Commentaires de livres faits par rogermue
Extraits de livres par rogermue
Commentaires de livres appréciés par rogermue
Extraits de livres appréciés par rogermue
page 251 in Tropic of Capricorn, Grove Press, 1961-4
One of the reasons why I never got anywhere with the
bloody music is that it was always mixed up with sex.
As soon as I was able to play a song the cunts were
around me like flies.
To begin with, it was largely Lola's
fault. Lola was my first piano teacher. Lola Niessen. It
was a ridiculous name and typical of the neighborhood
we were living in then. It sounded like a stinking bloater, or a wormy cunt. To tell the truth, Lola was not exactly a beauty.
She looked somewhat like a Kalmuck or a Chinook, with sallow complexion and bilious-looking eyes.
She had a few warts and wens, not to speak of the mustache. What excited me, however, was her hairiness;
she had wonderful long fine black hair which she ar-
ranged in ascending and descending buns on her Mongolian skull. At the nape of the neck she curled it up in a
serpentine knot. She was always late in coming, being a
conscientious idiot, and by the time she arrived I was
always a bit enervated from masturbating.
As soon as she took the stool beside me, however, I became excited again, what with the stinking perfume she soused her armpits with. In the summer she wore loose sleeves and I could see the tufts of hair under her arms.
The sight of it drove me wild. I imagined her as having hair all over, even in her navel. And what I wanted to do was to roll in it, bury my teeth in it.
I could have eaten Lola's hair as a delicacy, if there had been a bit of flesh attached to it.
Anyway she was hairy, that's what I want to say, and being hairy as a gorilla she got my mind off the music and on to her cunt.
I was so dammed eager to see that cunt of hers that finally one day I bribed her little brother to let me have a peep at her while she was in the bath. It was even more wonderful than I had imagined: she had a shag that reached from the navel to the crotch, an enormous thick tuft, a sporran, rich as a hand-woven rug. When she went over it with the powder puff I thought I would faint.
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Mes excuses, j'ai ce roman seulement en anglais. Et je n'ai pas trouvé un texte en franc,ais sur Internet.
Cette histoire de Lola est pour moi une de plus belles scènes de sexe que je connaisse.
Si j'ai le temps je vais compléter cette histoire. Environ quatre pages. Mais peut-ètre que quelqu'un a le texte en franc,ais et peut le transférer ici.
Alors il se rendit compte qu’il était enterré vif. Au bout de trois jours, sentant ses forces diminuer, il implora Dieu en joignant les mains et ainsi frotta l’anneau que le magicien avait passé à son doigt. Aussitôt un génie à la figure effroyable lui apparut et dit :
— Que veux-tu, je suis prêt à t’obéir comme ton esclave et l’esclave de tous ceux qui ont l’anneau au doigt !
— Je te prie, répondit Aladin, de me faire sortir de ce lieu.
Seinen Vettern und Gönnern, von allen Freunden begleitet,
Trat er vor den König und sprach die gerichtlichen Worte:
Gnädigster König und Herr! vernehmet meine Beschwerden.
Edel seid Ihr und groß und ehrenvoll, jedem erzeigt Ihr
Recht und Gnade: so laßt Euch denn auch des Schadens erbarmen,
Den ich von Reineke Fuchs mit großer Schande gelitten.
Aber vor allen Dingen erbarmt Euch, daß er mein Weib so
Freventlich öfters verhöhnt und meine Kinder verletzt hat.
Ach! er hat sie mit Unrat besudelt, mit ätzendem Unflat,
Daß mir zu Hause noch drei in bittrer Blindheit sich quälen.
Ysengrin, le loup, fit sa plainte le premier. Accompagné de tous ses cousins et partisans, de tous ses amis, il se présenta devant le roi et fit sa déclaration juridique :
« Très-honoré seigneur et roi, entendez mes griefs. Vous êtes noble et grand et honorable ; vous faites à chacun justice et grâce : soyez donc aussi touché du dommage que Reineke, le renard, m’a fait souffrir avec grande honte ;
mais, avant tout, ayez pitié de ma femme, qu’il a tant de fois outragée insolemment, et de mes enfants, qu’il a maltraités. Hélas ! il les a souillés d’immondices, d’ordures corrosives, tellement que j’en ai trois encore à la maison qui sont au martyre, dans une cruelle cécité.
En arrivant chez lui, le hérisson dit donc à sa femme:
- Femme, habille-toi vite; il faut que tu viennes aux champs avec moi.
- Qu'y a-t-il donc? dit la femme.
- J'ai parie avec le lièvre un beau louis d'or et une bouteille de brandevin que je courrais mieux que lui, et il faut que tu sois de la partie.
-Bon Dieu! mon homme, dit du haut de sa tête la femme du hérisson, es-tu dans ton bon sens ou as-tu perdu la cervelle? Comment prétends-tu lutter à la course avec le lièvre?
- Silence, ma femme, dit le hérisson; c'est mon affaire. Ne te mêle pas de ce qui regarde les hommes. Marche, habille-toi et partons ensemble.
Que pouvait faire la femme du hérisson? Il fallait bien obéir, qu'elle en eût envie ou non.
La vue de la petite madeleine me m'avait rien rappelé avant que je n'y eusse goûté ...
Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, aprés la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frèles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l'édifice immense du souvenir.
Le bateau ivre
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Source: poesie.webnet.fr
Extrait de Cinquante nuances de Grey, page 160, édition française, éditions JC Lattès
- Aaah !
Mon corps se cambre et se convulse au contact de sa langue. Il la fait tournoyer encore et encore, sans relâche, il me torture, je perds pied, chaque atome de mon être se concentre sur cette petite centrale électrique qui grésille entre mes cuisses, mes jambes se raidissent... Il glisse un doigt en moi.
- Bébé, tu mouilles tellement pour moi... j'adore.
Il décrit un large cercle avec son doigt, m'étire, me distend, sa langue imite ses gestes, elle tourne, tourne elle aussi. C'est trop... Mon corps supplie qu'on le soulage. Incapable de le lui refuser plus longtemps, je me laisse aller, perdant toute pensée cohérente quand l'orgasme s'empare de moi, tordant mon ventre en longs spasmes. Bordel de merde.
Je hurle et le monde s'effondre, anéanti par la force de ma jouissance.
Je halète si fort que j'entends à peine le déchirement d'un emballage. Trés lentement, il s'insinue en moi et se met à bouger. Ah... mon Dieu, ça me fait mal, ça me fait du bien, c'est dur et doux en même temps.
I Ce que estoyt d'ung succube
In nomine Patris, et Filii, et Spiritus Sancti. Amen.
L'an de Nostre-Seigneur mil deux cent septante et ung, pardevant moy, Hierosme Cornille, grant pénitencier, iuge ecclésiasticque, à ce commis par messieurs du Chapitre de Sainct-Maurice, cathédrale de Tours, ayant de ce délibéré en présence de nostre seigneur Ichan de Monsoreau, archevesque, sur les douloirs et quérimonies des habitans de la ville, ...