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Commentaires de livres faits par whisper45

Extraits de livres par whisper45

Commentaires de livres appréciés par whisper45

Extraits de livres appréciés par whisper45

Tu te souviens quand Peter Parker a été mordu par une araignée et a eu des superpouvoirs ?

La fillette hocha la tête.
— Mais il n’est pas devenu une araignée, tu es d’accord ?

[...]

— Malkom a eu des superpouvoirs d’un vampire, mais c’est toujours un démon.

— Oooooh.
Alors c’est un superdémon ?

Carrow sourit.
— De légende, ma chérie.
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Graham entra d’un pas décidé. Je le dévisageai, cherchant des signes que les Arlequin le manipulaient à distance, des signes de panique dus à cette dépendance mensongère. Mais il avait son sourire habituel – d’accord, le sourire qu’il affiche quand il ne boude pas parce que je refuse de coucher avec lui.
— Tu portes une croix ? lui demandai-je.
Il sortit une chaîne du col de son tee-shirt. Un bouddha minuscule se balançait au bout. J’écarquillai les yeux.
— Tu es bouddhiste ?
— Ouais.
— Tu fais un métier fondé sur la violence. Tu ne peux pas être bouddhiste.
— Mettons que je suis un mauvais bouddhiste. Mais ça reste la religion dans laquelle j’ai été élevé, et je crois en ce petit gars grassouillet.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
— D’apprendre à l’aimer, répéta Auggie. À t’entendre, on dirait qu’il y a un cours à suivre et un diplôme à décrocher à la fin. On n’apprend pas à aimer les gens. C’est quelque chose qui vient tout seul.
Nathaniel s’esclaffa. Jean-Claude émit un bruit étranglé comme s’il se retenait d’en faire autant. Je regardai Micah.
— Et toi, tu n’as pas envie de rire ?
Il secoua la tête.
— Je ne suis pas assez fou pour ça.
Mais je vis l’ombre d’un sourire flotter sur ses lèvres.
Je les foudroyai tous du regard.
— D’accord, riez si ça vous chante.
— Je ne comprends pas non plus ce qu’il y a de drôle, avoua Auggie.
— Oh, ça viendra, dit Micah.
Et sa promesse sonna presque comme une menace.
— C’est si dur que ça de sortir avec moi ? m’écriai-je, vexée.
Cette fois, Claudia et quelques-uns des gardes du corps ne purent se retenir. Je faisais marrer tout le monde – une vraie comique.
Avez vous apprécié cet extrait ? +14
- OK. Je récapitule. D'abord, vous vous dites que je suis un démon parce que je possède un pouvoir que je n'ai jamais demandé et que je ne comprends même pas. Ensuite, toute cette théorie s'écroule et vous me traitez de sibylle et de pute. En gros, ma tête ne vous revient pas.

Mircea a éclaté de rire. Même les lèvres de louis-César ont frémi. (p.308)
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Chapitre 1

