Honoré De Balzac
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Note moyenne : 6.65/10Nombre d'évaluations : 2 713
32 Citations 1 184 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Deuxième tome de la comédie humaine. Ici, nous sommes avec Mr et Mme De Fontaine. Ils ont 6 enfants, 3 fils et 3 filles. Tous sont mariés sauf une, la dernière : Emilie De Fontaine. Cette jeune femme sait ce qu'elle veut et surtout ce qu'elle ne veut pas ! Tous les prétendants qu'on lui présente, elle les trouve soit trop gras, soit trop laid... Bref, il y a toujours quelque chose qui ne va pas chez ces jeunes gens mais surtout ils ne sont pas assez bien pour elle ! Pas assez riche ou pas assez noble ! Elle ce qu'elle veut c'est épouser un pair de France çad un grand officier. Un soir, elle rencontre un jeune garçon au bal de Sceaux qui à l'air de correspondre à tous ses critères de beauté, de grâce, de prestance, etc. Il s'appelle Mr De Longueville. Persuadée qu'il est noble (car il ne saurait en être autrement vu son éducation, ses allures, sa verve, la particule à son nom de famille...) elle tombe amoureuse et ensemble ils entretiennent une petite liaison jusqu'à ce qu'elle le rencontre, par hasard, dans son magasin. Tous ses espoirs s'effondrent, elle se montre très grossière envers lui, lui tourne le dos et s'en va sans même un aurevoir. Se sentant trahie, elle épousera quelques temps plus tard son oncle, le comte de Kergarouet. Je vous laisse découvrir la fin de cette histoire ! Car la fin est en quelque sorte SA punition pour avoir été si imbue d'elle-même tout au long de sa jeune vie.
Encore une fois, j'ai beaucoup aimé cette histoire ! Les dialogues entre le père et la fille m'ont beaucoup émue.
A bientôt, donc, pour le tome 3 !
Afficher en entierLes Deux Rêves est une courte nouvelle sur un dîner au cours duquel deux convives racontent leur dernier rêve. Nous sommes en 1786. Alors qu'un chirurgien (qui se trouve être Jean-Paul Marat) raconte un rêve qui dénote une philosophie panthéiste, l'autre convive (qui se trouve être Robespierre), rapporte un rêve où Catherine de Médicis lui apparaît et défend sa décision de massacrer les huguenots à la Saint-Barthelemy. Elle ne le fait pas sur le registre de la vérité principalement mais défend la nécessité d'une unique religion pour l'unité d'un royaume, blâmant la tolérance de Henri IV qui devrait, selon elle, causer une Révolution. Elle déplore d'avoir échoué à ce qu'il ne reste plus de huguenots. Elle aurait alors réussi à établir la stabilité en France. Robespierre s'avoue presque convaincu par son idée.
J'ai trouvé intéressant le lien établi entre la Contre-Réforme et la Révolution. Par d'autres rouages, je pense aussi que l'un a engendré l'autre.
Afficher en entierBon livre à lire pour le bac de français 💀 Ça ce voit légèrement que Balzac était payé pour la ligne 😅 Mais bon au moins niveau imagination et créativité il en avait des ressources. Sinon niveau personnage, Raphaël c'est un cas, un peu comme tout le monde dans le livre finalement, et Pauline mon dieu on dirait une enfant 😭 Si j'ai fini le livre c'est seulement prcq je le lisais avec un livre audio en fond qui était a vitesse x2 🧍 Mais bon ça touche beaucoup de sujet de l'époque et d'un certain point de vue être intéressant, mais pour la lecture personnel je conseil pas 😂
Afficher en entierPauvre Eugénie. Onomastique non hasardeuse -peu étonnant venant de Balzac- elle porte très, trop bien son prénom.
Un début lourd de descriptions, mais bon, c'est Balzac.
Une ambiance austère, elle est entourée de vautour alors qu'elle n'a aucun vice. Uniquement l'argent dans le regard des autres, elle est la seule à considérer l'amour. Finalement, est-ce qu'elle n'était pas juste bête ?
"Ma mère avait raison, dit-elle en pleurant. Souffrir et mourrir."
Afficher en entierColonel Chabert entrant dans l’étude : parlait « avec la fausse gaité d’un homme ruiné qui s’efforce de sourire. »
La comptesse : « répandit dans la conversation une teinte de mélancolie nécessaire pour y maintenir la gravité »
« Le malheur est une espèce de talisman, dont la vertu consiste à corroborer notre constitution primitive : il augmente la défiance et la méchanceté chez certains hommes, comme il accroît la bonté de ceux qui ont un cœur excellent. L’infortune avait rendu le colonel encore plus secourable est meilleur qu’il ne l’avait été, il pouvait donc s’initier au secret des souffrances féminines qui sont inconnus à la plupart des hommes.»
