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Liste des extraits

-Ils s'agit d'un apprentissage, mademoiselle de Plumigny, rétorque sévèrement Barvók. Lorsque les soldats s'entraînent, ils combattent à l'épée mouchetée et ils tirent à blanc. De même qu'ils ne faut pas partir en guerre avec une armée d'éclopés, je ne tiens pas à ce que vous fassiez votre entrée à la Cour déjà ruinées.

Page 198

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Mais tout à coup, maman surgit du tas de bûches au coin de la bibliothèque, le visage ravagé par la douleur. Elle se baisse pour ramasser un long fragment de vase brisé à côté de son fils décapité, et le plante dans l'épaule de l'intrus en hurlant :

"Pour mon fils !"

L'autre se fige net.

Elle lève à nouveau le fragment, le serrant au point de s'y trancher les doigts, et l'abat de toutes ses forces:

"Pour mon mari !"

Le soldat se retourne et, dans le même mouvement, entaille la gorge de son assaillante du fil de son épée.

"Maman !"je hurle.

Ma mère a juste le temps de darder le fragment une troisième fois : elle l'enfonce en plein dans le cœur de son adversaire, avant de s'effondrer contre sa poitrine.

Le bonnet à pointe de dragon tome au sol.

Ils demeurent ainsi immobiles, reposant l'un contre l'autre, tels deux amants fondus dans une monstrueuse étreinte.

page 31

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❝Eh bien, mademoiselle de Gastefriche, il semble que vous soyez toujours a contretemps. L'été dernier, vous vous êtes présentée trop tôt a la Cour. Ce soir, vous arrivez trop tard - et dans quel état!❞

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Fuir ou combattre. Tuer ou etre tuée. Dans la nature, le choix se résume à des alternatives simples, pures, qui ne s’embarrassent ni de remords ni de regrets.

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On nous appelle les seigneurs de la nuit. Mais en vérité, nous sommes des esclaves : les esclaves du sang.

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La justice est le mot le plus dangereux du monde car chacun le définit à sa guise!

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Tant que mon cœur vivant battra dans ma poitrine, je poursuivrai ma lutte secrète contre les seigneurs de la nuit: la liberté ou la mort, à jamais, j'en fais le serment !

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La justice est le mot le plus dangereux du monde, car chacun le définit à sa guise !

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La liberté ou la mort.

J’ai choisi la mort.

Parce que la liberté n’a pas de sens dans un monde dépeuplé de tous les miens.

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❝ En guise de réponse, un poing martèle la porte d'entrée, faisant trembler le bouillon de faisan qui fume dans nos assiettes. Mon cœur tremble bien plus fort encore. « Au nom du Roy », a annoncé le visiteur du soir. Il aurait aussi bien pu dire : « Au nom du diable en personne ! » ❞

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