Des rides marquaient le visage sévère de l’homme qui l’observait et son front dégarni légèrement plissé montrait qu’il était indéniablement soucieux.
-Tu es sûre de ce que tu fais, ma chérie ?
Morgana releva son joli minois couvert de poussière et repoussa la longue mèche couleur de jais qui s’était échappée de son chignon.
-Oui mon oncle. Cessez donc de vous inquiéter, les miroirs sont parfaitement positionnés et tout est prêt. La nuit nous appartient ! Ça va être follement excitant, ne croyez vous pas ? s’exclama -t-elle d’un ton enthousiaste les yeux rivés sur le télescope de deux mètres de haut qu’elle venait récemment de mettre au point.
Le comte Charbrey leva les yeux au ciel.
-Morgana, je ne parlais pas de ton invention mais de ta sœur et de l’idée que tu as de lui trouver un mari !
–Ne me dîtes pas que vous n’êtes pas de mon avis ?
Lord Charbrey tapota nerveusement son ventre bedonnant d’un air embarrassé.
-Si…si…cependant tu connais Rosalie …es-tu certaine qu’elle soit prête à entrer dans le monde ?
-Elle a dix huit ans, mon oncle! Et puis devenir une débutante, porter de ravissantes toilettes et être courtisée par les jeunes gens bien élevés n’a rien d’un supplice, il me semble ! rétorqua-t-elle d’un ton léger avant de plonger son oeil dans la lunette du télescope.
-Ça peut le devenir. Les salons de Londres sont des arènes, Morgana, des arènes meurtrières où le coeur d’une jeune fille est parfois malmené…
–Rosalie est une Charbrey, elle est maligne et forte et de toute façon, il est inutile de vous inquiéter puisque j’ai la ferme intention de la protéger et de rester toute la saison à ses cotés, assura-t-elle distraitement tandis qu’elle effectuait un nouveau réglage.
Le comte haussa les sourcils, surpris.
-Comment ? Ne me dis pas que tu comptes accompagner ta soeur à Londres ?
Mais la jeune fille ne l’écoutait pas. Ses yeux étaient rivés sur son engin qu’elle fixait d’un air concentré.
-Je me demande si je ne me suis pas trompée dans mes chiffres, fit-elle en réfléchissant à voix haute, si je…
-Morgana !
La jeune fille interrompit un instant ses calculs pour se reconnecter à la réalité.
-Pardon mon oncle, vous disiez ?
Lord Charbrey soupira.
-Morgana cela fait plusieurs années que nous disons à qui veut l’entendre que tu souffres d’une maladie chronique qui t’empêche de paraître en société, tu imagines le scandale que cela créerait si quelqu’un découvrait que ce n’est pas la vérité?
-Il n’y a aucune raison pour que quiconque découvre quoi que ce soit. Nous vivons en reclus depuis si longtemps que tout le monde aura oublié mon existence…et si ce n’est pas le cas, vous pourrez toujours prétendre que mon état de santé s’est soudainement amélioré…
-Mais tu as toujours refusé de recevoir ou d’assister à la moindre soirée !
Là, il n’avait pas totalement tort, songea-t-elle amusée. Recevoir des inconnus, leur faire des simagrées, être constamment interrompue dans ses recherches par la visite impromptue des uns ou des autres bref vivre la vie sociale d’une jeune aristocrate lui semblait parfaitement impossible.
-Et bien je ferais une exception pour le bonheur de ma soeur. Je ne vais pas la laisser affronter cette épreuve seule, je veux qu’elle ait une épaule sur laquelle s’appuyer et une personne sensée qui puisse la conseiller et la chaperonner.
Le comte eut instinctivement envie de protester. Morgana !!!Avec ses cheveux d’ébène, sa peau laiteuse, ses yeux en amande d’un vert étincelant et sa silhouette voluptueuse ? Un chaperon ?
-C’est très généreux de ta part, Morgana, mais je préfère t’informer tout de suite que tu vas devoir oublier cette histoire de chaperon.
Elle haussa les sourcils.
-Et pour quelle raison ?
-Mais parce que tu es magnifique, célibataire, d’excellente famille et qu’à vingt trois ans, tu peux encore être considérée comme une jeune fille à marier.
-A marier ? Moi ? Avec cette fable que vous et ma tante avez inventé à mon sujet ? Enfin mon oncle quel homme s’intéresserait à une vieille fille de vingt trois ans prétendument malade ?
Le comte soupira. En réalité Morgana ne lui avait guère laissé le choix. Cette petite obstinée avait toujours prétendu ne pas être faite pour la servitude du mariage et ses obligations. Devenir l’esclave d’un homme, lui octroyer le droit de gérer son argent ou de diriger sa vie sous prétexte qu’il était son mari lui paraissait une idée révoltante. Le comte avait bien essayé de la convaincre des plaisirs de la danse, de la conversation et de toutes ces choses qu’un amour sincère et véritable entre homme et femme pouvait apporter mais…en pure perte. Rien ne l’avait fait démordre de sa décision. Et il lui avait donc fallu trouver un subterfuge pour qu’un tel refus de se plier aux convenances ne ternisse gravement sa réputation.
-Morgana, tu ne veux pas te marier et je respecte ta décision alors pourquoi dénier ce même droit à ta sœur ?
-Rosy est très différente de ce que je suis, elle est douce, romantique, passionnée… je ne veux pas qu’elle finisse par périr d’ennui ni qu’elle nous reproche un jour la vie que nous lui faisons mener.
-Tu penses que nous ne lui suffisons plus ?
