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Commentaires de livres faits par Sharlo

Extraits de livres par Sharlo

Commentaires de livres appréciés par Sharlo

Extraits de livres appréciés par Sharlo

« — Je passe mon temps à me mettre dans ce genre de situation, camarade. Il n’y a pas de quoi en faire tout un plat.

J’avais horreur qu’on me traite comme une petite fille.

— Cesse de m’appeler comme ça. Tu ne sais même pas ce que ça veut dire.

— Bien sûr que je le sais ! J’ai fait un exposé sur la Russie et l’USSR l’année dernière.

— URSS. »

Extrait de: Mead, Richelle. « Soeurs de sang. » Castelmore, 2010-10-15T22:00:00+00:00. iBooks.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
« + + +

Il y a beaucoup de façons d’avoir du courage. Ça exige parfois d’offrir sa vie pour quelque chose de plus grand que soi, ou pour quelqu’un. D’autres fois, le même but exige de renoncer à tout ce qu’on a connu, à tous ceux qu’on a aimés.
Mais pas toujours.
Parfois, le courage, c’est juste de serrer les dents contre la souffrance, et de s’efforcer d’avancer au jour le jour, lentement, vers une vie meilleure.
C’est le genre de courage que je dois trouve »

Extrait de: Roth, Veronica. « Allégeance. » iBooks.
Ce contenu est peut-être protégé par des droits d’auteur.

