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Commentaires de livres faits par Tenbigones26

Extraits de livres par Tenbigones26

Commentaires de livres appréciés par Tenbigones26

Extraits de livres appréciés par Tenbigones26

it was raining harder and the ground was getting slick underfoot.
"Slow down", I said to Lula. "You can't see where you are going".
"I got X-ray vision. I'm like a cat. Don't worry about me. I just gotta get this coat out of the rain. I can see there's a tent ahead."
A tent ? And then I saw it. The grounds crew had rejected a tarp over a hole dug for morning burial.
"I'm just waiting under this tent until the rain lets up." Lula said, rushing forward.
"No!"
Too late.
"Whoops," Lula said, disappearing from view, landing with a loud 'whump'.
"Help !" she yelled. "The mummy got me."
I looked down at her. "Are you okay?"
"I think I broke my ass."
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"This is good," Ranger said, examining the cough drop. "Super small. Well disguised. How did you discover it ?"
"I tried to eat it".
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"Did you hear about the fire at the warehouse on Stark ?" (Stephanie)
"No. I don't hear anything. I'm locked away, babysitting a moron, and I'm looking at an episode of Raymond that I've seen forty-two times."
"Dickie and his partners owned a warehouse on Stark and-"
"Oh, Christ," Morelli said. "Don't tell me."
"It burned down...just now."
"Are you okay ?"
"yeah. Ranger took me to get stitches."
There was a silence on the other end, and I imagined Morelli was staring down at his shoe with his lips pressed tightly together.
(...)
"Hello ?" I said.
"Give me moment," Morelli said. "I've almost got myself under control."
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"This is pretty funny," Lula said. "We burned down a house."
And Lula started laughing.
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"Are you avoiding me ?"
"Yes"
"We have unfinished business." Ranger said.
"We always have unfinished business. Just out of morbid curiosity, how would you define your role in my life?"
"I'm dessert" he said.
"Something that gives pleasure, but isn't especially good for me?"
"Something that could never be the base of your food pyramid."
See, here's where I'm in trouble. Dessert was the base of my food pyramid!
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"I always listen", Ranger said. "I don't always agree. I have a problem right now that I can't seem to solve by myself. I need you to help me find my daughter. And there's an even bigger problem involved. I feel an financial and moral obligation to my daughter. I send child support, I send birthday and Christmas presents, I visit when I'm invited. But I've kept myself emotionally distanced. I'm not emotionally distanced from you. I couldn't live with myself if something happened to you because I was using you to find someone...even if that someone is my daughter. So I have to make every effort to keep you safe."
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Ranger was watching me. "Are you coming to bed?"
"I'm thinking about it", I told him.
"Come closer, I'll help you decide".
"Omigod," I said on a sudden flash sleep-deprived insight. "You're the big bad wolf."
"There are some similarities."
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"I'm going down the street," I told Lula. "I need something to make me happy. We'll go to work when I get back."
"You going to the drugstore?" Lula wanted to know.
"No, The bakery."
" I wouldn't mind if you brought me back one of them cream-filled doughnuts with the chocolate frosting," Lula said. "I need to get happy, too."
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" Stephanie", I said, "you're in a deep shit."
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"Don't let the rest of the men see you being a smart-ass," Ranger said. "they're not allowed".
"I'm allowed?"
"I have no illusions over my ability to control you. Just try to keep the power play private, so you don't undermine my authority with my men."
"You're assuming we'll have private time?"
"It would be nice." The almost smile turned into a for-sure smile. "Are you flirting with me?"
"I don't think so. did I feel like flirting?" Of course I was flirting with him. I was a horrible person. Morelli was home with a broken leg and a mutant mole, and I was flirting with Ranger. God, I was such a slut.
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Morelli pinned me to the wall. "Let's talk now. Where are you going today ?"
"I need to go back to my apartment for clothes."
"And ?"
"And I have a job."
"I hate to ask. Your jobs have been getting progressively worse. I can't imagine who would hire you after the Cluck-in-a-Bucket fiasco. Is it the personal products plant?"
"It's Ranger."
"that makes sense," Morelli said. "I should have guessed. I can hardly wait to hear your job description."
"it's a good job. I'm doing phone work from the office. Nothing in the field. And I get my park in the RangeMan garage, so my car will be secure. Is this where you start yelling ?"
Morelli released me. "Hard to believe, but I'm actually relieved. I was afraid you were going to be out there trying to find Spiro today."
Go figure this. "You love me," I said to Morelli.
"Yeah. I love you." He looked at me expectantly.
"And?"
"I...l-l-like you, too". Shit.
"Jesus," Morelli said.
I did a grimace. "I feel it. I just can't say it".
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"Stephanie Plum!" she said. "I can remember when I last saw you. I see your grandmother all the time, and I hear all about your exploits."

"Whatever grandma said, it's not true."

"And this business about the Slayers..."

