Orson Scott Card

La plume de l'auteur est parfois un peu ardue à suivre lorsqu'il se lance dans des explications un peu "techniques", mais en dehors de ça, on se laisse bercer et prendre au piège par l'histoire sans effort. Le lecteur est immergé sans effort dans ce monde et l'auteur a réussi le pari un peu fou de rendre son roman accessible à une frange très large de lecteurs !

On peut extrapoler pas mal de réflexions d'un tel roman (construction des personnalités, manipulation, enfance, influence et j'en passe) et c'est vraiment passionnant. J'aime ce genre de roman qui même une fois refermée continue de vivre dans l'esprit des lecteurs, à un niveau ou à un autre.

Absolument passionnant ! Ce roman vient ouvrir la voie à une saga incontournable. C'est un space opera éblouissant qui vient revisiter la notion manichéenne du bien et du mal, ou en tout cas de la conception que l'on se fait du mal lorsque l'on fait face à la différence.

Une bonne suite. Un troisième tome que j'ai trouvé, dans le rythme et dans le scénario pur, un peu en-dessous des deux précédents. En revanche, ce fut un sentiment contrebalancé par le côté de plus en plus philosophique du discours et qui fut très intéressant. Je pense enchaîner sur le quatrième tome mais m'arrêterai probablement après.

Tome que j'ai réellement moins apprécié que les précédents. Toujours une plume très intéressante à lire mais je n'étais plus ni dans l’histoire ni dans le rythme devenu trop "lent" pour moi. Je m'arrêterai là pour cette série et suis tout de même très satisfaite d'avoir pu la découvrir.

Une aussi bonne lecture que le premier tome ! Très agréable et intéressant à lire. Je pense continuer à lire la suite même si je pense que le rythme va s’essouffler au bout du troisième tome. A voir donc.

Pour être honnête, je ne me serais jamais arrêtée sur ce livre au vu de son genre et de son résumé, s'il ne m'avait pas été conseillé dans le cadre d'un challenge.Ca aurait quand même été dommage de passer à côté.

Basilica est une société comme nous n'en connaissons pas, où les femmes sont détentrices de la sagesse, écoutées et mises en avant comme telles. Les hommes vivent à l'extérieur mais pas à l'écart. Malheureusement certains complotent d'une manière qui pourrait tout détruire, ce qui amène Surâme (le vieil ordinateur qui veille sur la planète Harmonie) à demander de l'aide à certains êtres humains.

C'est le récit de la prise de conscience et de premières actions de sauvegarde que l'on lit ici.

Ce qui est très intéressant, c'est que l'auteur commence et prend son temps pour décrire une société. On se régale des descriptions des rues, des quartiers et de la vie à Basilica avant que tout se détraque. Il est appréciable que l'intrigue aille lentement, car on comprend d'autant mieux ce qui est en train de se passer. Les personnages hésitent, prennent des décisions, ont parfois des sauts d'humeur. C'est d'autant plus crédible.

En résumé, ce livre me fait réfléchir, me secoue sans l'effrayer et je trouve ça très bien comme ça. Je lirais la suite prochainement pour savoir ce que deviennent les personnages.

Une écriture fluide avec une histoire prenante, dommage que cela manque de description. Et le final vient trop abruptement.

Mais cela reste un très bon roman que je conseille.

Ender se retrouve sur une planète avec une race extraterrestre. Il va devoir essayer de le faire cohabiter les humains. Et si possible de redonner vie à la civilisation des doryphores.

Beaucoup plus philisophique et théologique que le premier, il est entaché d'un parti pris de l'auteur pour la religion chrétienne. Cela rend la lecture pesante.

Cela n'enlève rien au scnéario qui nous donne envie de connaitre la suite dans le prochain tome.

Beaucoup de données techniques qui par moment alourdissent la lecture.

Les tensions entre les 3 colonies et la menace que fait peser le congres stellaires sont intéressantes mais rends le scénario un peu long.

Clos magnifiquement la série même si, paradoxalement, il est moins intéressant unitairement.

Beaucoup plus d'émotion et de mysticisme dans ce roman.