Consultez ce livre sur l’iBooks Store : https://itunes.apple.com/WebObjects/MZStore.woa/wa/viewBook?id=863167676
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
date : 15-03-2014
— C’est parti, murmure-t-il.
En face de nous, une silhouette sombre se déplace en bordure du cercle de lumière, attendant que nous fassions notre prochain pas. Qui est cette personne qui hante les cauchemars de Quatre ?
En approchant, je distingue un homme grand et mince, aux cheveux ras, les mains derrière le dos, vêtu de la tenue grise des Altruistes.
— Marcus, murmuré-je.
— C’est maintenant que tu devines comment je m’appelle, commente Quatre d’une voix mal assurée.
— C’est...
Je regarde tour à tour l’homme qui s’avance lentement et Quatre, qui recule au même rythme, et tout se met en place. Marcus avait un fils qui a choisi les Audacieux. Il s’appelait...
— Tobias, dis-je.
Avez vous apprécié cet extrait ? +10
date : 15-03-2014
— Allez, soulève-la.
Je me débats en criant. Pourtant, je sais que ça ne sert à rien, que je ne pourrai pas me libérer et que d’ici, personne ne m’entendra.
Je survivrai jusqu’à demain. Je survivrai.
Les mains me bousculent, me hissent, et mon dos heurte quelque chose de dur et de froid. À en juger par sa largeur et sa courbure, c’est une barrière métallique. C’est LA barrière, celle qui surplombe le gouffre. Je respire en sifflant et l’écume du torrent me frôle la nuque. Les mains me forcent à m’arc-bouter contre le rail. Mes pieds ne touchent plus le sol, et seuls mes agresseurs me retiennent encore de basculer dans le vide.
Une main me pelote lourdement la poitrine.
— T’es sûre que t’as seize ans, Pète-sec ? On dirait que t’en n’as que douze.
L’un des deux autres se marre.
J’ai un goût de bile dans la bouche ; j’avale ma salive.
— Attendez ! Je crois que j’ai quand même trouvé quelque chose ! reprend la première
voix.
Nouveaux rires. Je me mords la langue pour ne pas crier. La main m’écrase, maintenant. Soudain Al me lâche, libérant ma bouche.
— Arrête ça, aboie-t-il.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Ce soir-là, je pleurai pour la première fois depuis des années.Les larmes me calmèrent un peu. Alors que je m’apprêtais à enfiler mon pyjama, on frappa à la porte. Dimitri. Il me dévisagea puis détourna le regard, visiblement gêné par mes yeux rougis. De mon côté, j’étais certaine que la rumeur était remontée jusqu’à lui. Il savait.
— Est-ce que ça va ? me demanda-t-il.
— Ce que j’éprouve n’a aucune importance, tu te souviens ? Est-ce que Lissa va bien ? Ils ont été durs avec elle aussi...
Il me jeta un regard étrange, comme s’il était surpris que je m’inquiète encore pour elle dans un moment pareil.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Nouvel — Mais que vois-je ? On ne m’avait pas informé de la présence d’un intervenant extérieur ! Rose Hathaway. Quel privilège ! Comme c’est généreux de votre part d’avoir trouvé un moment pour partager votre savoir avec nous...
Je sentis mes joues s’embraser et fis preuve d’une maîtrise admirable en ne l’envoyant pas se faire voir. Mon visage dut néanmoins trahir quelque chose, puisque son exaspération s’accrut et qu’il m’ordonna de me lever.
— Allons ! ne restez pas là... Venez donc au premier rang pour m’aider à faire ce cours.
— Vous n’êtes pas sérieux..., balbutiai-je en me tassant sur ma chaise.
— Je suis tout à fait sérieux, Hathaway. Allez vous asseoir au premier rang !
Un profond silence tomba sur la classe. Stan était un professeur terrifiant, assez pour que personne n’ose encore rire de ma disgrâce. Refusant de montrer le moindre signe de faiblesse, je marchai d’un pas assuré vers le premier rang et me retournai pour affronter les regards. Un coup de tête audacieux pour rejeter mes cheveux en arrière me valut quelques sourires compatissants de mes amis. Je remarquai alors que mon public était plus nombreux que je le croyais : quelques gardiens, dont Dimitri, se tenaient au fond de la salle. En dehors de l’académie, chaque gardien protégeait un Moroï. Entre ses murs, ils devaient protéger bien plus de gens, en plus d’entraîner les novices. Travailler en équipe leur facilitait donc la tâche.
— Très bien, Hathaway, reprit Stan avec bonne humeur. Éclairez-nous sur vos stratégies de protection.
— Mes... « stratégies » ?
— Évidemment ! Vous deviez bien avoir une stratégie qui nous échappe pour faire sortir une Moroï mineure de l’académie et l’exposer à la menace constante d’être attaquée par un Strigoï...
C’était une deuxième version du sermon de Kirova, avec davantage de témoins.
— Nous n’avons pas rencontré de Strigoï, répondis- je d’une voix sèche.
— De toute évidence ! ricana-t-il. Puisque vous êtes toujours vivantes...
J’avais envie de crier que j’aurais peut-être pu vaincre un Strigoï, mais ce que je venais de subir m’incitait plutôt à croire que je n’aurais même pas survécu à une attaque de Mason.
Face à mon silence, Stan se mit à faire les cent pas devant son bureau.
— Qu’avez-vous donc fait ? Comment avez-vous garanti sa sécurité ? Avez-vous évité de sortir la nuit
— Parfois.
C’était vrai, surtout au début de notre escapade. Notre vigilance s’était un peu relâchée après plusieurs mois sans histoires...