"That's especially not true."
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"J'avais l'impression de passer à côté de quelque chose mais je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus. Putain !
Pourquoi avais-je reçu la beauté au lieu de l'intelligence ? "
(Betsy)
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C'était un inconnu. Il était programmé pour être un inconnu. L'avantage des inconnus, c'est qu'ils disparaissent à jamais dans les espaces infinis. Ils ne sont pas censés se matérialiser au bureau. Ni demander le produit de 8X9. Ni se révéler votre super grand patron.
En tout cas, ça m'a servi de leçon. Mes parents m'avaient recommandé de ne pas parlé à des inconnus, ils avaient bien raison. Je ne confierai plus jamais rien à un inconnu. JAMAIS.
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Jack prend un morceau de papier et le tient droit devant lui pour que je le voie bien:
-A votre avis, que représente cette image ?
Oh, putain de putain.
C'est le pire des cauchemars. Comme le jour où j'ai passé un entretien à la banque Laine et qu'ils m'ont montré un gribouillis et que j'ai dit que ça ressemblait à un gribouillis.
Tout le monde m'observe. Je veux trouver la bonne réponse. Si seulement je savais ce que c'était !
Je regarde l'image, mon coeur bat la chamade. Je distingue deux objets ronds. De formes irrégulières. Je n'ai aucune idée de ce que ça peut être. Aucune. On dirait... on dirait...
Soudain, je vois.
-Des noix ! Deux noix !
Jack explose de rire et deux personnes ricanent légèrement mais s'arrêtent très vire.
-Eh bien, voilà qui confirme ce que je vous disais, fait Jack.
-C'est pas des noix? je regarde désespérément autour de la table.
-Non, ce sont des ovaires, rétorque un homme qui porte des lunettes sans montures.
-Des ovaires ? Je fixe la feuille de papier. Ah, oui !
Maintenant que vous le dites, je peux effectivement voir... une sorte d'ovaire...
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-Mademoiselle !
-Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
L'hôtesse à la tresse est penchée sur moi et me sourit.
-Nous avons atterri.
-Atterri ?
Insensé. Comment est-ce possible ? Je regarde autour de moi - et c'est vrai: l'avion ne bouge plus. On est au sol.
Je me sens comme Dorothy. Il y a une seconde, je planais dans Oz en claquant des talons et je me réveille à nouveau calme et tranquille.
-On ne fait plus de cabrioles ? dis-je bêtement.
-On a arrêter d'en faire il y a pas mal de temps, intervient l'Américain.
-On...on ne va pas mourir.
-Non.
Je le regarde comme si c'était la première fois- et ça me fait un choc. Voila une heure que je raconte ma vie à cet inconnu. Dieu sait ce que j'ai pu lui révéler.
Il faut que je débarque en vitesse.
-Désolée. Vous auriez du m'arrêter.
-Une mission presque impossible, objecta-t'il avec un petit sourire; Vous étiez vraiment lancée.
-Je suis confuse !
J'essaye d'arborer une mine joviale, mais je ne peux même pas le regarder en face.
Vous imaginez ? je lui ai parlé de mes strings, de mon point G !
-Ne vous en faites pas, nous étions un peu tendus.
Quel vol !
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Fascinée, je ne le quitte pas des yeux. Il se retourne vers moi.
En voyant son visage, j'ai un choc, comme si j'avais reçu une boule de bowling en pleine poitrine.
Non !
C'est lui.
Les mêmes yeux sombres. Les mêmes rides autour des yeux. Il est rasé, mais c'est bien lui. Sans le moindre doute.
Mon voisin de l'avion.
Qu'est-ce qu'il fait ici ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +9
1. Mon sac Kate Spade est faux.
2. J'aime le sherry, même si c'est ringard.
3. J'ignore ce que signifient ces 4 lettres : OTAN. Et je n'ai pas la moindre idée de ce que c'est.
4. Je pèse 59kg. Pas 49 kg comme le croit Connor, mon petit ami.(A ma décharge, j'avais l'intention de me mettre au régime quand je lui ai avoué mon poids. Et en plus, il n'y a qu'un chiffre de déférence)
5.J' ai toujours pensé que Connor ressemblait à Ken. Le Ken de Barbie.
6. Parfois, au milieu d'une partie de jambes en l'air, j'ai envie d'éclater de rire.
7. Danny Nussbaum m'a dépucelée dans la chambre d'amis, pendant que papa et maman regardaient "Ben Hur" à la tv.
8. J'ai bu toutes les bouteilles que papa m'avait conseillé de garder pendant 20 ans.
9. Sammy, le poisson rouge, n'est pas le même que celui que papa et maman m'ont demandé de garder quand ils sont partis en Egypte.
10.Quand Artemis, ma collègue, me les casse vraiment, je verse du jus d'orange dans sa plante verte. (presque tous les jours.)
11.Une nuit, j'ai rêvé que je faisais l'amour avec Lissy, ma colocataire.
12. Mon string me fait mal.
13.Je suis intimement persuadée d'être différente des autres et absolument certaine qu'une vie fantastique m'attend au coin de rue.
14.J'ignore totalement de quoi parle le type en gris.
15. Et en plus, j'ai oublié son nom.
Avez vous apprécié cet extrait ? +24