-Je pense qu’elle a droit aux avantages que lui offrent son titre, sa beauté et son excellente éducation, déclara -t-elle d’un ton convaincu.
Le comte hocha la tête.
-Bien sûr, de ce point de vue, je ne puis que t’approuver.
-Bien, alors c’est réglé…et ne vous tracassez pas mon oncle, je vous promets que si elle accepte d’aller à Londres, nous lui trouverons le meilleur et le plus docile des époux.
Il haussa les sourcils.
- Docile ? Pourquoi docile ?
-Et bien, vous savez qu’il y a dans cette maison et dans nos manières une liberté de ton et d’esprit trop peu conventionnels pour plaire à n’importe qui. Il nous faut donc choisir un époux à Rosalie qui n’ait pas les idées étriquées ou trop rigide. De même, il ne doit pas aimer faire preuve de trop d’autorité, être relativement influençable et ne pas être un fils aîné.
-Pourquoi cela ?
-Mais parce que les fils aînés ont des responsabilités, des domaines à diriger et que j’ai déjà choisi la résidence où Rosalie et son futur mari vont s’installer.
–Morgana…
Elle écarquilla les yeux d’un air faussement innocent.
-Que trouvez vous de mal à cela ? Nous sommes riches mon oncle, offrir en dot une demeure à ma soeur n’a rien d’extravagant .
-Certes cependant…
Elle l’interrompit aussitôt.
–….Et Blackfield park est une propriété si ravissante, vous ne trouvez pas ?
L’endroit dont parlait Morgana était une résidence cossue, aux jardins luxuriant et au charme insolite située à moins de cinq lieues du domaine Charbrey.
-Blackfield park ?
-Le prix est raisonnable, le domaine très bien entretenu et j’ ai déjà demandé à notre homme de loi de s’en porter acquéreur.
Le comte croisa les bras et demanda avec un sourire narquois :
-Et que feras-tu si cet arrangement ou la maison ne conviennent pas à Rosalie ?
Impossible, songea-t-elle avec un pincement au coeur, sa soeur avait toujours beaucoup admiré cet endroit et Morgana ne pouvait pas imaginer une seule seconde que Rosalie puisse désirer vivre loin des siens et de Charbrey.
-Dans ce cas, nous la revendrons avec un bénéfice, affirma-t-elle comme si c’était une évidence.
Lord Charbrey ne put s’empêcher de sourire. Depuis deux ans, Morgana gérait une bonne partie des affaires familiales et grâce aux placements judicieux qu’elle avait fait dans les usines, la compagnie des indes et l’achat des brevets, la fortune des Charbrey avait considérablement augmenté.
-Pourquoi ai-je la désagréable sensation que tu as un bien meilleur sens des affaires que moi ?
-Mais parce que c’est le cas, rétorqua-t-elle non sans humour.
Un sourire illumina le visage du vieux lord.
-Tu n’es qu’une jeune impertinente, j’aurais dû mieux t’apprendre le respect.
-La tâche aurait été ardue même pour vous, mon oncle, dit-elle en riant avant de l’embrasser affectueusement sur la joue puis de reporter de nouveau son attention sur son télescope.
Le comte l’observa triturer l’engin amusé puis, réalisant que la nuit était en train de tomber, il crut bon de la ramener de nouveau à la réalité.
-Morgana, n’oublie pas que tu ne dois pas rentrer trop tard ce soir.
-Hum…
-Morgana ? Morgana ?
Elle sursauta puis se tourna vers son oncle visiblement contrariée:
-Oui ?
-Tu as promis à madame Wilks d’être à l’heure pour dîner.
-J’ai dit cela moi ?
- Absolument.
Elle soupira.
-Oh ce que cette gouvernante peut être pénible parfois !
-C’est aussi ce qu’elle dit à ton sujet, lui fit remarquer en souriant lord Charbrey. Elle demande également que tu te présentes au dîner non armée.
Morgana fronça les sourcils.
Les femmes de chambres, tout comme la gouvernante n’ignoraient pas que leur jeune maîtresse portait en permanence un couteau coincé dans un étui fixé autour de sa cheville depuis qu’elle avait vu, enfant, la fille d’un métayer se faire molester. Morgana avait été tellement marquée de n’avoir eu ni l’age, ni la force de secourir la malheureuse qu’elle ne le quittait pratiquement jamais.
-Je ne vois pas en quoi cela concerne madame Wilks.
-Elle prétend que c’est une question de bienséance et que tu montres un exemple déplorable à tes soeurs lorsque tu utilises ton propre poignard pour découper ta viande à table.
-Si elle n’était pas si dure, je me servirais d’un couteau ordinaire, répondit Morgana avec une parfaite mauvaise foi.
Le comte éclata de rire puis glissa son bras sous celui de la jeune fille.
-Allez viens, la nuit descend. Il est grand temps de rentrer si tu veux tenir ta promesse.
Le regard de Morgana se posa sur le télescope. Elle travaillait à sa conception depuis plus de deux ans et elle venait enfin de le terminer. Inutile de dire qu’elle mourrait d’envie d’envoyer tout le monde au diable y compris la gouvernante et son fichu dîner. Mais elle n’avait qu’une parole et n’était pas femme à se parjurer.
-C’est entendu mon oncle, allons voir le vieux dragon, soupira-t-elle finalement en glissant son bras sous celui du vieil homme.
Il secoua la tête gentiment puis dit en lui tapotant la main tandis qu’ils avançaient vers le somptueux manoir de Charbrey:
-Ne t’inquiète pas ma chérie, d’ici deux heures madame Wilks sera satisfaite et toi tu pourras passer encore une autre nuit à travailler sans que ce…comment dis-tu déjà ? Ah oui « vieux dragon » ne vienne te déranger.
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