—» Parfois » ! répéta-t-il d’une voix suraiguë qui rendit ma réponse complètement stupide. J’imagine donc que vous dormiez la journée pour monter la garde la nuit ?
— Eh bien... non.
— » Non » ? C’est pourtant la première chose qu’enseigne le manuel des gardes du corps ! Ah ! j’oubliais... Vous ne pouviez pas le savoir puisque vous n’étiez pas là...
Je ravalai de nouvelles insultes.
— J’inspectais les environs chaque fois que nous avions besoin de sortir, arguai-je en éprouvant tout à coup le besoin de me défendre.
— Ah oui ? C’est un début. Avez-vous appliqué la méthode rotative ou la technique de quadrillage de Carnegie ?
Je ne répondis rien.
— Vous avez probablement employé la méthode Hathaway du « coup d’œil aux environs quand on y pense »...
— Non ! m’écriai-je, furieuse. C’est faux ! J’ai veillé sur elle. Elle est toujours en vie, non ?
— Parce que vous avez eu de la chance, décréta-t-il en venant se planter sous mon nez.
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— Bref, continuai-je, je sais que je suis plus forte que la moyenne des gens. À quatorze ans, j’ai battu trois garçons, tous plus grands que moi. C’est là que j’ai dû admettre que quelque chose clochait chez moi. Tu as vu mes yeux, ils sont différents. Quand je suis sous le coup d’une émotion, il faut que je les contrôle pour éviter que les gens les voient devenir verts. Mes dents sont normales, je suppose. En tout cas, elles ne se sont jamais mises à pointer.
Je le regardai à travers mes cils. Je n’avais jamais parlé ainsi de mes différences à personne, pas même à ma mère. Elle était déjà assez ennuyée de les connaître, alors en parler...
—Quelque chose me chiffonne . Tu dis que c’est à quatorze ans que tu as vraiment compris que tu étais différente . Avant cela , tu ne savais pas ce que tu étais ? Qu’est-ce que ta mère t’a raconté sur ton père quand tu étais petite ?
C’était un sujet douloureux et l’évocation de ce souvenir me fit frissonner. Je n’aurais jamais cru que je parlerais de tout cela à un vampire.— Elle ne parlait jamais de mon père. Quand, petite, je lui posais des questions sur lui, elle changeait de sujet ou se fâchait. Mais les autres enfants se sont chargés de me donner des réponses. Ils m’ont traitée de bâtarde dès qu’ils ont su parler. (Je fermai brièvement les yeux, la honte toujours aussi vivace.) Comme je le disais, à la puberté, j’ai commencé à me sentir... encore plus différente. C’était bien pire que lorsque j’étais enfant. J’avais plus de mal à cacher mes bizarreries comme me le demandait ma mère. J’avais une prédilection pour la nuit. Je me promenais dans le verger pendant des heures. Parfois, je ne m’endormais pas avant l’aube. Mais ce n’est que lorsque ces garçons m’ont coincée que j’ai compris à quel point j’étais différente.
— Qu’est-ce qu’ils t’ont fait ?
Sa voix était plus douce, presque tendre. Je revoyais leurs visages aussi nettement que s’ils étaient devant moi.
— Ils m’ennuyaient. Ils me poussaient et ils m’insultaient, comme d’habitude. Ça ne m’a pas fait réagir, ça m’arrivait presque tous les jours. Mais l’un d’entre eux, je ne me rappelle plus lequel, a traité ma mère de salope et j’ai perdu mon calme. Je lui ai jeté une pierre au visage et il s’est retrouvé avec plusieurs dents cassées. Les autres m’ont sauté dessus et je leur ai mis une raclée. Ils n’en ont jamais parlé à personne. Finalement, le jour de mon seizième anniversaire, ma mère a décidé que j’étais assez grande pour connaître la vérité sur mon père. Je ne voulais pas la croire, mais, au fond de moi, je savais que c’était vrai. Cette nuit-là, pour la première fois, j’ai vu mes yeux briller. Elle a mis un miroir devant mon visage après m’avoir frappée à la jambe. Ce n’était pas par méchanceté. Elle voulait que je m’énerve pour que je puisse voir mes yeux. Environ six mois plus tard, je tuais mon premier vampire.( cat et bones )
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
- bois, dit-il d'une voix rauque. Aide-moi à m'acquitter de ma dette.
Elle but, machinalement d'abord. Puis elle constata que le goût de son sang ne resemblait en rien à ce qu'elle avait imaginé, ni à son odeur. Surpris, elle savoura sa riche complexité.
Elle l'entendit siffler, et la main posée sur sa nuque resserra sa prise. Lucie gémit : boire lesqng du corbeau moqueur ne pouvait être une expérience sexuelle! Pourtant, ce n'était pas complètement anodin. Elle se dit furtivement qu'elle aurait aimé avoir un peu plus d'expérience avec les garçons - plus que les moments passé avec Dallas dans le noir -, car elle ne savait que penser de ce qui se passait dans sa tête et dans son corps. C'était une sensation de picotement, agréable, chaude, puissante, très différente de ce qu'elle avait éprouvé avec Dallas.
Elle aimait beaucoup ça. Pendant quelque secondes, elle oublia que Rephaïm était une créature mi-immortelle, mi-animale, issue de la violence et de la luxure. Elle n'avait plus que du plaisir qu'il lui procurait et des forces que son sang lui redonnait.
Alors son empreinte avec Aphrodite se brisa, et Lucie, la première vampire rouge, grande prêtresse de Nyx, imprima avec Rephaïm, le fil favori d'un ange déchu.


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