Les premiers chapitres mis en ligne par l'auteur:
http://fr.calameo.com/read/000341846c45dc4acd7cd
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
-Dieu, commençais-je tout en essayant de garder l'équilibre.
C'est moi, Betsy. Je viens te rendre une petite visite. Prépare la chambre d'ami !
Avez vous apprécié cet extrait ? +13
J'était en train de grimper 5 étages à la verticale. Moi !
Alors qu'en sport au lycée, j'étais incapable d'escalader cette foutue corde, même celle avec des noeuds!
A présent, l'exercice était presque trop facile.
Je me sentais euphorique. Ca me demandait autant d'effort que pour ouvrir une boite de Pringles. J'étais rapide, j'étais forte, j'étais... Spider-vampire !
Avez vous apprécié cet extrait ? +25
Mes kidnappeurs, au nombre de 4, assis sur la banquette en face de moi (C'était du gros siège!), auraient fait de l'ombre à The Rock. Ils tenaient des crucifix en bois à bout de bras pour me maintenir à distance. L'un d'eux agitait également une fiole qui renfermait sûrement de l'eau bénite. Bien qu'un peu tendus, ils n'empestaient pas la peur. C'étaient des habitués.
-Lequel d'entre vous m'a appelée ?
Silence de mort.
-OK, comme vous voudrez. Je n'ai pas peur de vous, vous savez ? Pour tout vous dire, j'ai l'impression de revivre mon bal de promo: mauvaises manières, limo de location, air maussade... J'ai l'impression que c'était hier !
Celui qui était en face de moi ricana, mais les autres demeurèrent de marbre. Ils ressemblaient à des clones: larges d'épaules, plus d'un mètre 80, grandes mains et pieds puants. Ils avaient tous besoin d'un bon coup de rasoir, ils avaient tous les cheveux blonds et les yeux marrons, et sentaient le déodorant avec une pointe de sirop pour la gorge à la cerise.
-Vous ne seriez pas frères, par hasard ? demandais-je.
Aucune réponse.
-Bon alors... vous n'auriez pas tous un cocker anglais? Parce que vous savez ce qu'on dit: au bout d'un moment, les maitres comment à ressembler à leur chien. Et vous avez vraiment le look de cocker anglais mal rasés qui se prennent pour des bipèdes ! Et qui pourraient parler. Enfin, si vous en êtes capables, bien entendu. C'est pas évident à déterminer quand aucun d'entre vous n'a encore ouvert la bouche. Il n'y a que moi qui parle ici. Pas grave. J'aime bien mener la conversation...même si ça a le don d'énerver ma belle-mère. C'est...
-Ta gueule, rétorqua finalement l'un d'eux.
-... vraiment incroyable ! Elle, elle a le droit de jacasser pendant des heures sur la mode, les diners mondains ou encore la maintenance de la piscine, mais elle ne supporte pas que quelqu'un lui coupe la parole. C'est vraiment...
-Ferme ta gueule! répétèrent-ils tous en coeur.
Je croisai les bras.
- Essayer de m'y obliger, pour voir, lançais-je avec tout mon courage et immaturité.
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-Leçon n°1: les vampires n'existent pas.
- Eh bien la leçon n°1 est complètement stupide!
-Ca signifie simplement que nous devons tenir nos agissement secrets.
-Pourquoi ?
-Parce que c'est la règle.
-Pourquoi ?
Il s'arrêta, exaspéré.
-Vraiment, Elizabeth, j'ai l'impression de m'adresser à une enfant de maternelle.
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-Agent de cautionnement ? Qu'est-ce qu'une belle fille comme vous fait dans un milieu aussi dur que celui-là ?
-Elle paye son loyer. Enfin, elle essaie.
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-Ah, me dit-elle en dodelinant de la tête. Je vois que vous vous êtes nettoyée. Vous devez être un très lourd fardeau pour votre mère. Je compatis à son malheur de ne pas avoir une fille comme il faut.
Je me rembruni et m'apprêtai à riposter, mais Ranger se pencha vers moi et posa la main sur mon épaule. Il s'imaginait sans doute que j'allais sortir de mes gongs, peut-être traiter Mme Apusenja de grosse vache. D'ailleurs, il avait raison. Grosse vache, ça me brûlait les lèvres.
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-Mais ça, reprit-il, ça, je ne peux pas assumer. Il faut que ça se règle. Je n'ai pas les moyens de perdre ce type. Soit nous le retrouvons, mort ou vif, soit nous nous retrouvons tous au chômage. Si je ne peux pas faire respecter les clauses de cette Caution Visa, je vais devoir changer de nom, déménager au fin fond de l'Arizona et me recycler dans la vente de voiture d'occasion.
Vinnie se retourna vers Ranger.
-Toi, tu pourras le retrouver, hein ?
La bouche de Ranger frémit aux commissures -équivalent rangérien d'un sourire.
-Je vais considérer que c'est un oui, dit Vinnie.
-J'aurai besoin d'aide, lui dit Ranger. Nous allons devoir déterminer nos honoraires.
-D'accord, d'accord. On verra. Tu n'as qu'à prendre Stéphanie.
Ranger me regarda du coin de l'oeil et son sourire s'élargit-c'était celui d'un homme à qui l'on propose inopinément de reprendre une part de gâteau.
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