où l'usine Vinaigrier faisait vivre toute une communauté, en un ensemble résidentiel haut de gamme. Mais les gens qui continuent d'habiter le quartier ne l'entendent pas de cette oreille. Pas plus que les artistes qui ont investi l'usine pour leurs performances et installations d'art contemporain. Alors la municipalité va recourir à des pratiques illégales pour faire déguerpir les habitants. Tout est bon: chantage, menace, incendies criminels... Meurtre. Mais pour cela, il faut des voyous, des bandits, des gens qui ne reculeront devant rien.

(Source : Rivages)

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Classement en biblio - 6 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Julitlesmots 2018-07-06T15:08:32+02:00

Depuis quelques temps, j’ai une envie de partager autre chose qu’un simple retour de lecture.

Cibler un extrait permet de dégager un passage qui me parle plus qu’un autre.

Je pourrais le faire lorsque je publie mon avis, mais comme j’aime faire les choses différemment et que j’ai envie de mettre en lumière un extrait particulier, j’inaugure une nouvelle rubrique sur le blog, sous cette bannière

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Julitlesmots 2018-07-06T14:38:27+02:00
Or

Bizarre ce titre ? Un peu… Intriguant ? Beaucoup…

La référence à Guillaume Apollinaire est le fil conducteur de cette intrigue ancrée dans notre présent.

« Ah Dieu ! que la guerre est jolie Avec ses chants, ses longs loisirs. »

Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918), Calligrammes, « L’Adieu du cavalier » (1918)

Ancienne ville ouvrière, Larmon se retrouve au centre d’un imbroglio qui oscille entre le grand banditisme, les petites frappes et des politiciens véreux, en passant par les barbus qui souhaitent en faire leur terrain de jeu…

Une réalité sociale et urbaine qui déroute, que l’on connaît, mais que l’on ne souhaite pas nécessairement approfondir, histoire de ne pas avoir envie de vomir… Une intrigue bien dans son temps, sans concession et armée d’une plume vive et visuelle.

Dès le premier chapitre on sait qu’on part en guerre… Mais une guerre qui aura un sens différent pour chacun des protagonistes. Une guerre, une lutte de tout les instants pour tenter de sauver ce qui peut l’être ou détruire ce qui doit l’être…

Les tranchées sont à nos portes, sont au cœur de Larmon et pas seulement un vague rappel historique. Elles ont juste changé de visages et ceux qui les creusent ne le font pas pour les mêmes raisons…

Avec une plume âpre, l’auteur trace la route de ses personnages qui naviguent dans une réalité déconcertante. Sous couvert d’un polar, leur quotidien est décrit avec une rare sincérité, empreinte d’empathie.

On sent le vécu, la noirceur des êtres qui ne pensent qu’au profit, qui ne pensent qu’à assoir leur suprématie au détriment des gens simples qui ne demandent qu’une chose, qu’on leur foute la paix. Mais la paix n’est qu’un souhait… Que certains tuent dans l’œuf histoire de bien exploser tout le monde.

Les personnages sont très bien travaillés, permettant au lecteur de s’identifier ou d’identifier les comportements, les propos de chacun. Chacun a la parole, qui se veut crue et sans détour. Leurs combats, leurs envies, leurs idéaux sont palpables, sans aucun jugement de l’auteur qui se contente de décrire avec une certaine empathie le quotidien d’une ville en décrépitude, mais dont les habitants souhaitent faire un nid douillet pour certains, une terrain de jeu ou une zone de guerre pour d’autres…

La lecture est parsemée de souvenirs de guerres, d’Irak, de Syrie… Comparaison fort bien à propos avec Larmon. Même si le pari est osé, l’auteur en tire une intrigue très bien construite, menée avec brio.

En refermant ce livre, on a le cœur lourd, mais en même temps léger. Lourd d’avoir pris en pleine face une réalité que l’on tente de ne pas voir, léger d’avoir découvert une intrigue rondement menée et une plume empreinte d’empathie de douleurs qui démontre que la vie est belle et qu’il faut se battre pour la vivre.

Christian Roux propose une intrigue sociétale en pleine confusion, qui fait échos à la notre et c’est tellement actuel que c’est déconcertant…

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Lu aussi

https://mademoisellemaeve.wordpress.com/2018/06/13/un-loup-pour-lhomme-brigitte-giraud-2/

Il y a quelques mois, je pense que j’aurais sans doute aimé Que la guerre est jolie . C’est un roman bien écrit, avec de bons personnages et un intrigue qui tient la route. Christian Roux est un auteur dans le même genre que Collette, Bouysse ou Bouquin, qui dépeint une certaine réalité, un monde dur, triste, corrompu.

A Larmon, à une heure de Paris, un quartier populaire va être rasé pour que naissent à la place des logements pour les bobos. Enfin, il sera rasé quand tout le monde sera parti ! Alors, pour donner aux habitant l’envie d’aller voir un peu plus loin, on propose un peu plus d’argent, on rend le quartier insalubre, on fait des trous dans la route pour empêcher les bus, les secours, les camions-poubelles de passer.

Une jeune femme, attachée à son appartement, au quartier dans lequel elle a grandi, va tenter de s’opposer à ces pratiques de mafieux. Mais une femme toute seule, enceinte en plus…

Dans le même temps, la drogue dure arrive à Larmon. Et ce n’est pas la même histoire que les petits deals de shit. Les trafiquants sont plus durs, plus violents.

Que la guerre est jolie est un bon roman noir, mais je crois que je n’ai plus envie de lire d’histoires qui manquent de luminosité, d’espoir ou de morale. Je ne peux plus. Ça ne me fait pas plaisir, je ne me sens pas bien après. Bref, tout le contraire de ce que je cherche quand je me plonge dans un livre.

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Date de sortie

Que la guerre est jolie

  • France : 2018-02-07 (Français)

Activité récente

Les chiffres

lecteurs 6
Commentaires 2
extraits 1
Evaluations 3
Note globale 5.67 / 10

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