« Savez-vous, mon cher, repris Derville après une pause, qu’il existe dans notre société, trois hommes, le prêtre, le médecin et l’homme de justice, qui ne peuvent pas estimer le monde ? Ils ont des robes noires, peut-être parce qu’ils portent le deuil de toutes les vertus, de toutes les illusions. Le plus malheureux des trois est l’avoué. Quand l’homme vient trouver le prêtre, il arrive pousser par le repentir, par le remords, par des croyances qui le rendent intéressant, qui le grandissent, et consolent l’âme du médiateur dont la tâche ne va pas sans une sorte de jouissance : il purifie, il répare, et réconcilie. Mais nous autres avoués, Nous voyons, se répéter les mêmes sentiments mauvais, rien ne les corrige, nos études sont des égouts qu’on ne peut pas curer. […] Toutes les horreurs que les romanciers croient inventer sont toujours au-dessous de la vérité.»
Afficher en entierJe me souviens que la première fois ou j'ai lu ce roman c'est sous forme abrégé, j'ai adoré la trame de l'histoire alors j'ai décidé de lire la version complète et aucun regret même si ma préférence reste pour la partie abrégé ou on connaît la finalité de l'histoire bien plus rapidement.
Afficher en entierJ'ai beaucoup aimé ce roman classique. Bien que l'histoire soit parfois un peu longue, l'écriture de Balzac nous anime et nous transporte. Les personnages sont très bien présentés. Certains attachants, d'autres détestables. J'ai bien aimé la naïveté de Rastignac. C'était rafraîchissant!
Afficher en entierLes personnages sont passionnés et se laissent emporter par leurs sentiments. L'époque où se déroule l'histoire, la description de la campagne bretonne, celle du château délabré, l'omniprésence des soldats républicains et celle des royalistes, les acteurs principaux passionnément attirés l'un vers l'autre... tout est mis en oeuvre pour que la lecture de ce roman soit agréable jusqu'à la dernière ligne.
Afficher en entierJ’aurais peut-être plus apprécié ma lecture avec quelques années de plus 🤔…
📯📯📯
Classique de la littérature française 📚 lu pour les cours 🏫, ça se lit bien 🤩 (au niveau du style) après j’ai un peu de mal avec Rastignac qui batifole 💕 avec les deux filles du père goriot pour finalement épouser sa petite fille dans un autre roman 😅…
Afficher en entierUne nouvelle écrite avec un talent indéniable. On a beau dire, Balzac savait écrire, c'est tellement plaisant de plonger dans ces phrases, ces tournures, ces personnages savamment étudiés et exposés. Un de mes ouvrages favoris de Balzac pour l'instant.
Afficher en entierOn parle de Honoré De Balzac ici :
2018-01-01T12:42:09+01:00
2017-07-07T10:28:41+02:00
2017-05-03T13:28:18+02:00
2016-05-26T17:44:40+02:00
2016-04-22T17:14:26+02:00
2016-03-08T20:09:49+01:00
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Dédicaces de Honoré De Balzac
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 82 livres
LGF - Le Livre de Poche : 40 livres
Flammarion : 30 livres
Garnier : 25 livres
Pocket : 11 livres
Larousse : 7 livres
Calmann-Lévy : 6 livres
Hatier : 5 livres
Biographie
honoré de Balzac, né Honoré Balzac, à Tours le 20 mai 1799 (1er prairial an VII) et mort à Paris le 18 août 1850, est un écrivain français. Il a été à la fois critique littéraire, essayiste, dramaturge, journaliste, imprimeur, mais on retient surtout de lui son immense production romanesque qui compte 137 romans et nouvelles parus de 1829 à 1852.
Travailleur forcené, fragilisant sa santé déjà précaire par des excès (il mourra d'ailleurs prématurément à 51 ans), endetté par des investissements hasardeux, fuyant ses créanciers sous de faux noms dans différentes demeures, Balzac a vécu de nombreuses liaisons féminines avec des aristocrates et il a finalement épousé la comtesse Hanska en 1850, après l'avoir courtisée pendant près de vingt ans.
Honoré de Balzac est un des maîtres incontestés du roman français dont il a abordé plusieurs genres : le roman historique / politique, avec Les Chouans, le roman philosophique avec le Le Chef-d'œuvre inconnu, le roman fantastique avec La Peau de chagrin, le roman « poétique » avec Le Lys dans la vallée. Mais ses romans réalistes et psychologiques les plus célèbres comme Le Père Goriot ou Eugénie Grandet, qui constituent une part très importante de son œuvre, ont induit, souvent, une classification réductrice d'« auteur réaliste», alors que l'on trouve chez lui de nombreuses traces du romantisme de l'époque, notamment la place faite au sentiment amoureux dans Les Chouans ou Le Lys dans la vallée, au fantastique dans La Peau de Chagrin, ou encore aux déchirements du génie dans Louis Lambert.
Balzac a organisé ses œuvres en un vaste ensemble, La Comédie humaine, dont le titre est une référence à La Divine Comédie de Dante. Son projet est d'explorer les différentes classes sociales et les individus qui les composent, pour faire « concurrence à l'état-civil » selon sa formule célèbre. Il a réuni ses textes dans des ensembles génériques : Études de mœurs, Études analytiques, Études philosophiques. Si les Études de mœurs sont de très loin les plus nombreuses, Balzac attachait cependant une énorme importance aux Études philosophiques, qui étaient selon ses propres termes « la clé qui permet de comprendre l'ensemble de mon œuvre », en particulier, la Peau de chagrin.
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